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Inscription tgivrée .surfin^disque tde^marbre^klan^^^géi
dans l!un des^murs de, Véglise du monastère de Loucou, dans
< jJlî^Trèzelu U't ,1
MAPKIANH
^ Q j H g g i j l Q
Cet‘t'ef formule ’dénStefittc^^^^^^^unc. épitaphe chrétienne.
â)^pt%ôuvOTCpl^èxpUçitè et'conçue en ces terme» Zdoêiç èv
0eS,} téirîôm cette in^rigfeo'n publiée par le P. Lupi % qui l’avait ^
i&iwéê jîànsîlîGglise'dc S. Marfa in Trastevere. '
j^ ^ gAiPA^ZH ^ ^ j ay ^
y Vg - S
. - ' p*-'.’-, ■;
^B'àutrës'• fois jcettelnm^^i^sèM^^^^^ ^soi:*s la forme d’un
voeu, comme dans cetfc'ihlcnphon''dü rëfcueil d e^R â n e siü s? *■
7 'ûë
NEETAN
GELVSA
BIBATES .YIYAÏTS
Où le motVIVATIS paraît etre^me ^ « c a ^ c^piste^iS^Sduite .
dans le teste par les éditeurs. Celte formule se retrouve sur deux onyx
publié, par Ai^ielli 3,/ey0ù les noms ,qui“l’âccpinp^guent, parmi
te sq p ^ i trou^-cëïui de sont, ainsi que le mofVIVAns,
^^^^^^^mm^^WOT^^fflneîi^bgidans Jouslles sens. /
Le même mot est également altéré dans cetÆ?j^CTÎp.g |^ du
V^iîpîj. ^niiviRn » ou se retrouve notre formule :
' ËAL^E^IBAS
SOTæRŸ^^CIT . - 'L
Le même voeu est encore;^cprfmé -suri deux'vases;^»ùBliés‘dans le
recueil de Mùratori5 et repfp'duitfipàr M, J|hæll|p.
y*- '
CVM FAVSTINA. FIUA
■ ASTDkBd^I^^^^P
ZESES est t grée ZHÇAÏC représenté^^
caractèresjjrqmams. Du reste M„,Orelh'^gnse qu’il est impossible de
5 Inscript, lat. ampl. colleclio., n° n38 et 4999. . ^
- |g|| * Imcriot.latMmmi>Ù&Uëclfo\\'ÏÏ, p.’35g, n« 4868. — L’inscription g5o;
ZÛ2ASTAYKIA
L'Û et l’H étant souvent confondus par les'copistes, je propose de JÙe ’
ZHSAIS^A^^^®tî Q S j ,
’ •yoyez, entre antres, Marmora'Pisaurensia CLXXI. Du reste il faut convenir
que les acclamations ZH2EIA2, étaient en usage chez les
^païennes, at’teddi^ u e i ^ ^ o ^ ^ ^ p e'la première,
unè'ifemine parée au milieu des fleurs ayant à ses côtés deux génies.
saurait.do u ^
est cbréLienne, eL la présence des deux géniës'flo^ffl^^^meu^
anges, pourrait être-justifiée par un grand nombre de monuments A
jÉiffib‘Jlul|e d’une autre vie(pa^ée dans le^sèin de Dieu est parfois;.
exprimée |||%l£âjjanièie «.tout 1 fui afQimativc 0 en
excmpf^4^i’e)nRrl’®':®:'-a'u^ ^ ^ i ^ M
■ ■ : "masimâ-t a '-'
ZH2
Manque stç 0tôv Çîiç.
. . Maxima, tu vis en Dieu.
npoïM.x.MHsn
POYM.SEPTE
' \ I» Éig§ | | | jffiftf esa^upi^pj^^^m. decem, mensium septêm.
Hermaîscus, ma jlouce ,lumière, tu vis en Bien ‘ le seigneur
| | ,ù | ;
Ce monument, où les * deux* langui ePlés. 'deù^Pj]pM^^y^
confondus, est curieux même dans^scs^b^arismes,..puisqu’il nous
donffe'da^pbéuvc que la prononciation de l’a chez 'les Romains était
.-ÉlëfeJâ même que chez les Italiens-modernes.-Le sens donné au mot
<§tpç ne.i!lai^^^ ^ ^ ^^MPte-qbànd^on'^^^^u le commentaire
‘du ^.£upi istuç^ttç mcprëssion ÿfeclueuse 9.
C’est peut-être aussi à des cË?ehms'^î|il Taut rapport« 1 les mots
YIvrr,'VTVY3ST qu’on lit souvent surll&J jioerres tiimulaires et notamment
sufepUes de NîmesIOEnfin,
on renaître quelquefois sur les monuments funéraires'des
cbrétîens la le t^ ^ e t le Z : cette dernière
.dans 'dés inscriptions latines, tient alors'la .place~ de 2jD^§|| «nï
encore ‘’de de même que le V11 remplace
et P^u|-?être même
bien que je ne connaisse pas d’exemple dé ce'futurdgns les.inscriptions
chrétiennes composées 'en latin Ornais - les inscriptions grçcqùtes, et
notamment celTra^ imns publions ici ^'rmettent^su^ ^ g u ’il
a dû être aussi employé.
