H i s t o i r e .M a t v r e l l e
point un bcçi. manger;,.e0e k tient indifféremment à îa ville, &
à'la campagne, maïs toujours dans Je yoiflnage des eaux dauces\
on ne la. voit jamais fe pafer; fera vqï eft très-prompt ; fa tarife ’
, effce le de la méfange, & fon poids deux gros & demi. JVLIe
Vicomte de QuerhoëntFa trouvée fréquemment ïe foir à lalifièrq.
des bq'is, d’où il préfume que c’eft dans \les, bois qu’elle paflè
: la nuit. '. • ’ • • -v
r vM è à tout le dëffus dù'eorps', où,plutôt toute ïa partie fùpé-
neuiè; d’un noirâtré'uriiformè, excepté le croupion qui eft blanchâtre,
de même que toute la partie inférieure.'
Longueur totale, quatre pouces deux lignés ; bec, cinqïignês; r'
tarfc, quatre Ignés; vol, neuf pouces; qüeûe, près de deux
pouces ( n’avoit dans Findividu décrit par M. Cômmerfon que .
dix pënties à--peü-ptès égàîès ) j dépaflee-dé dix lignes par les
aies qui font compôféès de fcize ou cfik-fép.t pennés.
Un individu rapporté des Indes par M.' Sonneràt, m’a femblé
appartenir à cetteelpèca, oü'pIuÆoi^feire la nuanée-ènftecette
efpèce & la ■pètifÿ''S^méïïé branea ventre T3e
Bourbon, taril avait le' deflbus du corps tacheié comme 'cèffé-cnf’
& H fe rapprochoit de la première par la cWëuFdü dêflusdtf :
corps , & par fes dimenfions; feulement les ailes dépafloient la,
queue de dix-fept lignes, & les ongîes étoient' grêles &Croehuà
X I I I .
L’HIRONDELLE .a croupiof roux
& q u e u e c a r r é e .
E lue a toute îa partie fupérieure,.excepté ïe croupion, d’un
brun-noirâtre, avec des reflets qui jouent entre le vert -brun &
le bleu-foncé; la couleur roufle du Croupion un peu mêlée,.
prunes; cëlles dek’p f f e â q t u ^ c t ^ K i c f l t t ^
verdâtrèfelés grandes,
ifeVerandiires,bordées
peu lui 1. tô tt extrateUr,
& les eouvçrturesiàfériéüirès ds“f i« p i .^ jv ru fv æ ^ ^ k
LongueuvtqHîë, fix •
tarfo,femqnMs'lignes jffrag&yflS?,
r ï e , U » , % pîus.îfort de tq i^ |^ ) î J y i l l j . . * ' 1 ,
durée p a |f e ||u |^ A pS I B V l
' WCdmmerfon a v t cgx I ojmfddlè furfl^.K»ll>^..t -I. p i ,.,
.ul mois de ni ir_ t iippoitc dii niram. pa .sbn’n' tutrc
individu.' qr|e fenvq^ratirîegardëf'eôn^^
pfgèce; ^ ^ f f i ^tfeifoit^^bn H "quil
~S^r^,U1^ 11 ‘jq j f u t i ^ n m t î ^ s ncU de & dsd
ailesTp&'fonsées^ ^ecîdesirgi^ts, plus diftxnq ' . nVjntii'li'Àrai
fur les; grandes pennes | des ailes qui dépafi>ien.t’ Ia S ^ ë - d é fix
îigqes; la queue un p ^ ^ ü tre h u e ^ & I^ ^B Q u e e s, de.voî. '
x i Vf'-'
* L’HIRONDEL LE
' A C UT IP É N N E N‘E\
Il si trouvi^ en Apienqui rggvd'ife nônd J h s qMfaa
peut.rommeraiunpenne', p ircc rfic- fts pennes de-Lui q u ^ i f f t 'i
entièrllnênt c îé h ü ^ sW g ^ f e n a r fed^ut,& hdilfédt M H l
" J . * ^ $ 5 Phnches “ luminéCSj < Q h H H f . I . ' f e M „ g £ us ,enom ?
d hirondelle a queue pointue de la Louijïane.