câ{§aux, comme on a v u , ne-les entreprenneht gbète
querlpifqu’ils font aidés,ipar un veçt favorable.; mais I®rfqu’3s
' font Xurpris au milieu de k u r courte par les vents contraires, 2
peut arriver que fe -trouvant exténués de fatigue, :iîs fe "poïent
\ p r e m i e r Vaiffeau-.qui fe préfente, comme feffit éprouB^
pleurs-Navigateurs au temps du:paÆ&ie f ^ j H peut »iv e r-
'qu’à défeut de bâtiment* 3s. tombent- dans îa .mer .& fixent eoefe
gfnnirô par les Sots-;, e’eft alors .que l ’on-pourrait, en jetant le?
£3et à propos., pêcher véritablement des hirondeHes noÿéç^-&
prenant bfen» fe? tapefcr à la vie ; mais on fe&^TqùpdleS:.
hafords^ne^seuvent avoir lieu en .terre-ferme., mi fur des mers
d’une petite étendue.
Dans prefque tous les psys .-connus ,-jes hirondelles font.rggare
■ dées. comme amies de Thomme j & à très-jufte ütrëf^Sfqrfeïïes
mntimm mt une multitude d’in t e r s ‘y iv î^ f if aux dégen%'
de. Fhomme( u ?. TT fautxP«vfoifr~,P ? ^
le sm êm ê T S o to à fa reconnoiffonce püifqu’ils'.^i'ren d en t les
mêmes fervices; mais pour les lui rendra i!» fe cachent •danHeâ'
[ ombres du crépufcufe, & Fon n t|d o it pas être furpris quiifs
relient ignorés, eux & leurs bienfaits.
Ma première idée avoit été' Æ lep a re r icisjfcs martinets des
-f f . ) t e vaiffeau de fAnriral Wager, fe trouvant au printemps dans le canal de la Manche ;
une multitude innombrable d’hirondelles vint fe pofer deffus -, tous les cables en étaient
couverts, elles paroiffoient fctiguées. af&mées ; on ajoute même qu’elles étaient extrêmement
maigres : s’étant repolies la mut, elleé reprirent leur « - f l f i k ’
M. Coffinfon nous apprend que la même chofe arriva fur le vaiffeau du caprtame Wrigth,
revenant de PKikdelphie.
/ u) On s’eft aperçu eu plulieurs circonftances qu’elles délivraient un pays du fléau des
confins rVoyet le Journal de Paris, année 1777). Dans la petite ville que j’habite, elles
, ont délivré plulieurs greniers d’un autre fléau, je veux dire de ces petits vers qui rongent
le blé, tans doute en detruifint les infeftes ailés dont.ces vers font lés larves.
j p t e f t , & d'imiturrtn ctfo d a iR in n r’ qui^flEbk/luS
ppïe-même Spares',ieniledr ^nlpraWfct^mgnement réeiprbque i »
F jamais ^E^-irdqsiÿifâiuis^esées-ldeux f o m ^ ^ ^ e k ^ e eshi-
pgjgmëç.au. heiuque loniSypiri; du mu mû fiiftlqîutans'f^îw tii$s
-prpcccv’-îd'fiiiondeHtssfe rbumr en lurafekiMàfodÛpj.* 0 ’ ulkupPM
K m femfSeldeS-martinets'fe d i^m g a e J^ lW é e fq là tî^^ y ïe ren c e s
■ aflièa conddérahles datas laj confornfaâ0n'^fe‘B&i^%»è& ,1e
Bfeariii^lfïYi.0 darast'ia 'conformation ; u fflM ifs -©bsa •
coarts, & .abfoîument inutifes iptiUr,àia;\.! er f.ülpuHr pie®ïr3H
leur,volée quand)ris.fonp'à'-platte-terié;,de filas, fetWquaka^i
i doigts.font-tournas on avant, .& 'ciiâdiir^é' ces doigts n’a que
deux phalanges, e am p tis ^ c ^ a e Foifgfe^-ÿJÎda^ttds habitudes;
ils anâver^plus tard & partent pfesbtôta ‘qùdiqu’jfe'-feeiblent
LIuncito. -V m u g S rew Æ ti * ilsTorlrîlth^piv'itc 1 inftkfchrc-^
rf va(I®?des^mdies. mtuaiilo*,. &Jy*pius£L
m t)fnt: n i m,ll> l1'
litiae peu^ciioific & fort .abondante, c'nÿqâùiA^^fc&dél'ênt *
do^I'ilynJJlicsk)ç..ii v a^c, loifqu iK- vont <i;ky->!p vdion, ih^&inpV
pliiknt k u f l'arqe g o l^ fe 'n k d k s aiks.de 'iHitÆ.’e’fpLej^m ijffcH
gfgmds !feînoituii.^a mangii bleuis pctif*
pan jour; ;■$ dans'fç"hatureli lofent pfosdddfaRfiyJrt4usafo.Rv-
I n u eW É r a n d J l e ^ ^ inflexions de-Lui voi^k mt'-^üwinejVs.-*
^ v a n te s, & k u r inftinéi pm)lt plus^^ic'* Voifi d t® M k s ’d ilï? ^
de fortes raifons pour • ntf p o i n t ^ . ^ ^
:: niieau2fitqui,^dms l’etat de nâtuie HBo le miluntirCm limits J ii^ j
l a t e x e s autte|, & je foivrois oe p la n far s* t a e f i ^ ^ f ^ u s I l ^ S
Knuillions allez Te naturel & les habitudes dtyBjjjiffifts strata
g ^ & j ^ natat^^à ,ces dMS ricès:*p.Qui e d e ^
,i chacune à fa veritable ^ coe h e ; niaKtnôtH.fàt otasfi n.ciT^e^cl u ife