tir.
J LITTORAL. -
v fçgoeros:
1^^0 tioiii>copiéë^^^l,jp^M}'l!f'Met, Ær un bltQpjÿmfa
|§jP^|vppp<at près; s carré f a vecfcormc^';U'‘la! partie supérieure.
''^Ea^pàitiéi^ér^^^^Mm^lé^KkçÙàfXax^^^^^^^^k
NIKArOPA TANOYPZ
■ ■'.'-g Nicagoras consacre celle statue de 'Vènus^hy^^^^g^m
Pausanias, dans Le peu de documents qu’il nous a transmis sur la
étaient l’objet d’un culte
particulier. On voit par|*notn^!oim5 l(Sysiloutèfoi5 ma restitution
B^Wm^^mie^iWe 'dé ces divinités était
statue de Vénus Thyréatide est-elle consacrée dans l’île«ïe§|ïS^M
jjjjjestjun problème que, dans riMuffiMn^^çlësItextes. anciens-, il est
impossible de résoudre. On serait moins surpris
Tl^réë'ayant' servi t chassés de
■J^^ü^^més -Athéniens ,*:.1 / '1 ^
On ne sait-.rien' non'-Cp'lus' sur ,1a Nicagora ou le Nicagoras 3 qui
^^ nstm^^^Ke statué^ôut'ijcK^miimM^mt^di^gc’est que ce dernier
nom se retrouve, dans une inscription métrique attribuée à Herroo-
créonjpi^OTUMe^^ g i^ é^ ^ ^ aae^n^d'unî Hermés, ou- peutr'etnet-
sur la hase d’une .statue de Mercure. Je crois, devoir la nm§|ïfô^g£;
parce qu’elle vient à l’appui de l’opinion que j’ai déjà émise5 à l’oc-
, ;casion d’un monument!où l^fil^&/JÆ3ua«^^Mtll|émth|è^M^^K«tog.
• as à-aXû Zjfougog
èv6a p Nixayopaç xXutov «ïsa-ro Maiaâoç Éppav
àypoO xap-iTOTozou ^uïopa xal jckovmv.
Ètràn^erVq^pdssf^^^s^s‘ lieuse, viens f asseoir soas&cic.
Itmmffle 'Ug^d^^ê^^^à^tëlejaiiüdgeç
là ou1 'Nicà^or^^^^&evé^ ^ 1 ^statiie^â ?moi Mercure jjgws
Aéïëbfe ‘dë^Maîa, mot qui veü&sia$les- champs'fertiles et sur
I^cr^îmjKSrf^uteWco^ ^ ^ ^ ii^
notëÿpinte à Sà Irtt^mpjïori'ÿuëplusieurs lettres peuvent être
douteuses fâlleAestgçâi>ée sur un marbie bleuâtre mèldngè de
^blanc'. ; HauL, o,8o ; larg., o,4 o.
“ H .
'4';
Bien que le copiste des notes de M. Virlet ait placé cero^j|ment_
à Paros, on ne n’appartienne à Poros, l’antique
Calaurie, dont il offre le nom, mutilé il est vrai, ligne 3.
En éffet c’est, comme-existànt^^^tMa^mf^ffi^jOTe ce monument
sSrat^ v e ? l^aucouppl us^^ple
au n° d’après lès
copié postérieurement
même recueil *.
Le voici tel que le donne M. Boeckh :
H EYMENEIA
AP0AI5ATX1N KAAAYPEAT AN
KA1 EYEP1"E2I A2TA2 EI2 TE
; t e â j b i l :sÉig,ÿ«i^av|K^jwi^Tgv'çtvV-1
OiiXïV dasTâç ?vexîv xal eûspyîciaç t£ç tïç T£ -r&v Oeov x.al outov xcd«m>çJ^
Au roi Eumène , fils dkêniédttale^i^^il^m^^^^^^^^.
