
jaunes, lavées de.rouge .et de violet ; à calice p resque cylin d riq u e, un
p en elargì au som m e t; à onglet des pétales de moitié plus long que
le cahce. — Am é riq u e sep tentrionale, 1812.
Æ. Pavia livida. W a l s p . - Syn. : P a v ia livida. S p a o h . - Folioles
lanceolees-aiguës, cotonneuses et u n peu fe rru g in eu se s en dessous.
T h y rse s p lu s denses, à ra chis cotonneux et fauvesoent. F leu rs jaunes
avees de rouge, de violet et veinées de p o u rp re ; à calice ro u g e â tre ’
auvescent, ob-conique et renflé au m ilie u ; à onglet des pétales plu?
long que le calice. ^
Æ. Pavia lucida. — Syn. : P a v ia lucida. S p a c h . — Feuilles très
gran d es, b ien v e rte s en dessus et comme vernissées. Fleu rs po u rp res.
Æ. P a v i a m u t a b i l i s . W .A L S P . — S y n .: P a v ia m u taU lis . S p a c h . —
Folioles tre s allongées, a tte ig n an t parfois 25 cent. T h y rse s lâches et
cotonneux, a pedicelles 2 ou 3 fois p lu s co urts que les calices. F leu rs
f e o f e à t f e ' ' ^ tu b u leu x
n m ' - Orappes p endantes, à pédonoules souvent
b i-flo re s.b leu rs a calice et corolle d’u n beau ro u g e ; à é tamines u n peu
s a in a n te s ; a style p lu s long que les étamines. Capsule oblongue
pubescente, a 6 canelures lo n g itu d in ale s. ’
Ce p e tit a rb re est rem a rq u ab le p a r ses sin g u liè re s prolifioations ;
les capsules en s ’o u v ran t d o n n en t naissance a une nouvelle fleur pa rfaitement
conformée et qui p ro d u it u n n o u veau fru it p lu s arro n d i.
Cette varíete a ete obtenue, de semis de l’Æ. Pavia, p a r Camuzet, chef
de cu ltu re au J a rd in du Roi, à P a ris.
Æ. Pavia versicolor. - Syn. : P a via . W a t s . ; P a v ía versicolor.
bPACH. - A rb re g en era lem en t p lu s élevé que ses congénères, a tte ig
n a n t 5 a 6 metres. Folioles d 'u n v e rt sombre en dessus, p lu s pâles en
dessous et u n peu b a rb u e s à l’aisselle des n e rv u re s ; à pétiole allongé
g lab re et ro u g e âtre. T h y rse s allongés, à pédieelles p lu s co u rts que 1?
calice. F le u rs roses, lavées de v e rt et de ja u n e ; à lame des pétales
laté rau x p resque orbiculaire.
Æ. pyramidalis. H ort. — Voir Æ. r,
iiMcunda. Lois. var.
Æ. rubicunda. L odd.
- Voir Æ . ru b icu n d a Waisoniana.
Æ. rubicunda. Lois. (Æsoulus). — Syn. : Æ . carnea. H ort. ; P a v ia
carnea. Spach. - A rb re de moyenne g ra n d eu r, à tête pyramidale-
a rro n d ie . Feuilles p lu s petites et d ’u n v e rt p lu s foncé que celles de
Æ. Hippocastanum ; a 5 folioles pre sq u e sessiles, obovales-cuiiéifor-
mes, aiguës, in égalem ent dentées, u n p eu gaufrées, b a rb u es à l’aisselle
des n e rv u re s en dessous. T h y rse s d ’u n rouge carné. F leu rs à 4 pétales
etales-dresses, les 2 su p é rieu rs tachés de jaune, à filet des étamines
1812 ® P®-® 'hérissées. - Amé riq u e septentrio n ale,
Gette o rigine n ’est pas certaine. On c ro it g én éra lem en t que le Mar-
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ro n n ie r rouge est u n h y b rid e des Æ. Hippocastanum et Æ. Pavia,
mais u n h y b rid e fertile. Ses gra in e s donnent de nom b reu ses variétés
très so uvent inférieu re s au type. Aussi le multiplie-t-on le p lu s généra
lemen t p a r la greffe, afin de le co nserver dans toute sa beauté.
Æ. rubio, atropurpúrea. — M a rro n n ie r E u g èn e Deny. — A rb re très
v ig o u reu x à feuillage très foncé. F leu r d ’un rouge cramoisi superbe,
avec u n e macule jau n e au centre.
131. Æ scu lu s ru b icu n d a .
Cette v a riété a été obtenue p a r M. Thuilleaux, à La Celle-St-Cloud.
On la d it su p é rieu re à l’Æ. ru b icu n d a Brioti, p a r l’am p leu r et le
coloris de ses infloresoenoes et p a r le gaufrage de ses feuilles.
Æ. rubio. Brioti. — Syn. : Æ . B r io ti. H ort. — Folioles d ’u n v e rt
foncé et lu is a n t en dessus, finement et irrég u liè rem e n t dentées.
T h y rse s b ien g a rn is et peu larges, d ’u n rouge foncé en to utes leu rs
parties, sauf su r les pétales su p é rieu rs qui on t u n e belle macule
orangée.
Cette va rié té a été ob ten u e p a r Briot, chef de cu ltu re au T rian o n , en
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