H i s t o i r e ■ N a t $ r~e WË e
a îen t à M. Hebert >qu’elles ’paroiffoient le? hivers'après-qïïé’ie s -
I neiges ;des-avefrt?ëto^nV:ïondues f toutes M fois que le tem f|„
I étoit doux.' " “ '
‘ - Ces oifeaqx fe trouvent dans foute-'-f-Europè ; ' Befon- ën a,
obfervé eVRomame qWnrjioieht<kveg|ë^artinjpêe^urs~&:
les guêpiers dans les berges du fleuve Marifla, autrefois le fteÙTO*
[ Hèbrus.(f'J. M. Koehigsfeld voyageant..dans îe Nord,is’apë?eU<'
I que îa rive’gauche d’un rurfleau qui paffe^Kxaiâgerde.Kàkû^j
en Sibérie-, étpit criblée,‘fur une étendue-d?ënviron quinze toiftsy,
«Tune quantité de trous fervant de rttiutc a de r tuf?3oMiux,
grifaties nommés JlrefJusl lefqueïs ne peuvent
déliés de rivage j : on eh voytxt einq ou fix epis voler pfcic-mde.
autour de <^s n o u s, y “entrer jY/fe-loîtir ^ .
yf ment, comme des moucherons ( g J- Les lircndelfes'’Üe'*t!SfÈe?
efpèce font-fort rares dans la Grèce-, félon'Ajriftbte
clics font aflèz communes dans~quefai^s con^ggj^ltaïtfeÿdWpa-,.
ghe y d e -F ran c tfrd '^ le te rie , deTffilanTeHSc d \lkm,igne
elles font leurs trous ou les chdifiU’ent.p.ir préfL-rVnècJ
berges & les fakifes efcafpéea, p,arçe qu’elles, y
sûreté; fur le bord des eaux dormantes, parce
vent les infeâes en pîus^grande âbondknce; ^ n s-le ^ e r/e iàS
fâblonneux ƒ * ) , parce qu’elles ont plus de t leilite a \ fonj. J e u ^
Cf) V om le» Objèntations de Bclon, fol 63 & -
" ( g ) Confultez le Voyage de U. Delifle en Sibérie, dans YHiJIoire générale du^oyaga’,
parue éirârgire, toriic XViïf, page 545-
; animal. Eb. I . cap- t. ; 1
. f i ) Dans les rira du Rhin, de la Loire, de f i Saône, Sec. . ’ • f., . " V ,, > . *
(HJ M.'Lattïnger m'affine qu elles s'étjibliffent dans les ouvertures des grandes ftblonnièresi ;
M, Hebert a vu de leurs trous dans des terreins fablonneux qui avoient été -tranches & c° “-
pfa à pic pour foire paflèr un grand chemin. & l’on ne peut douter que le, terrein des bords
: des rivières & des cotes dé I* mer ne foit un terrein fiblonneux. _•
DES HI mom
Tome V I L '