poitrine; J e pfus , ce coffiét fiblï’ eft accompagné;'furie deflïfe
duv’co u , d’un autre démi-collier de coifleur'fauve; la gorge eft
blanchâtre ; le 'Bas de la poitrine eft d’un blanc-rôùfsatre qui
devient .toujours plus roux à mefureqü?3 defcend fousle ventre;
ia queue éft longue de deux pouces traisîignes, & la grandeur
totale deioifeau eft de fept pouces un quart ; fon bec eft long
d’u n .pouce.cinq lignes; & les pieds qui font gris, ont fept lignes
& demie de hauteur. On fe douve à la Guyane où néanmoins
H eft rare.
* LE BEAU T'A MAT IA.
Quatrième ejpèce.
C et oiseau eft le plus beau, c’eft-à-dire, le moins laid de'
ce genre; 3 eft mieux fait, plus petit, plus effilé q u e ^ s ies
autres, & fon plumage eft varié de manière qtftf ferait-difficfle
de le décrire en détail. La pV « J « r ^ 5 imée leùcpréfente aflèz
J3HêmênL II a" cinq pouces huit lignes de longueur, y compris
k queue qui a: près de deux pouces ; le bec a dix Iignes*de
longueur , & les pieds dix lignes dé haüteuh On le trouve fur
les bords du fleuve des Amazones, dans la contrée desMàyhas;
mais nous ne Tommes pas informés s’fl habite également lès autres
contrées de l’Amérique méridionale.
* Voyci te planches enluminées, n.° 330 , fous là dénomination de Barbu des Maynas. ■
.{g ) Bttan fig e a i midis inférai albo fiavicans j mamlis longimiinalibus viriiibus yarius ;
vertice :guttüre mbris tamis dilaté ocemleis circumdatis ; colla inferiore &pe3ore luteis , macula
in imopeSore rubrd, reSridbas viridibus___Bueco Majanenfts. Briffon, Omithal. tome IV,
pag. 1 0 2 planche7j figure 3r. _
LES Tyl MA TI A S 'n> ours &
j t 'pQinquièn}t & %
H ■ peu t g u è re J e p a re rre s ? d d ^ o iM ù x ^ l^ fe ifa s 'n e
'.quéi^^p^^lUx, fenaspc nàunt'1
ment de leur îdl'embLinéG 'piî'^lcsimiflems, ont uYi'^anéLi?
commun qui rikû|)arfienti'qù'’a^e,es r ie u x - f^ ^ p S S'eft 'd ’iyqir
le nec^glüs fort, qafuS*grosW-'pîtMlang'qiijfBgcMffè-, -autres
tam uias à proportion d t luir C0?ps ; &'• daîjs, to ifrU Îdèiî>'î c-néonr
: la1 mandibule fupériàiré' dui belgmHiS.
deux pointes ,?comme ÿfens3é tamatiaW^émîére
Le plus giand d p& s tmiitias rions &.blancs
pour f^ioriguefef^quiw'ft guère fue cftMcpf’po'üt^s/c Üftluli®
^■èrpèe'gndùvellequiJSus a étéèjvdyée dB ^ ^ n n é '^ IS ikD u v a l)
arafisj^en qûé^k-fecpride efpècè?*‘^ ^ ^ i ^ p l§ b t^ r(&
gùeic',qu5**eiuyij i / 1|lccs Je j|(ingÙGur: N iis ^ în c lv s fîs^uàirîP .
fentent-aflezTftkLmcnt, pqm.^ n ^ %mflions'rifuf’d&ù'hfir*
dcles- ‘décrire plus au long ‘l’onIferoit'.porté»à^6roir[et.r|nar Ta
grande reffemB^céide-césll^s^oiféaux, quitë. feroienraMa^
mêméfefpèôe/ fi leur grandeur-‘n’étaffi|pas -ttopidifïïré&t&?
*! foyçj t e planches enluminées, n.° 689. fous la dénomination de Burin a gros bec de
. Cayenne. „ s •
x y 0yeç les fplanches' ehkminées, ».* 688, fôus|i;dénonuÆon- Je pM ù tâ poitrine.noiride
Cayenne, g