les premières bordées ^intérieurement de brun:- roüfsatre ; îe bec
& les pieds noirs;- ceux-:ri-couverts de plumes jufqu’aux ongïes§|
TVf Bajon dit-qUé ce martinet-fait fon-uid dans les ma ifons^’ai !
vu ce nid chez M. Mauduit, 3 étoit très-grand, très - étoffé &
conftruit avec l'ouatte-de Fapocin ; 3 avoit la forme Æun «ôniÉfe»
tronqué, dont l'une des bafes avoit cinq pouces de diamètre, &
Fautrë trois pouces ; fa longueur étoit de neuf pouces ; 3 paroif-
foit avoir jeté adhérent par fa grande bafe, cqmpoféë.d’ùrie cfpèce
de'fcarton fait de ïa même matière; ïa cavité de ce nid étoit partagée
obliquement depuis environ ïa moitié de fa longueur, par
j une doifon qui s’étendoitfur Fendrait du nid obéraient les oeufs,
c'eft-à-dire, affez près de ïabafe, & Fonvoyoit en cèt endroit
un petit amas d’apocin bien mollet qui formoit une efpèce . de
foupape, & paroiffoit deftinéà garantir des petits de fait, extérieur
; tant de précautions dans un p i)s aufïi chaud, font croire :
que cès martinets craignent beaucoup ïe: froid : fls jo n t-^ 1*1
groffeur dp nrwt hirnndp-nps-rte fenêtre,-—■
L o n ^ r a r te ta le , prife fur plufieurs mdividus,bcinq .pouces
trois à huit lignes ; bec, f e à fept ; tarfe, trois à cinq; ongfo'
poftérieur foibïe; queue, deux pouces-à deux pouces deux lignes; i
fooeehue de huit ïignes;dépa|Tée parles ailes de fept à douzeligneSj
É SÉ -
LA PETITE HIRONDELLE NOIRE
A v e n t r e ce n dr é . f>j)
G e t t e H i r o n d e l l e du Pérou", feïon ïe P/Fetfdîée, eft
beaucoup plus petite -que nos hirondelles d’Europe ; ' elle a'ïa
( t ) Hirundo minima Perw/iana, caudâ focomi-FeuilIéc, Journal des Obfervationsphyjîques. ;
page 33, édition de 1725. <
qUfeuc bec trds-'aiÛrtfepxfquuJnjit, Iès.veux noirs, t
K to u r é s d W cercle ^ n ; 1 i tetc ^ t.)^& rfc ,d lj ms,diu0()rd1î l
f c°®Pris ’ ^hpébieurés'
d’uhMoir briHant; tout L,,.dqf)hs J üw ap
lio n n e s desiailes -& d e É à ^ i ^ ^ c e n d i c objciti, & ,U ? ! 8 [ f grj^hmn'âtre:,. -,
V I
* r H I R O N L&EL LE BLE U%|jk
u 1 s (Mm iE-
, U Ntcsjüe u - foNÆÉ(«è'ghe en e flk lc% s% u t fe.-glumage d e l
1 ,ce|pifè'a.q^-cependant ceiphynage n’eft pas rllsfo)ifinunt
ï il ft vane Jans.coHl par des rcfleis qui.joqent ca tL ^M J crifès ’
, teintes * violet j '. f c s '^ ^ S paines
m<us c'eft feulement iur leur côté in té ritu rV & .'t^ n o rr^ ^ h
^ arle.élïèdéployce'j'sftib'ec & les' p ic d s ^ f^ o J ir^ NI
" bec 'eft uppeiECTochu.
•hangaéiflotafè ; ■•ff^pouces-. fix digr^;,v bec ; ■fépï%fg^&
| demies ta rfe yÆ p h g n ^ q u e u ë ’ttrèsifourehne ». f e ro n s tTéP
cinq fagnespar les ailes
»'M-Jbèbeau a rapporte dtï-même pay-s^Km jndry idu^jinJyipafj
^ i t n t vifibïemcnt a ccftc
ait les pènnes d ^h d queues & des ailes, ’& les gr/mbes^viuver- ‘
^ s . d e c Æ s - c i Amplement nohâdes fini aucun reflet* d ^ i
pOÊ^jp
Ihnr'Jo fupernè fplendidè mpra . enfin- euterea , re3.ee es olIre- , [> W
- sr'efiofiamanulus . . . L-hirondeUe ilu Pérou. Brijfon, tome II. pag 458. ■ ■ ■ ■
H H Ë 3 ICS P1'1" ^ Aminées, n." 7 , , , où c e l feau eft repréli t u le „ ^
d hirondelle de la