.# | Éê doisl ^ ^Bli^SBif^^^mïkîj^p^^lfjPGAC EN îpÇ
TrffiWi c/ X w'-S, bien qu’elle se rapporte non pas à la vie future, mais
à l’existfcnce accôiriplieifOn 't^q^ un, exemple» de cette/onnulm|jaS^
^^^pptfon-suivantettro^éeaux ^environs i^&Gaj^nèX.
près de^pa^me, et publiée ,par 1YL le chanoine Âlessi dans le Bulletin
déJ’Iirititùt:de|cOT^|>b^nce ^cliéplogique
sonvent accompagnées 'de quelque autre exhortation aa plaisir, comme, dui'
celte inscription d’on vase en verre publié par Buonarojti (voyez Ingli. Mon.
Étr. Utmo, I.I, a^parÇî P 4ai^:
ANIBIA-DyCCTS,ra.VAMVB.NOSSINÈBILEZESES. J
‘ Op*VciF',>. 18a et ï8i.
3 Op. cit.,p. 18a, tîf/Spon, Mise. Erud^nluj.,‘p^aÿ?•
Orelli, op cit 4-Î7ï- , ----- ‘ WS V ''
tombeau a elé construit do vivant de celui auquel il est destiné. H est dé même
en grec des formules Zlï, ZÛN, ZQZA. Voyez M. Boecldi , Corpus Inter, gr.,
” Décembre jS” , p-^i73 Æ’édncur du Bulletin pense avec assez de vrai-'
semblante que le 0 de la-ligne a n’est antre 'qüè ia partie, supérieure du
E l
EN0AAE KEITAI EÏTYXIÀN02
ZHCAC EN X£i TEAEÏT ATHIIPO0E
KAAANAÛN AïrOÏCTÜN ÏHATIC
ANIKIOÏ AYXENIOÏ BACCOÏ K ,
<i>ai $Ainnoï (sic)
le. cinquième jour avant lësÆcdlenuës&SÎJdoût, ; sous Ae'consUlaJt,
•fastes consulaires à l’a^ee^^^^^^^Mmême Anicius.-BassusBM
se rapporte l’inscription s u i v a n t e ^ a i r ,
et citée par Reinesius ’4 :
STORI CANDIDATO
A—A
'-Lèfiijrmant.
ÔNHCIMOC
€MNHC0H
THCAAEA0H2
XPHCTHC
Ôvy((7t(Aoç èp^oôï) t^ç d^éXipTiç Xfétmç.
Onésime a donné ici un souvenir à Ckresté, sa soeur.
Quand les Grecs, dans Ieu ^ ^ ^ h ^igi@iMp uelque^^^^^i
remarquable, ils aimaient à y laisser un souvenir affectueux pour
H.IM ‘
iilmcriptiop.ènicaractèçesaTvhaîques gravée sur un fût de colonne
a servi à la construction du
monument du pied de ^ w M p t e e i i p a r
M. Virlet. (Voyez pl. /j6, fig. V).
M
XOIP
W fflSm ÉM
Inscription en caractères archaïques gravée sur le bord d'une
table de pierre en forme de trapèze, et creusée intérieurement.
(Voyez pl. 46, fig. IV).
yirletWuà
7 Mj^pierre bleue d’Égaie. Larg. de la pierre, o,44> haut., o,3.
OTOAE
Inscription gravée sur une tablette de marbre bleuâtre qui a servi
pour V:ir&c^ipiiqn''des la'‘pèiit^M^^^^^^^^O^dusi*^^^
quelle elle sert de linteau.
Inscription gravée sur une grosse pierre de l’espèce dite poro.
ÀAMO
■ Q U
Inscnptiojn'en camçteres archaïques, trp^vee^ddnsi^jardin de
^^^^^^Tzapmiü1 elléïww^sèrvéeilArsear.n ÔMlla^wigi
0,61 ; hauteur des lettres, 0,16.
M 8 b^ « 8 H M
frfjcn^ftori /?ar cp/uerrateur ,t/« /?i«jée
d’Égine, prés du lazaret,qui occupe Vemplacement de l’ancien
sur (laquelle 'elle est gravée estùsuivarit 1H: Virlet, eA-.'ccVcâîre'
grisiiàôrnpqcfe d e ^en
1 Vojcz’ M, Letronn^^^.wtÆp^ÿS^M. Boecldfi'suMëjjSffiral^n 'Cornu?.
paraît i!trc d’une opinion différente.
me permettent pas, en cc
momeiîr, dis 'soumàttro" au public ln suite de^ m^ ^ ^^ ^ S 'iMcriptVons“
d,une^BbblicationtVpécinlgd^|ig^^it^1^pMi83MBTOH.-'f.i?B^^
Q B H