- a élevé cette statue pour sa vertu, é£*pour ses bienfaits envers elle,
ênvérf le
Trois princes de la dynastie de Pergame''ont porté'le nom djlÿi-
mène : un frère de Philétère, lë fondateur de la dynastie; le fils-ilel
•ce frèrejgui^^iÊBédâ 'à Philétère, et qu’on désigne dans l’ordre de
succession ÿo|||||||om cEEumène I'ÿ'bien qu’il,n’ait pas pjpefle^titre I
de roi; et enfin Eumène H, fils aîné d’AttâleI, qui succéda*à son
année.^el’OI. CXI..V jusqu’à la 3e année de
^jg^j.'^aLY. -Il 'est évident que c’est à ce dernier, lef^ulf^^gi^po'rteæ
consacré notre monument. Attale I,
comme l’a prouvé M. K. O. Muller 4, avait acheté Egufe des Eloïicns
pour le prix de trente talents; Sans doute,<en faisant lune, semblable
i^ià^^^ti^^^^^n^^^mmtTeïï^araib’êufétPvxieFde s’assurer-nne position
sur les côtes de la-Grèce et de là chercha à étendre sonarnSI
fluence. Eninène dut héri të?Cd^a-pob"ti^ufôâe''s5n père, et s’efforcer
de gagner par des bienfaits PafTecd^nsdes Calauréates auxquels leur
Quant au dieu dont il s’agit dans notre inscription, jee ne peu t
être que Neptune dans le temple duquel Démq^îhène 'sé; donna la
i temps où Cyriaque l’a copié, avait encore la
îjfi^m^^ânélbarosdé^tatuërj'^ijpi^^^mlil ne présënterolui^mu^
^bl^^nforme.et dont Ife?contour-.se termine là où commencent ou
finissentIesdifférentesIign«(fdé;:I^,copTé;rapportéepar“l^ l ^ I e l î ’'’
S I833.P 1M
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MOISI inlrOÏ-AANlAErYPIOTAPAXMAXXPIAKoîlAÏY
K^ t^?TLNofiESgM|wENC^ÎI|laBA^ANEIK^ 'A^ 1p™.tlVÿR^Myw'1 / f , 1
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Kll^^itmarésuitemaégTOèlq.ufô™pp^ w ^ ^M|Mf^|^^^^™
mai ge de sa copie qtuc ce monument est désigné dans lejpâ^s^us le-
-bient'ôt que cette
^ ^ ^ ^ ^ ^ ic u n autre fondement 'que lasmMn^^^^mo^^^j
roïaùerou^^|gp^^^^^e^lG|rè^aSGeUe inscription esft^t.
met avec sa copie, que je crois qu’elle doit être inédite.» Elle l’est
en effet, mais non pas peut-être D b im ^ S ^ ^ S ^ ^ SW ^ rlet.;si
car le s^ ^ B eu S^ j ^ ^ ^ e ^ les inscriptionf^Sl^^mpas
hommes dévoués qui se chargent d’expliquer ces insolubles énigmes
qu’il a rencontré de facile ou de difficile ; il l’a copié bien ou mal,
une moisson
àrcheo]ogmue^Mez^|^^^^^^^^j^^|^â|ti|^^ô£Qhreux‘ le
a Dans cette ins
.lettres*pourraient bien
« être douteuses. Elle est' 'si- frûstè^quiil a fallu -5 oufbShëuresîPoura
au crayon avant de copier..
8au^M.\Yirie&n?aP S “' ^’hèureuse’idééVdl]
1
c très-longue fmigueWef|mjaurait épargné, à moi,
la fatigue plus grande encore ^dfe chercher
frable'îcopièK'’/'*’ •-
a ^ j ^ g a B ^ d ^ ^ p r c s q u e ^ ^ ^ ^ ^ ^ S ^ ^
ipublicr
permît de
motfÀpT«p.wiov,
^ ^ ^ ^ ^ ^ ^ ^ ^ ^ |stèV:àu^désir^K^^^ e %ens~?d’un
que ^
ren-"
seignomènts'que le passage si ëonoiMdè^^MQpS^^rg
ï^j\i^^eU%^Wmes?lec^^Éans* la confidence^dù^orocédé1^
quul i’aj^ufrecourâf^u^^mj^dans sd^utier| M|^^ ^ ^ ^ ^
dont il . ..' i l i ' ë S ' ■> ‘ 'L'
do dire l ,<:^ ^ ^ S ,ill," ? S S K " nt
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I 11 l ~ ' * * JJC$ i i pas illusion, s’écarte peu
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que présente le travail du copiste.
K t T US erre pour e r o a u .u w -
liffi* 8r ^ ^N E o^ !K iB 3 K iQ i ü t a a 3 B l
f c - ià a .«Q,V.EwJf ^ S m i a M I
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1PP0N AYAIAKON(P).
Lig eG. TEAEHN pourTEAEIN.
W-it lIW tW fc^tAW.ay KAI TO I APTEMI3
F A y jg . j f f i f f lE a S ï f l f f '* ~T~ÀfN tHEPNAN.’ ,~
Ibid. TEAE1N POX pour TEAEIN TON
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ET.WFfl^ip'hVfMl^tAb tlIïÿ à^^ y ^
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