a
La plupart de*<!6$ perroquets nous ' ■font; Apportés de fe.
Quinée ils viennbnt.de ^intérieur deS; terres de cette partie:
de FAfrique ( jaaÉÈ. fcs trouve anffi a (Songp f e J & fur îai'CQtgi
d’A B g sIg ^ j.o n d ë ü r apprend fort aifément'a. pâdçr ^ /V & ifc
fembïent .imiter de préférence là voix, des,-en|aps & xeGey.oir-
d’eux plus facilement leux éducation à-cet égard-çAu- refte, le?;
Anciens (h J ,o n t remarqué que tous ïes oifeauà.fufcéptilbïes dè
( d ) « On entiouve dans toute cette, côte. (de Guinée), mais en; petit nombre , & jl
ajfàut même quils y viennent la plupart, du-fond du pays. On eftnne plus ceux de Berininy
jj de Calbari, de Câbolopez, & ceft potir « 3a quon en apporte ici de ces ,endrqifs4& j ..
»mais on ne prend pas garde qulls - ibnt ■ beaucoup plus vieux que ceux que l’on peut
»avoir ici, & que par conséquent' ils ne font pas, fi dociles & napprennent pas fi bien.'
»Tous les' perroquets font ici for la côte, dé mêmè' què v e rs! angle de la Guihée’y &
»‘dam les beux^Sifoits, de couleur blpue . . .Ces annùaux>font fî communs- en Hollande«
quon les y eflîne moins qu’ici, & quils n’y font pas fi chers, sa Voyage en' Guinée, par
Bofman, Utrecht, 1705. -— Albin fo trompe quand;3 :dh- que cette éfpè;ee vient des Bide;
orientales ; elle- paroît renfermée dans l’Afrique, :& à plus forte' xaifon éè fe trouve pas
-en Amérique, quoique M. Briffon la place à la Jamaïque, ‘apparemment for'une indication .
de Browne & de Sloanë *, -mais- (ans les avoir confultés, puifque Sloane ( Jamaïc. tom. I l J
pag? 272) , Æt exprefiement que les perroquets quë l’on voit, en grande quantité à lapj.
Jamaïque » y font tous apportés de Guinée .: cette efpèce ne fe ttoqve naturellement dans1 r
aucune des contrées dû nouveau Inonde, cc Dans la multitude des perroquets, qui fe:,trôiï^-
vent au Para, on ne connoît point i’elpèce grife'qui éft fî commune enGvàrih£i*)~Voyage
de ta Condamine « page 173. Dans la France antarctique . . . il ne s’ën. trouve point de
• gré , comme a i la Guinée & en la haute Afrique. Tkevet. Singularités de la Fiance antare-
tique. Paris j 1558, page. $2.. .
(e) Recueil des Voyages qui ont fervî -à ’l’établiffement d e la Compagnie des Indes,
Ümfierdam, tjoZiHonte I V , page 321.
. ( f j H iftoire générale dés Voyages tome V , page 76.. ^
' (fgJ-Bs peuplent aufli les îles de France.:& de Bourbon, où on les a tranfportés. Lettre?,
édifiantes, Recueil 18, pag. iÿ. Qu vécut dans .cette île (Maüriee ou de France), d<f
' s?tortues, de tourterelles'& de perroquets gré, & d’autre châife. qu’on,allqzt'. prendre avec
»la main dans-, les bois. Outre l’utilité qu’on en retiroit, on y trouvoit encore beaucoup
W »de divertiffement y quelquefois quand on avoit pré un perroquet gré on le fàifoit crier,
. »& auffitôt on en voyoit autour ’. de foi voltiger des centaines qu’on tuoit à coups de
hâtons. » Recueib des Voyages qui ont feryi à iétablijjèment de la Compagnie des Indes.,
Amfierdamlyoz* tome I I I , page I p j i -
(h ) Albert, lib, x x 111.
i l
lïmitatiort •J||lf'(bnS"de lâ’Voix nsyifiL fet Ji,'
& i9ndeBi6.^WL'a][fémentj|&)^TQlL"-d&icntin-,^.()jm]%'tincpi&
fott.ettiejati articulée & plua^ffimsüm^arfefes. à Ia
poittcSe Lui oigmG;\,oc il, îrL rnrnomswBffltiriomh h mutcl iuIIi
fak'tOu grave- d’üne 'voks' a'^e.Wipaisllette.u-iiit’istion,;(trnBk:/
Vn.niblc, &. k s paroles qu,’d pi^npliu. '
difondusJLIn-iïe-L.^.p9fro(ni(.ts Jü'Gumva^ei-îdïVAnu^éari'ùteV
fi parfaitement qu’on« pouroi?' ÿ-ÿ méprendre* rm^iaTF t. A»
‘ k^i?àrieîèjiÇJîte (â unllpiné'përforine, & cu’d" tn k ik i^ ï
U ii^)uIolî£i;p.isjl!ls:;.taonb'^fxW4^iffrLÎ|infiTtc^
&• 1-kn n Ltbit^ fi/pLufant- que d<_ ILntuidic pîdki
’ ^buG|g& .gfâbüufe à' fon. vieü^ -en^Quement de
-piarlpiif,.
-t feulement cet oifeâu a fa yW t e f fk v o ^ ^ e
il'femble^en^otp'^n avoir Ielââïi|g d j^e ■
foij'kftgitiofi ^ ’iî fait poux répéter ; & ;cS J
effortWi'IlfféfÆÿi^ié inftant, car ï gaTjouilîe fan ^ e'ë^e'^ék
i^ g s-} In è s ,'d es fyïïàbes/ vient- d ’entendre, & d | f e é l | | à
p re p ^ ^ ieM Æ lld e nMbs^fes voix“ qui- fkppênr,i|'q,'b^eÉe, en
k u - ^ l ^ ï n ^ f e ^ e n n e : fQUvfinf' ên' efl: è tsi^ ^ Iu è ie n iè tfd x e
. u q v ta des mots on dc^ l-im que {’on i\’ayoit pa, pris Lip^nt^v
î j e î u r apprendré^ec qu^ore^^'rè fc^^çonribij.pas méme-dâ^pir
'^ s u t é s tâcfià^ «Sr^fîbîclier làWffît'L
jo^r f k j - , d en eft occùpé.pi§}Ue clans leÆmmed, -,
( i ) Témoin
dans la T^ufi
les a^felerraia
B • (‘ va jtifqu’à lui
perroquet de Hehri jVIII. dont Aldm de &it Iliiftoire, qui t ,rabé
S&^'feBrtefieis, •r,lTO>feSouts si'-Jqn^tsiî, av’oit ^ ^ f t* - p jif lig e& . i
tribuer la* méditation ® tohidé-* intérieure d4%àqà*on^v:ènt ,