ce qu’il falloit : à fept heures ïa refpirâtion-étoit plus marquée ï'
Toifeàu öuvroities feu x de temps en temps,-mais-H étoit toujoürli
'cbuché fur fou ventre; à neuf heures-je îe trouvai fur fes-pieds,
a côté de fon petit’tas de cendres ; le lendemain isatis-: & > #&
plein de vie; "on lui préfenta-de la'pâtée-, dqs mfe&es, il réfutai
fëtoût, quoiqu'il n’eût rien mangé-îa veille payant- pofé for aine
fenêtre ouverte, il y- relia quelques mofhens à regarder de,côté
& d’àutré, -puis â;prit-fon effoî en jetant'un- petit .cri- dëqbie, I
& dirige!* fön vol du côté-de la-rivière ( p ) ■. Cette efpèc^.de
réfiitreétion d’une hirondelle noyéé-dejsuisdeux ou trokheures,
nè n S j  t Mpofé à* croire poffible la réfurreaiôÂpériodique'l
& générâle’ de toutes les hilbnddles après avoir-, paffé plufieurs'
mois fous Feau ; la première eft un phénomènê-auqüeHes-pr ogres'
de la-médecine moderne nous,ont accoutumés, &_qui feréalife
tous les jours fous nos/veux d’ans la perfonrie^des ng&ésy'fra
i|j i, |- |t | j> , n jm....findqien-
'damînent dece que j’;u dit, n’cft-il pas contre toutes! r-ai&rÇ; I
blance que les mêmes caufes produifent :des> effets contraires'}
que la température-de l’aütomne difpofe fes ôifëau g ^ -j?engoia.|r
diflèmenj, & ^;cdK'^-4jgp«ieB®sfles #tpôfè--àt,fe ranimer-;
tonrlic que lé degré- moyen 'de cette dernière; température , - , à
cqmptei d u Î2 mars au 20 avril, eft moindre que It degrc-muyén
deéceiïe- de’ Fâutomne, à cQtBpierfdû-ua fe-ptembre au-aoÿtâôi
bie f y ) \ par la même raifon, n’eft-il pas contr&vtoute vraifem^
Une perfonne digne de foi, m affuré avoir leffufciti de la même manière un
chat noyé réceirupent. ' - v . " • v „ ., - ' \ . -
( y ) J ’ai -calculé fa température moyenne de cesdeux„ périodes Jpx un Journd^^o^er- I
valions météorologiques, finies.pendant les dk dernières années, & rj|ài iæouyé 'cpe''^ c f f l
- rieur moyenne de la période du printemps étoit à la chaleur moyenne de la période de/
-l'automne, dans la.-radorr de 22 à 29.4 , v
Épancc ,iè|ue,<iîw,ceifltl.1, ctu 1, 1 itüi e
Hbi-, cil plu-. noidcSa^^s^W.-LLiiin\ ruîiJ.-fii'icls
(.I^Êoumuic*, cjaiiïiiw.lk'V rum a l^H Sm ITlH^sigj^^eMfer,-
iés,f irondcllcsinXu i u * f o n 1 Brcmpslhs înL c K j l l c n t 6t c iisH
n|^svpI^^®,ofés-vév ' p1! c f t ’'■11 )n*siTt ^ rarave'fàî, ks c,knr i l f r 11
H$e' fairri
repfôn^er ‘dans fàiio^ÿ lJA iYtmi^B
çaülcsidoivcni-toujoiûsRuii^îiit^ffilmJiïLS' c-tji.fi jjfC-ft.-rjrijRÎitW
ÎG0utre-ii®u^^raîêrùbLinLc^lu(.^Lv\1iiL,iïfiJui^p'^R.>>.j1a -S i'J i-,, ] 1 iiis^écpu ition ^Gcaiit1 k
,.\cnt c<iiwîoeïî-S^tctiiitnt ks lic s ia c y cH |B 1 iiipiouidiç app--"i*
'■#tids .d ^M 'o n d m ^ ^ ^ ^ u a u c o n t r a s r ^ i® ^ tq f l|^ ^ ^ ^ tu r e '
.id<-sirmis^k' fevuer & dv-^n tfs,,Sfll^lmtc/6c nX m^PsnSl^ykl
.{.oinmc _ ellSslfe f d t ^ t ï i ~p 4 ƒ
"l’é ^ lu e jd e cette apparition} n’ell-il p-K./ciiîTtiçàl'i’d^lulqnlilàiVc.çi.
qSSl^fciitQmnd étant-'chaude-, gg^iifeaujà né daillënt pas deisiéh1-1
'V&ürtüPiu temps jnii^j^ctiteûjiiqdcAl
^ xàfiiine la cauk. de A-ei cnymÎRnfiwncnt'ÿ cnffrî^FMïPM
/dtqvm^öfxq^' l’hiver ÎM/ imecfâMe^duriw^^^^^^^^^oemé’-'dan^ H
.les^mpis Keu^yder I8e?de ,fcjanyiert^Â^^^J^ après^fcelg^MiUMÆÏÉ'fcffipf ^ ^ ^ , ils s’engour-
R v cette?kannée T^tn 'i^^-^^n8eIIes téjtanfc I
* ew .deç^r^^^tamprphpfeji les, nogÆ fc
nourriture^t^«.tetomhoient tmortes^. au-milieu ‘«tejfi
campa^^Gek' pronfeéWa&-. ce^oifèaux nont pas. ïëjlTae^B lJ^ B ^ y ^ ^ ^p'ératiires.
'Vs/fûr que d^^Wlonnes C ^ . - f a i r e -
'po^eétion acad^^u^ ?pflrfie étrangère j toipp XI. Académie, dé ^g,age 51 ;
H ( t ^iL^temps *fflPfi-'tfcÆi-giî ^^^gépciqiie’^ ^ e l même d^sSl^p’îyfedù^spQ^^^^^^ites
avoient commencé d*entrer