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ï | cés incertitudes.) je ne puis mieux feite .quevd&^appórter ïqitfo -.
öbfemtions de JM. Poivre, ci-devant Intendant ^ ; |g s j d e Francd-,
& d e Bourbon Je m’étois adreffé à:ce Voyageur pMofaphe •
ï avèi tóutè ïa 'confiance dûe àjft? lumières, pouf jja.Ypir à ,quoj
m’en tenu rur^ffi/mds prefque auffi défjgurés dans Ieuriuft<g:r%,i
par fes’Auteurs européens, qu’altérés ou faîfifiés dans,leur
füfaftance j par les marchands Chinois .‘ ‘voici la jepome.-que
Poivre a bien voulu me faire d’après ce qu’2 a vu hii-même .
fut lés lieux.
* «^Pétant embarqué, en 1741, fu rie Vaiffeau h Mars, pour
* aller en Chine, nous nous trouvâmes au mois dè-ijuiHet.de fa
» même année dans le détroit de Sondetrès-près de Pile Java,
î » entre deux petites fles qu’on nomme la grande & la pente .
' » Nous fumes pris de calme en cet'endroit, nous-fdgfee^m'gs
» fur la petite Tocqüe dans le deflem d ’aller à la chaffe des^
f * pigeons Verts. Tandis que mes camarades de promenade gm-
» viflôient les. rochers pour chercher dgs ramiers .verts, je fùiyâs
»les bords de fà î ô pour y ramafler des coquillages & des
» coraux articulés qui y abondent. Après avoir fait prefque le
* tour entier 3e Fflot, un matelot chaïoupier , qui m’acceanpa* -
» gnoit, découvrit une caverne afièz profonde, creufée dans ,1e?
» rochers qui bordent la mer : il y -entra ; la nuit, approchait à,.
Voyages aux Indes orientales 3 fage 7 6 ; ÉtabtiJJèmens Européens dans les Indes , tome I 3
I livre 11. (notez que ceft avec les nageoires d’un poiflon commun dans les mers die Mofcovie
que l’on fait la collede poiffon.) Au Tonqnin, on aflàifonne les oeufs
cour, d’une manière qui les conferve & les rend propres à raflâifonnemerit des. autres mets.
Hijloire du Tonquin de Baron,,, dans lé Recueil dc-ëhurchill3 tome V I , page
( % j Qn lait que M. Poivre a parcouru ïa partie orientale dé -notre continent en Philosophe,
- recueillant iiir'fà-routé, non les opinions des hommes, mais les farts de la Nature. ,Combien
-;._ne feroit-il pas à defirer que ce célèbre Ohfervateur fe déterminât à publier le jounial d'uM|
voyage auffi ïritér&flânt?
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petitiî milio&en aVwitk i i ;
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- fluames erafi-initint ci icunmck&jTifi^ t*
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avec feure nids^c kuis p t Ih iU u ân tt
de jktlts.de l ’anncç-',*-ou .ùi moins d'oLu‘fp defilnant-cxat]
reconnu pwur de vraies 'hirsndeïïesjj Jeurtadle «
étoeàjjtaqprèb a. fie des c o I i b i i s r ^ ' ^ V T **',%} f ' i. *
Depuis, j’ai oËjervé, en .jtdPtrqsT ^ ^ \ j weldinV lis 'J
ipMÿS'le-inars- & .d’avril, fes 'Tners q ü i^W â î lk '^ p u ï s ' jTava ’«
I ^ ^ h m c f c n î e uaTnoïd, ■& d.piiis l Tpi mtc d j^ um m
à lîmell, jMgu&ia aoavefie ©nmée-i.
^ide mffte o u frai de p o iflo n ,'qm ifo n îm fu li^ ^ '^ pm rn e ritîeqri
vteois osufi* OBi^pgtifey, ppès imoflemhrff
' '; { * ) Chacun de ces nids |contënd'it^^E
plumes fcmbhbles à j;511“ que les pere i. —. . «™ » u,r a poitrine. Lommc ces nids
■%’ là sgoîtrine.; iComme i
à fe rmaS^Jeau.,.4 .!« p l ^ t ^ f a