jléferter.ce domicile de leur ch o ix fo j; & e’êft défia qiïAidrof-
yande, fur la for de, toutes les premières relations- de FAméri- j
que , a dit que ces tiifeaux s’y montraient naturellement amis de
l’homme., ou, du moins, nç donnoient pas des lignes de crainte-* j
fie s’approchoicnf des cafés *en fuivant les Indiens lorfqa’fis les
y.voyoient rentrer, & pamiffoient s’affeétiimuer.auxjkux habités,
par ces hommes p a ifM e s.^ J.-Pne partie de cette fccuïité
jtnRr* nra^rT a n x parroquets-aue nous avom relégués dans les
bois. M. de la Borde nous, le marque de .ceux de la Guyane.;
fis fe Taâfenf approcher de .très-près fans méfiance & fans
freinte; & Pifon.dit des oifeaux d u Brefil, ce qu’on peut étendre
à to u t J e . nouveau monde, qu’fis ont'peu d’aftuce & donnent
dans tous les pièges.
Les aras font leurs nids dans des trous de vieux arbres .pourris*
.qui ne font pas rares dans leur pays natal, où il y à plus d’arbres
tombant de vétufté, que d’arbres, jeunes & feins; fis agrandjjk
fent ïc trou avec leur bec îorfqu’fi cft trop étroit; fis en garniffenF
Fintérfeur avec des plumes. La femelle fait deux peintes par an
rommè-tous les autres perroquets d’Amérique, & chaque^Borite
eft ordinairement.de deux oeufi qui, félon Dutertré, font, grps
comme des oeufs de pigeon & mehés comme ceux dé perdrix :
fi ajoute que les jeunes ont deux petits vers .dans Je s narines,
& un troifième dans un petit bubon qui leur • vient aü n ddius
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... . ( p^SMdrovanderpagç 653.
f ■ ( ï ) Il arriv-e affez fbuvent aux aras de pondre un oeuf ou deux dans nos contrées tempérées
; Aldrovande en cité quelque exemple. M. ïe marquis d’Abzac nous àpprend qu’un
grand ara rouge lui une ponte derïrois ccûfi; Hs étoierit fins germe, néanmoins
k mère ara étoit .dans rmF grande chaleur & demandoit à couver, où lui .donna un-oeuf de
- pode quelle fit .éclore. Lettre de M. le marquis d*Xb[ac* datée du château de Noyac, près
: de Périgueux j h 21 feptembre 1776. % .
' tà é , & qw A^pÊrits yërs meurent
tësdifèaU&eômtïieneënf à fp lp ita ir ;€S' p liïi# s --f^ S ^ 8 |t e s I
I dâtis les ftatines des OifeauX ne-fôhi p&s"pàT'frculKrs âux UrasîL:
t e autres perroquets, t e caflïquës & plîfieurs alite? ^ fÉfoF
sn oht de ttléme tàflt qWfs font dans leuRfoid, ïfei^aUÎTfflphf-
fi€ürs-qüâdKûpedés, & notamtaiefit * les linges qi^&nt
dans-fe m ï & dans d’âûtiieg^partte 'dfu dlfpfc- •; cePi
MsilB£%njAinéiqUéVfous -
huefil quelquefois 'daW la c-huif dËS 'hoînldfes, pCTu SM P li,
abcès drffi€fiesla|,guériri*on- â vu<’dè^ bhèvS&i ’inôinu
Hbeè# C-Mter parles vêts rii&Caquë'S, ce qui p e fi'prèfeîiif ‘f e là
fÀÉg&gêriéè àVeefcqüefibën -traiOe-teUhevaûx
- OBT lîlè t e loge» Ai ne t e panfe, .
f e 'M f e t e l» femelle àra-,-É6uvedt^teïriMiMAtent'lëütste^
& foigBent t e petits j^pïeUf'^pparfent égâfenfent à mÜhgêF*
tant qiïWtOnt befoin cfraUCation,'ïé père & la- mère q ii nè-fé
■quittent gàèîê, Ae- îêS abandonnent pdûf ; &à lès 'VbtÊ toUjîmtS
enféftfibïe perchés à portée de leur nid. '
■ a j j É T w ^ arâS s’apprivôifent aifémerit, S^âhTpliïlîèÜfs ’
h*dfiffeesgBte>jA^ériqûe, d'h-Hè prehd ' t e ; c5ifeaùx^%ue' 'diris Té
îwdj dcyoî^rarehd( nointdl^iégV^aux vieux,'parè;è îq^^ë, fêür
p e u t - ê t r e eê^en^
;dàhf Dùtettre tacohte ® ie teT a iM ^ ^ gÈ AhtHîeS. avoiénf uiîfe' -
%flguïiére nfatSèfi; dè prèfiare ces 'oifeaux
mdiSS|t ofi fis mangent à terré''deS'Iïüits tombée; fis iÉffoierit
iMe les cn^in^iner, & tout-à-coup îls^jetoient de-, crè^ïïappoiënlid
des mains & 'fsùfbient un fi grand bruit, que c ts oifeau|L |