Inscription copiée par M. Charles Lenormant.
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,^ E in N p p o r oN ^ 'À Y T nN
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; i.jpelte inscription., Je, n° 'i$'45^était
beaucoup plus complète lorsque Fourmont l’a copiée, mais elle se
■trouvait ƒ déjà ‘ dans FétF^ui^oâs la donpÆs!^d^'t^ |îo ^ n el
■lé sa'
mutilation est postérieure à-J’époqae^oùjXoamon^ja^ue^^fpeut.
être attribuée comme* tanfcvd’lui^lià ,ce...voyageur.
Je CBoisi\de,vqirirapportef ~^p^^^m^^^^^ameDt dans son in-
'legrité en >plalçàjl^lreT crocheLs les 1 ign esa tp or5o^^ëjlb'g^‘^wP]f
ont disparu.
?k a i t ■ ' ’
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[EYAAM]OY K Al A AMOCOENE[l AC] 1
*a *\en^ ynS iI n/ eirekI ^ ^ ^ ^ ^
.• "Lejreste est conforme à la copie de M. Lenormant, à ^’exception
' de la derniè^flig^ ||ui se termine par un Y et non partira. N.
"Voici maintenant la'Jrmis^mptmm^^^nte l'inscription en carac-
Ete^j^jiranS^ByM
Tüv cuyEVEora-Tiv A«{toa8foetgy SvÿO
EùSâjiou xai AajiocOtveCaç Bu'jaTÉpa, î^^agaTflç èv w»eâ[Ç]w' ïTvïxsv,
(Sïou) EùSapoo tou SiïapTiaTixoù, «pjftEpéwç veto SeêacTwv xal twv Oetcov
rpoYo'vuv aÙTWv, âptoyo^^fclujoKV &
[La ville a honoré de de)^e-récompenX‘ê\iA^^^^^^l^Êt-~la_ ~
trèsTsagg <Cîàu^fà‘am'o$(]iénie, fille d’Eudamus et
thènigÿvarce qfierttre'toutes les'fanm& elle s ’est distinguée par ,
^^^Mertupafaite. Les frais ont été faits par son \père^Tib~^^m
QBit'ilms Eudamus, fils de SpapUdiicus, grandprêtre des Augustes
et deWMrimdii>ins ïantAtr&m&yànt mérite' lesfh^teürs7^
Lè nom de sërèncotftre’ que sur deux inscriptions -
de la Laconie a5 et dànjignê et Fautre il peirap^^^pmi -même in-
dividu dont M. Boeckh, à l’aide des monuments, a£dressêüaîgen®i,y
logie jusqu’à la ^ S d ^ ^e ra^n^Bur^eilVest pas
que les adjectifs en ixog, d^riyés *{1 jin tiom de peuple^ de,ville>ou de
pays a^^^^j^^loyés comme noms proçres.^eOTe-'cont^terarae^
Smm5!S?CT^ggR^5^^e8flBBH
Fragment copiépifi0M®jï:Eéhormdrk<sur l ’acropole â!'Amycles\
AAMYKA
VEYTEA
Il est facile de reconnaître à la première ligne les'premiers éléments
du mot ÀfitSxXai ou de l’un de ses dérivés*, £t pëut-êtrc à la seconde
pourrait-on lireESre>.viç ou Eù-rAeia, noms propres. Mais la chose est
p^fmêtre icertaine. _
3.
Ffâgmentoepiê'sufrüOmpolelÈÈkmyclesparMïÇ^l^r^mmi*,
■ llà^/aiKi^^dëMfiWoihqfiàpu Sparte parM'. E'dgard QurnetW,
‘$ÉMMwmÊÊÊÊÊÊ
AONOCPPOCOIC
KATATA ON '
Insch. i. — ‘ VoyeiWalpole, Travels, p. 583, n«-45.
1l 'Amm0 14 45 que nous reproduisons ici , et an îl*Ç35o. - -
* Épître aux Corinthiens, I, 16,17^- Jené;parle pas ici du ‘gUdvwofi
‘EXXavrfv.Koçÿ.jCtiCela' parce qûcla pénultième de ce mot est longue dans ce vers
de Tzetz'ès^Posl^nCT^^^^ ‘
§|§|| Kili^heri itfâfiwç ^iQAdvao« dèfStC* •
M Passow, il est,ym,vdaûs/son, lexiqueoppose, à l’autorité de Tzetzès celle
d’Avien, qui abrège cette même syllabe au vers tft. àc ses Qm maridma :
" HeUanicusque ZesbiUi,P/àleat quoque
mais l'autorité d’Avion n'e peut être d’aucun poids,' car-ilaltère continuellement
S%*ï et, vers5o.il allonge l’antcpénultièmcde Thucydides. On ne peut non plus
objecter l’épigrarame cité^a^Siog^^le'Iiaërte, livre 1, chap. 8, S io3, où
le mot ‘EDAowï&î^termiije un pentamètre, parce que la éomcûoA 'E&a&mA;
reçue par Ménage et parfluebucr, paraît tebntcstâble./Ceî^i^l’qn moi, lève
ton te .incertitude, c’est l’accentuation dep-emiot qin. annonce' que la.péiiul-.
