“ T “
pour affermir des boucles de
cheve^Marti^iMsWt^^^lpiite, de fil d’airai n).
La main droite jusqu’au poignet, l’avant-bras et la main gauche, le pied gauche jusqu’à la malléole, la moitié du
|piednar c|^ on^ ^^ ^^^ ^^^ a^ ^ a, crête du casque.
^^Mmîformeau,dessin du, pasOTaiis^^^d^siâ» mais,gui aur^été
. lanpe est ep
Fjgt H. ( ^ ^ ^ ^ m B j^m ^ ^ p ^ ^M ^ eMfe^^ ^m ^^ sîap'puvant à-terre sur son
^ ^ ^M hem’uuë blessure dans le sein gauche. « '4
âl&jes«ihe!^ bouclés, et lorpî| ? p a f^
de chaque ,c6M^^1xé?B^^mM^jwM^ ^ ^ àéEgaieBtesans doutè|a^^^^^^^^^^
ornement de la poitrine.
tf, L’avant-bras et la main dr^B ^ ™ doigts^^^^mro^m^ g l^iambe depuis le genou jusqu’aux malléoles, les orteils
, sontçestaurés.' _
! .- ( Entièrement conforme au dessin du baron Haller.)
métal.
B | | fe ^ | ]^ H S ^ ^ B H ^M ^ ^ ^ t^ D i^ ^fslfcomp^ ^ ^ ^ ^ ^ rs#andes palmettes, dont une seulement (lasupérieure)
est ahtique/Ces ornements étaiehtfprpl^mèîMhtrplus nombreux et plus riches, puisque l’on possède encore
l^^^^^^^ n ^ ^ ^ ^ ^ ^ ^§^^s^réhaent>ayoir- appartenfal^ ^ p ^ ^ ^ ^ o t^ ^ d e s frontons de
mHSgns-la^festàriràtinn du temple; la palmette de dessus et celle de dessous so^|roùges|aj(ec le miliémbleu,rjawahde^ ^
réunit les: deux volutes est rouge.
(N" 17 e t^ 8^ ^ 1^pr^leM)w^^laCT'~Auxésia!.^3Æut^d|eu^Kla^^la'i position et le caractère
d’Adtooditè^M^t^^ ^ ^ ^ ^ ^ u r manquaient*; on leur fc ffij ^sé z?à fb ib^emenV );u he^^ raa^ ^^ ^^ [ ^ ^ l l
^Â^Mma^^^^M^^^^^^ainslipsqu’aux bracelets .^^rogpetitjbo'ut, de 1 a^drapéri^feTOatnt^^^^P ^ ^ n r e ^ p ^
^Âj^èSia^La tètey les deux mâinsvi^ r u?aux ljracèlets-,-un.^titibo^^^^^rapfe^mTOndan.te et un plus grand sous la
mâih^tffchë^si^^^^m T i^ j^ ^ j
Dans la représentation du temple ; la borduré1dfô;;vê te^nfeH ^^^ e ^ ^ g ^ ^ S ^ ^ g ^ M | |
Sûi?ènt;lës ]m^mëàf^pfiéï sûiyahtM ji^iï’àÿlà. .planche ,70.
M M
Apres un long séjour fait à Ëgine et consacré aux travaux considérables que nous y avions exécutés,
nous partîmes de cette ville pour retourner dans le Péloponèse. Nous étant donc embarqués au port
d'Egine nous fîmes voile vers Épidaure où nous débarquâmes. Lorsque nous eûmes visité cette d em i«
E M , nous gagnâmes Nauplie, et de là Argos, pour nous rendre à Mycènes ‘ .
En descendant de la montagne, on aperçoit les ruines du temple de Némée. I l était bâti au milieu
EEOECnjJEHffîny^C^^^nS^ME^fflESRwSf1 <i i^ i *
servi à sa construction *.
B ^ f f l Ç j ü f f i 5 S £ i i l 3 l l Z E C C T ! i E D L l E ^ C ^ H S l ^ F j K S i u 1 r F n W r W ^ ^ n
l^XSwSftJBIiSIKaBS •’"*■ -®E2 !K3e5^ la fontaine Adrastée, ainsi nommée sans doute parce cju'Adraste l ’avait découverte. On montrait encore
Trois colonnes du temple restent encore debout: deux, appartenant au pronaos, sont surmontées de
E2y 22|5$i2^$3 3 |EEi3B2^2$2es25!ME3B3EiESwB3E!i5 S
L i ^ a ü 3 t t & £ ^ OE L j B 3 E ^ ^ 3 I Î E L ! ! 3 f l f l 5 S B ! S ! ? l S L S f fW M lB W ï ï f !W C T
A 1E. de la plaine où se voient ces ruines, et au pied d’une montagne qui abritait notre campement,
Pausanias?
1 Voyez, pour ces routes, les pages 161, 157, i55, 147 du ae volume..
” U‘“ ,li ,'8 "’'’ 1 I g f f P T f f i n S f 13 Bp^otaliSUelMaistMc^aths^iiiMM^ °':^ < l ^ t 3 -■’ de. » - i .