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Ld^^’eft^atOT’IëïlRfus petit conitotffiohs dansT'ctpI
,genrê;M. Ijeftart delà gjaiÿïeuî du perroquet de Guinée? |
i'âfediSi celui-ci eft'Beaucoup, plus, petit,; £ eflreoiffk d’ünç
huppcK^i^Sc&ëhcïèn arrière & qifiî reïève à volonté. -
1 - kjqus ^devons, obferyer que Faifear appelé pai; M. BrilFon
kakatoès à ailes & queue muges ( q)x ne paraît p^ être un kakatoès,,
puifqu’d ne-feit aucune mention de la huppe, qui eft cependant
îe^caraÊhère diftinéHf de ces perroquets (rf; d’ailleurs il ne parle
de cet oifeau que d’après Aldrovande, qui s’exprime dans les
termes fuiVans « Ce perroquet .doit, être compté parmi ïes plus ^
» grands; ü eft"de k groflèur d’un chapon; tout fon plumage
„ eft Manc- cendré ; fon bec eft noir & fortement tetlm|p||fe
n.bas âtfîîos, Je craûpion, toute la queuç & ks. pennes de huïet
^ font d’un roüge de vermillon ( fj- » To^ ees-fcaraéleres u%
viendraient aflez à Un kakatoès, fi Fon y ajourait, edut^éï^
. huppe ; & ce grand pcrnx]uet rouge & blanc d’Aldros arick'tqv^
ne-noUs eft pas connu, ferait dans ce cas une cinquième èfpecè; .
: de-kakatoès, ou une variété de quelqu’une des précédentes.'
(q ) Ornhhol. tome -IV, page 214.- •'
(r) Edwards, planche 160.- 1
C f J Pfuï-acus erythroleucos. Aldrovande, Ayi. t I l pag- 675;