gelon Frijch,lg$ p i^ .few îs ont du muge fi» la tête ; Klete
dit ^0fej.§3Îeï?iS préfêmd qu-ife fe trompent;, & que
jgs peïjts ont tous ie défias de la tête rouge, même dans le
nid. S av an t FoKecyaiàon de Lfepseus* ee y«ige .varie & p w
mêlé,; tantôt de tsush.es n o te s, tantôt de guics, &. quelquefois
fans taches dans différens individus. Quelques-uns, & cé.-rfont
vrajfemblablement les vieux mâles, prennent du rouge dans les
deux mouftaehes noires qui partent des angles du bec , ont
en tqut les qiuleurs plus vives, comme on le voit' dans celui .qui
eft repréfenté dans nos planches enluminées n° S j ÿ . : | ,
. Fxifoh raconte qa’en Allemagne, pendant Fhiyer, le, pic vert
feit ravage dans lesjuches-d-’afieffistnoua.doutons.dereenlàitÿ
d’autant ,qu?il refte bien peù de;çes oifeaux en France pendant
Ehiver., fi même il en. ïefte.auoeünt' & comme A fait, eticorq.^
plus froid en Allemagne, nous ne voyons pasyptfttfquoi ils y
tefteroient de préférence, s
E n fespuyrant, nn leur trouveaM d ^ tem en t le «jabot rempli
'^défourmis, If n’y iapoint de. cæcum, & tuus les odltiux de-ce.
genre en manquent également ( ç^yimàis en place du cæcum
il y a un. renflement dans Pinteftin. t a véfiçufedu ielieft. grande j
Je tube intpftinal eft long de deux pieds; lé teftiçuïe droit eft
tems*, mais E nous confirme dans l’idée de leur mauvais naturel. et J’ai ÿu,' dit-iP, ;de jeunes
jjpics verts que j’éïevois & qui étoient encore dans le nid, fe Lattre avec acharnement. Lorfque
„jJai ouvert des arbres où il y avoit une nichée, le père & la mère l’ont-toujours abandonnée,
as & ont toujours lailTé mourir de faim leurs petits, Les pics font méchans & querelleurs -, les |
„ oifeaux plus fôihles qu’eux font toujours leurs Yiétttnesï ils leur hrîfënt ïa tête à coups de bec,
33fins en faire enfuite leur proie. Ten ayois un dans une chambre avec des perdrix, il les tua
jjtoutéà unes après les autres. Lorfque'j’entrois,E me grirappit le long des jambes. Il allôit, ■
,5fë promener dans les champs & revenoit manger dans la chambre-, ils font faiiiikers. fins.être
3 j attachés.»
( l ) Commune gemri coecis carere. Willughby.
y i6 v d -, f e i " a » o 6 iê « 1 iq i^ ^ $ ^ ^ B ^ S m i^ ^ g u ^ în i e iâ rS l &' *;
mon accidentel;.comme4m^étéiïténfié
d’mdiîi0tfÉf|fïïj^t t: i,
■Mais le nrecanfime de la langue du-pic a,ctcùinjîiij|Pt 8’ i
ratfoivpoui toüsfibk Katuraliftesl fioreïïi &-^;I^0Vàriéfeiéht déefitî*
la larme & let jeh decettQjganef;1(.?/.j./\ -Jaks1 ^ sV.
dfl336jp^ a n e /* j^T fcd !& é iT .^ 1
de&lSaeneès de Pans
1 La langue du pic vert ilpfoprèmer^ptHtin’efl: qucs^atü ÿi imf»
olleuile'l qur oc p iroit en furc qu^JcTtruam., *&quc M-nFpV« pç®
pour laijaague, eft l ’os hyoMe^uyn^md eng|iédansMiiuioïïVi rtm v
membraneux, & î^àfcsngë en>aïïièïe» eu ’;dèu®.forifs ’ïattlfeâüx
ofieux d puis cdrda^neux-^feds^pr&'lÿàif-'dbbmfig l
la-trachée-artère, .fkcEifiènt, sfe cèurbeiît ’fur-la tête.; û s midi /ns
dkns une *aKJtwttaoee fur le crâne,-& vôht'MlâplamJf d ^Sle -
firn t à:-la,racine f o n t e s déuxfs^ineaud’ij.U' filâtV’
élatfhquæ^rms fflufcîès'
fejirs,& rétraxfteurs quAjaumiffetït à PalohgémÉrir & àü^ë®'ïd§l
cet^'e^ècëide'da\^ffW<mt^&ijfc^U'dd.oénappartrf qftderf?
veloppé, cpinmarianlfune'igaine ptfune ifoëfohTaræJiteaE^Adal
prolongement de celle dont laijnaraiibufè. i'jftneutc|dfif bd&\(pi
tapiffée, de maniera^^le'yeforfcl
Icafque POîT’hyo ïd’e 'S’élàhce, & q JS f ^ p r îd g &
anneaux quand* cct^os fi .retn c. Lapomtr ofiJullv
Lia place d e ^ ^ f e t ^ c langue,\çfl: rmpTanuc imhndntpimnr'fiM
Pextrenute de cet c^fjyoïdaj &'iecc)uveitt J'uh’fcoirftt