- tîème syllabe est'Jongûe,Vmi juger du moins par cette régie d’Arcadius,«p 5i
6sEp8icuUafo, ri î î«ocp^j/^ÆwîM^^^in^,' ,p^a
de la.nouvelle édition de son Traité sur les apcenls (Jena 1835), paraît avoir
mal compris cette régie quïl c.opfond avec celle que donne Arcadius sur les
et débout comme celle d'un'dolmen : jîai cru y rÜconnaître le montant de la
porte dW.tmnple de très-ancienne 'constructicm.' Du'.haut ;del* colline isolée sûr
laquelle s’élève ce débris, de monument, on découvre dans toutes les directions
de petites églises ;Eninces dont la réunion indique retendue de Scla^-^wrio
(et non Pal*o-Chério)? qui est ^ancienne Amyclæ La position de cetîfcblhne
au milieu des ruines d’Araycloe rappelle’ d'une manière frappante la manière
cette comparaison qui m'a *fait dôimer^à la colline d’Aroycl*,’ le nom d'acro-
polis de cette vjllé. Le„ temple de ;I^.polIon Amyclécn devait se trouver sur
î'acropplis de la vrille Ü'Anijÿhe, de même que celui, d’Athéné Chalcioecos
oimait celle de Sparte. Je réponds de la leçon EKATONBEO, quir.nt’ahfra^pé
' quand je l’ai copiée. L’écriture, sans être paléographique, ipcubétredionsidéréc
» a i
Lenormant que.,
bien insuffisante' pbufiraSé^ 'a itn sens variantes
que présentent les '
^^^^ inetl’ome t entièrement: Au! 1
1 1
^ -'Fourmont termine la secondê^Iignelp^^a^nêuTO^p^^^m^i
se trouve sur aucune des deux autres copies.
x ^ S |r fm ^ A n n o p oE P PÔ E Q l ; Quin. A ni 1 c n io r o .
5:?F^urm. K AT
table leçon. M. Quinet ne donne à cette ligDe que les trois lettres ATA.
^^Mffi^^^^^^^^nëîseulejmpie, n’a pu proposer que quelques'
.®î.'tutionsjjpéu'tielles: ' Les secours plS^mM^ i^ ^e^ava'is^à^ ^ i
[T]OY EKAT0[M]B[AI]0[I5E]
[2] PEI2AT0
^ éx«Topfetotc
TCpdmoXoç, xar* vàv vdp.ov. .
Hécatombées comme ministre d’Apollon, conformément à la loi.
Eustatbe I,M ^ ^ ^ M l iS n o p :^^ n d ( qu’en-Laconie on célé->
?t>nx\uibv jùv K«i tw Éx«^|ig«ia 5,« touto skeï ïtouî3.
L L i n S J ® i eignements qui noua restent sur cette ffite
E«» y . '•■ '•* '•'■ *
Le culte d'Apollon à Amycles est prouvé par l’an' | . ■ uç de ce
dieu qui y était conservée t, par ce trône célèbre où tant de sonnes
njütologiques étaien t reproduites s, par la tunique que c h i ' ' K J
r n ir n A i i u J u w ^ m aVT'■ - ilri T în f .T ™ ™
iSi'i l ilia I
r à * l î L a r i a M f l * n ~ ‘ r rp l
[ |T- - V - , 11
11 Porté à conclure que I ...r’T i i .T r i g f ^ " , ,
T ^ r i l 1é i l r B i r en Laconie, gK ^ E x iasfK^&i éKcMbèaMi ^s, VLacwédé*m-onl‘Vien‘ 's 'Æ^un” îm!j3^sf
chius lui-mêm Ilv ' l ^ - ViÆ
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K m w i ë w h î r i b p i'1' iTT..in. s *■ " T -
f a n a i ti “ j r i i i J iM L i 1 l ' - i . v t* Z. ? ’ ’ *
SSMMMWi
I KPATO
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. t, N0o m ,iARr
IOYCEBA
TOYC
OC
Cette inscription, qui m’a été remise trop tard.ipou^^^m'eà
.fût possible de la placer à son rang parmi les monuments inédits
selon moi, restituée de la manière suivante :
• YUv«S*ç^Çâ^^^îîï^w^vctn^iv ’ApixXai;.
7 -npsycliius, s. v ‘Exa-ro'jAesudç^
* 'LxavopSeèq pilvirapà A«xt8aipoV(otç, èv ^ t& ‘l'axivOia 1
J Mncrobe Satui'n.'ï; i5 : Ydpiid Laccdoemonios etiam in Mcm'|te^S‘
célébraient, Jfyacint/n'a vocantes, hedera comnnntur, Bacchico more. Voyez sur i
_.^[AYTO]KPATO[POC]
[K]AIEAPOC T[PAIA]
NO[Y A]API[A]
[NJOYCEBA
[C]TOY C[nTH]
[P]OC
t r ‘ T ?
Auguste, sauveur.
Dict de mythologie giecqueseffatinc, p /,7o Vy1~‘ Jact*^
I Otÿ? 1- STtivS^Oef- Ouff1éçiGOal>l-
SufnSnçti • Oécvuk -— JSdvSoiûù • 0ojMû
’ 'i L’emplacement Mataïisii»