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demortes & de vivantes, & M i l B B I I
H M H H S H d’ambre g tf ^ q u ’ib n]en f^ ^ u n c H p u *
p aÆ m ç ^ ^ P a n e chambre; celaTtffeiftMjeau refq l iB M f q l
nourrirent d’infectes & autres^nip%'u^es ^ai^foqt eux-mêmes
parfumesV^gèut-être d’ambre gris. Celle qu’a décrit M. Rriffon'.
yenôit du Sénégal, & avoit été envoyée parJSC'^SESfoa ;rl t a i | ^
comme on voit; die fe trouve auffi qud|uefois en' E * b p ê /ît",
Tout fon plumage cft d’une feule couleur, & cette côùieu’ï* ,j
e ftu n gris-brun, plus foncée fur la tête &' fur'iel^éjffî^s*des c
ïÉes §uë par-tout- affleura^febec^eB:^npir''& les pièds-bruns-;
foifeaùieft tout au plus d e là groffeur d’un.roitelet, _
J’ai héfité fiic ne rapporterais pas cette cfotxe aux ihiràn-
deïïesde rivage dont elle paroît avoir ^ ^ ^ ^ “ àedrK^fcfeue"-;
« f e comme le total de fes habitudes: natùrfeBfes n’e E ^ ^ â fT e z
connu, & qu’d L a h qutueSrmhfimcordt meme que-'noriçj1;
hirondelle domeftique , j’ai cru/dëVoir la .râppSridï^Mitbifè-
inent à cette dernière efpèce'.
‘ '^îLorigiieur totale, cinq pouces & demi; bSeÿÏE£dignt;s; 'tarCej
trois; le doigt poftérieur le ploe-cüiirf'de tous-; v p ^W ç îg iju ces
& plus; queue, près de ttcrâ D G B t e e i ^ ^ ^ f e ^ d k - huit
ügneS, ctSnpôfée de douze pennes ; ^pa flèe par, les ailes d£
quatre lignes; _____ . ■
/fiifeis ; feâridbus cineno-fufcis | . . Hirondelle de rivage èr Sénégal.' Brifion, page 5©8.
Çet Auteur dit qa’H ne lui a point trouyé- cette odeur 'd’anfbre dônt fâpfe ;Seba , mais il
; ne dit pas qu’il en ait oLferyé de yjvantes, jw nlême de cadavres irais. •' - >