Comme cette efpècej-a un ioosfc de fubfiftance plus abondât
queues autres, & qui coniifte non-feulement dans ïa nombreufe |
tribu des infe&es ailés, mais dans, cdle-des ûnfeâes,-vivant
fous terre, & dans îa multitude des cbryfalides qui .y,„vegetànî,
e5e doit nourrir fes, petits ..encore mieux que, f e u t r e s :.,çfpècêÿ
q u i, comme, nous, avons v.u, nourriffent .très-.bien,, Jes/feurs;
aqffi fait - on une grande .çpnfommation des hirondeaux dé*
rivage en certains pays, par fâ£qpjpïe,,à Valence en Efpagne,(£#7> -
ce qui me ferait croire que dans ces mêmes paÿa^Ges oîfeaMftj
quoiqu’en dife M. Fnfch, |opt plus d’une ponte par an.
„Les,adultes pourfuiyent leur proie, fur -fes „eaux avec .une
telle aâivité, .fe,perfuadçroit; qu’fls fe,. battent en «Set,
3s, fe rencontrent, Hs fe-ehoquent en çoufânt après les mêmes
moucherons, ils fe les, arrachent QU feïes, difputent en jetant des
cris perçans ( q ) , mais tout cela n’tft autre choie que de l’emuLj
tiop,, tçHe. tp !an la voit régner entre des animaux d’efpèce <üu^ '
conque atBrésj>acJâ-mtegTm^y^3qttSêOufnîime»appà:itt; ■
^ "Quoique cette efpèçe, fembie être la plus fauvage d.es>efpàoes
européennes, du moins à en juger „par les lieux qu'elle. ckgStfit
pour fon habitation, elle .eft toutefois moins fauvage que le
grand- martinet, lequel fait à la vérité fa demeure dans les vfflesiy
mais ne fe mêle jamais aveg, aucune autre;
au lieu que I’hirondeflç de rivage va fouvent de compagnie-avc g
celle de fenêtre, & même avec cslh de d it mince, c th mise
fur-tout’dans le temps du paflàge, temps où les cjfêaux parodTçnt
mieux fentir qu’en toute autre eirconftance le-befom, §C, PP®“
* (p) Voye% WiüugKby. Ces jeunes Hirondeaux font néanmoins. lùjets «
Kyp0â.^e^be)^
qui le gliffent fous leur peau, mais ils nont jamais de punaifes.
WmÊSSB @€bier'
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vicnuau- puntcHÎ^î
J«*ne.'iais lui qud -f®ndaîidit 4 êfed 'p rttu id ‘fjii>5llc I J
& fe fufpend par-J^s“- pteds^q A f e nlirhft '
Elle i toute d ^ a t t i ^ f u ^ iM ^ i ÿiie-ifon
cahier ;M a même tcoid|ftr ^ u - ^ p j g e o k , tout7fe r d k dcCfe*1
partie R ^ u e & 1 1 ; n l j l
brunes^JIs.eo u v âE^ rëS l^iL-u id e^lïfk p ü l-s moit'md
& les >Ried|'-jb'Puûs., ^gàWsi'parcfernère. jjufqu’aux d’un
diivet-''de .mêmercouleiir.,
Î É f e . 5 ^ ?^ d i C v ^ W f e n i i i e l d p îi&.fe&te J & J
a 'I ^ a a jÆ n c e de la ^ S a ^ f àm te ^ a û ^ nrW*'
i pl'iis-pc’tite des-hifondelfes d lk r ^ f .f e in ^ ù ’è u h l f i ^ ^
quarte ^ c e s neuf bgnæffifegfrun peu * p lu s \A 'tL j L i a J
langilpi fo u rc h a i^ tarfe, doigt pofténeurfe plus
.court1 de S us ;.v d o n îè |o ù c e s fq u e ^ â ^ e ü x ;p o tie e s un nuarf/
f^uchue de ,h u t f ^ r s '7® ^ ^ % î d i ) u z l ? p t m f *t& 1il&
ccaan^ofée* de dix-huit, ><|pnt,lesBerfpWirrtériçhres.font jégaldF
entr’èîles jdépalfènt la ’qùejfe’'âè;cinq lignes.-