P v .L?efpèceS.dc ife.éigté^que fe.,pgrrQquet?CQntfa£te avec no.usipaî
Je îabgagejfeift.pius étroite &
'le Jinge .peut prétendre past fan-imitation ccapricieufeÿ(|e, nos
^mouvemens & deènos^ëfte-s,: fi celie-.du .chien, du,cheval ou
' jde- I’éléphant font plus rntéreflantes par îe .fentiment ,& par
futilité,, la fobiété de foifeau parieur "eft queîquefbisvplus.,atta-
ichante par .Eagrément jpit-.récrée’, >3 diftrait, ih,armifo; daiis là “
Mtude'J eft compagnie .--dans ia.converfation ii,eft dpterlocu-
j^ur, i répond1, £ appelle,J.aGCuejDeT>3qette fédâtÇdes.
-exprime f accent de Faffeéhon, S joue la^gravité de ia fentençe-^
jes petits mots tombés au hafard, égaient par les difparafès, oà ï
quelquefois Wprcnnent par ia jufteffe ( t / . Ce jeu cPun langage
-fans- idée a je ne-fais quoi-de bizarre & dé-gtoteique, .& fâps
être pius tide que tant 'd’autres propos yfiîféft .toujours-plus
amufant. Avec cette imitation de- nOs <5paroies, - -ie^érriSguet- '
femble prendre quelque chofe de nos mciinaüons & de nqs
JSeMus; 3 aime & 3 hait} 3 a des attgcheinens*, def jaloufies.,
des préférences, des caprices; 3 s’admire, .s’applaudit, s’encoï.-
jagc p il fc réjouit & s’attrifte; 3 femble s-émouvcôr & s’attendrir
aux careflès; 3 donne des baifers afeéhueux- ; dans-ruge
maifon de deu3 3apprendà gémir ( tt^-pdÊ/fouvent accûututee
- (I) Wiüughby parle, d’apres ClnfiiB, d’un perroquet qui, lorfquon lui difoit -rief perro-
ri<r, rioir effeftivement, & Imitant d’après s'écrioit, avec un grand éclat, 6 le grand f i t
qm me fa it rire ! Nous en avons vu un autre qui avoit vieilli avec fon maître, & partageoit
avec loi les infirmités du grand âge : accoutumé à ne plus pièce entendre -que ces mots,
je fuie malade ; loriqu'on lui demandoit, qu’as-lu perroquet , qu’as-tu ! je fils malade,
rcpbndoit il dm ton douloureux, & en étendant fur le foyer, jejms malade.
■ (u ) Voyei dans les Annales de Condantin Manaffés, rhiltoire du jeune Prince Léoq,
fils de l'empereur "Bafile, condamné à la mort par-ce pere impitoyable, que les gémiffemens
de tout ce qui l’environnoit ne pouvoit toucher, & dont les accens de l’oifeau qui a
appris à déplorer la deftinée du jeune Prince , émurent enfin le coeur Barbare. - ,
i'èà répéter lc>nmi%Jc'ljâiiit>di^ÆAüi-f()r-i|iiij^piiLtLA‘^ llMopi3Je.A ^)^W
coeurs fenfibïes & leurs plaifirs & ieurs chagrins ( x J .
la aptitude p'itndio de.Ærfeàj.ehg lîrit,wil^e^p.wiÿc-c.'
d msKS pctequbl^iîi^qus ft aiîmléSiq8j»jia,,e djiifï»
ftiucïurt*pinicqliae &. pluV,piiÿitc yR>iii.t,vt.J Va'iirajm uj.„
*&w]jmL d'r-angèic i^finjoHi^eiict f'kîppci^îr ctinioi s i|ûj&K %Mi
d attention- 5c ■auJi^fojj^£^Id^^iHilpLnçe,affl^iii'-lÏLysy^Jnulf’
' otfcaü i -ijal^.^r jjifk, s .01 jjfe <j
l^pei-ioqtlLt
deduas, oflit u t 1 1MfumVs «ftlTtrCjraTOWW
I lajucIL 11 Ungut Je meut hbicmuit, jÊMnnfcC Siai 1
-jî®n|ifè'ie bord circulâii.e de' U ni.mdiMïlc imc i-idui
fcomiru 3 tunic coitic&uv fah. di d tn t i, t mdivitjue d e 11 coj
^çd.y.îfé‘ ^ fegÂtinéVcui rrf^ttfÆT'it comme
ït ion (ris sécliqqT^^Lÿraîé pHS,ti\iïftltmLiit^ihpp![çÿctMplwi
&*sitoondït-eCsy0ix. ’ê&u'ïafte ,i<e’i ib fa|t m^ut ,*qit^3it 'enfitons J
qw 'n ë1 fe rp i^ ^ q a ^ d h ^ h fc lliâoe d è s '
^ te ^ ,c e aO T ^ g sLa|tft- nindc &. t parfit quitus vH'31c4mcim d'inss
fej^îÿôquet à propofraä« quexda^^üomSne ; e l ^ i a ^ g Mus
jTmufcf^jiîi L inouv-cintnt/ii tile fircttpt xTBiict(
iÿiatXjiKià cf in, & îtcou^titcd’upt rnembune ioitc&_ comrtïâ-
Kdftié'és ?'■
If eM ais cette ' organifâ^mw^énîéiuemènf'pTqjâfée,
eriéorefeJUrt qu^larfallu à h N itmè pnui r^n luv^pMiii l't-c
fupêrieîi^âii praroquétrihèbilepourïcrahner- à fesBarouveiïîpiajTJ
Tome V U .