• Peu:deJem’g%après-<|ue -les maBtm'e^^pris.-p^flèffioîiS&n' .
‘4 $ , il en feÿ<ÿg|^ffl«®ent .pendant.
quefois la. nùit, dépéris vpjaintife ; dans;ç ^ t ^ s ,m o m e n ^ j ^ p t ^ j
fd|ünguei:deux-4qilH^?6e£Ï®ei?exP.re® Qn '^e - P k ^ > -cor^ ® p
au mâle & a la femelle > èft^Ui'Ç&ant ^anlotu,paly.l|apelfli,
-femelle invite le mâle à. venir remplir les vues „de la Nature?
ïSptte dernière conjeéture femble êttç?;Ia mieux fondée, d’aut-alî
plus qUc le. cri du mile en amour, lorfqu’il pourfuit fa^tt nielle j
À w Pair, eft moins traînant & plus doux. Qn- ignore & cette
femelle s’apparie avec u n .le a l mâle v ou '6 e r|^ i||iÈ p lu -
, feu rs; tout-'ce'/qu’on fait,-c’en q u e ^ d an s ^ c ê t^G ü p n i^ s ç e .^ j
voit affez fouvent trois-ou quatre martinets sqltig|rAaufoui;'du
trou, &. même etendre leurs p p e s tomme pour^Goioe lit?.^ ■
Ja muraille ; mais ce pourrait ^trg.|l|s je jjip , de Fannéüsp.^ç^ ^
dente qui rceonnoillent le lit u de leur nuffiince >^es1pç,tij.wÿgâa3
blêmes font d’autant plus difficiles à réfnudre.Que^QS^gmfeHes
? nnt o-npn^nrp^Ie même^fiùmff^-rrm- ky-înaCsT &„
ra n ^ îau fiiecafion de fuivie &. d’oblervtr de„pi.es leu^^ajyuie^ i
,%Ces oifeâux, pendant leur court ftjour dans riÿÉ ^ â ft,jp&fe 3
que Je temps de faire une feule ponte j die elt ÆÂiîtijïaé^ejQf
de cinq oeufs blancs, pointus, de forme Ïriïp;,i fên 'hi1 \ 3
)' .fe 28 mai. qui n’étoient pas encore réeïos. dMfque. ■lès -petits. le i jij
perce la coque, bien différens des petits des luttes hirondelles , „!
fis font prtfque muets & ne dtnnndcnt iièn,'lîcuruikmcnt ledjfs
père & mère entendent le cri de la-Nature,- & l^U Ü S ijè ffti^ ÿ e
qu’il leur faut : ils ne leur portent à manger que deux, où trois fois I
par jour, mais à chaque fois ils reviennent au nid avec une arpple J
jproVifion, ayant leur large gofier rempfadeinoucfies, d é p a ro n s ,]
dÈ fçarabées .qui s’y prennent comme dans une naffe, n u £ ;ù n e |
: mobile qui s’avance à leur rencontre & les engloutit ( m ) ’,
p S Vivent.auffi d’araignées ou;iË^ro^§Bifadan.s%lmr-sAtcnjrsi&
1 auXjer^iroksj,>|®n^Jèe .iü îflppei^tS^ÿe eÿtMWp^^ j^jLs't?! *
fefvir pQu^BBifee,cette^ f e ^mi&, 1 LmlBfe.
Vers lt^rjyÆi^feltjjjAin ^ gM ^Æ sÆ ij^ ^ g ^ eH t. à voler Sc
/^àiftent iipentôt L .n id ,iip ^ ÿ ju e ij^ s>dLtQ&.„mi^fe^apjiroillj.' t
nkTs^SHlfcOtoüfrAeùxdjl^ssriila.i&Æs, iMùa .ontaniiiu nn i'im|»1.i
vermihe. ( vyjmii natnar iir.o Lsntv^Mnini)d-KlViiit.cirȔpMB|
, Ces oifeaux font bons à manger, comme tous les jSkSEBjL:
'la farnilL, j j m j - f t e nl^fcgn 11 -, au nid ,
pafli. nt,,en 'iS-\voi„e ëà Jaus^^^taujjiÆjv iur/-ùnaMo'™{i!ael%^iit.4|
Les v iLn\fr. lo;rt^iffiukv a tifow ç
elest & lapide, mais comme n nJilb^fîpBfcfeeeett^ ^ |M M |^ ^ M |
if« de >peuv ^ntMiloni. nt l^dé^mncTi'dcilduip'i.i
fcBartipfuMes tuer,EllûddilarK’iiù ÆÔOKglè fùfll, m a j ^ ^ w |s
tielliagüitte,r „tifllte la difficulté c f c - j A c î r t ^ f c f ü mMi
éL-filu km piflige, ciijnimtint élm^^nufioekeà. ImLViirabaUjj
tftlïtv &.t?.>piès î?&il^j^rs^Mlt..pjL^tIljU^ L |^gÆ m ju llo &. de,’
■ leqi- porter le; cinipljrffiGpBwr (es voiWveniTidiiGêlc ni. ntfaBf-afl&j J .
ôu^Bienslotfqi^iLyjfea|ciit ,dejuuf,ttr<iu.
£pnraB^È& prennerarà la|if|®|| iïsj>fe jettent i^»if^®ti^s,d’une
ctour elevet,'& fe fcivent, pour,to^^M^^^^m^pl'umepjtl^S
- (m ) Le’ fêul martinet .qu’ait pu‘tuer M. Hebert, avoxÉ4aiï^^i^^^''Æffifè6fces:i ailés dans;
*' fon go Gif.' 'Gel' oifeau les prend, feloa M. FriTch, en fondant^ (îeffus a^efeficQpétûôGté.^^^
Lee ouvert foute Gi^iargéur.
(n) Mm qü^c’èfl^ le ri ci nus oJntnx | , îe* h,jfnn'fmentfe^îesi- diev
que l’on trouve auffi dans ■ îèr iS0t u^âutres&j^ondeIles...B' -
(o ) On en tue beaucoup de cettè ‘mâiâi^'v‘d^is la péôte ville
ceux qui ioehent, lods :fo. ceintre .‘du .portail'^ ' ''