En j^Ë é ra ç^ ê è a fa s’étoiént autrefois très-cominuris à Saint-?'
l^ om in g u e . Je »vois par une lettre de M..fe chevaJià; ©essayés >
| q nétd^Wïqae les établiffemen’s françois ont été pouffes jufqùe
fur:Iè fômmet des montagnes, ces oifeaux y font moins fré-
q ù en s^ ^ ,'A u jré fte ,' Jes .aras rouges & les aras bleus <pf-foÉr
notre fécondé efpèce,- fe .trouvent'dan^jes -mêmes clin^ats, &
on^abfôTiiment lès - mêmes.hafeittides natuh®êS4 ainll c e d p i !'-
nous aHSns "dire de celui - cî peut ’«’appliquer à j ’autre. -, ’
Les ‘àrâs' Habitent -les bois, dans les tèrréiris humides plantés;
de palmiers, & Hfcfe nourriflènt prindjîàlemerit des fruits du
palmier - latanier, ' dont '5 y a de grandes forêts dans les" favanes '
noyées ; Hs .vônt ordinairement par paires & rarement en tfoûpès;
quelquefois néanmoins iis fe raflèinblent le matin pour Criér
’ fous enfemMe & fe font, entendre d è très- idfofc|b |éttent^ïÇ“'
mêmes cris fotfque quelque objet les effraie ou les furprend ( k )È j
3s ne manquent jamais aüffi de crier en .yoïant, & de
perrciquets, ce 'font ceux qui volent Je mieux ; S travérlent-Ies
‘ lieux découverts, 'indis nefos’y arrêtent pas; ils fe perchent fofo
jours'iur Jà cime ou fur la branche la plus élevée des,arfe*eS^ 'f e
vont.-Ie jour. cfeieher leur nourrifore au foin^ 'foais to M .^ ;
foirs 3s-. reviennent au même endroit, dont 3s ne ' S'éloignent
i qu'a ,îa dîflfoïce d’une.Jïeue environ, pour chercher Ifes fruits!
: 't y cc Dans toutes cesîles ( Antilles ) les aras font devenus très-rares , parce (pie les habijjtans
îes détruifent à -force d’en manger; 3s fe retirent dans fos endroits les moins fréquentés,
î&on ne les voit pins .approcher des freux cultivés.*j Ôbfervation de M. de 10 Borde »
: Médecin du Moi à. Cayenne.
•h (j.J ee Les lndiens étoienfcdans une profonde focurîté ( à Yubarco; dans le Darien ) Iorfque
«les cris d'une'forte de perroc^ét&Touges, (Tune groflèur extraordinaire, qu’ils appdooent..
guacamayas j les avertirent de l’approche de leurs ennemis. « Expédition d’Ojédâj&c, Hiji.
générale des Voyages, tome X II, page 156.
rnûis. Duteitie f l ) d/t.que&mifcriJ >3^ folitînid3«Biafcf,^ f niim
mangent,Ie'>fruifkdu^a^e^ilit.r Aqdyj,comme' f. v-u i J f c lB
umtpofooïfopour ^vraifembllijëmenr poqr Ié§^upa®
des mim iu&£ifiyjoùti»que li oinir do ccs|èft»tquffi^ramjfe-J
des pommés£dé^^nseBieE^.eft.mafefaine|^j mêffii-vénémkfofe j.
nfanmoins^.on. Jtning'e ’fousÇji's j ji > ui a des; .aras a ilim n mirIIt aiu
Brefd, -&dfflàïiy^ga*isj§jLu^^^^^SrniodL,‘^ ^ a fe|Uil n $
ait. pas > da.txtarieenïfeiiitdans) ces Ja3terégsiMfoi&,. i -
\ ant-jme nournture plus .abondante.&.qiit leûw&oSy
-.•'.m^nangent .poigt le^fr-ui£s|der cét-{:u.brï:. deSanUu'^^
H p%i;ôî|<que'ks tj-iejfoM.-ts ^dans.-fo; rip^càu^mijhdeSfo^t At
* t^ ^ p e u .-p rè s , qu^MiliH^ay^py&u îê^anmiam^àfl^es.tèiirè&,
dJti.tcs^a^a^Lia»,ymfi.iiis ^ffa|gifers, & luÆ^rfcuU ijjsim&"
Hles a l’alpLcbde l'Hommequi mal aluni. &.peusinpmlui.uK dan*
ccsjragiops Mn») .a.jjpu.point'Ciiu.wiL t SC connoitiefun,unpj
^ ’eft < 1.-que lfeirç d /vRî^iii illlac dgs>pi,tmius tcmpwde^uH
’^ouverte de^4’Amuiqui. Its, perroquets sa I4dLy.pt
prçndçp au à la main du chaffeur, ;le ‘feuiéfofês
‘^çmes n^j^^ffrayoït guère, &'j^rnéTuyoMft^m-erf?7oya||6
iëurs'nümp^gnons tomber morts ;_3$ préférqiênt‘àï;feÇpLttMe dès^
-fbrêfo, les arb^^Jantés près des madons^c’eft-Ià queit©£’i^dieja,s
-'fe;preqpient• trots oubyaatrp tois Uanncc pour s’appropuei fouis
.belles plumes, fobs que;^.cetteélpfeenie (Violence .parût leur faifà%
( i$&Hiftore. c^^j^’ipîYés-l tome I I , page^aE. ""
• (m ) (« Les petits oifeaux C[Ui, rempliflent les bois à la nouvelle Zélande, connoifîènt fr peu ^
les hommes, quils fe juchoient tranquillement for les branches d’arb'res^les plus voifînesçc^
de nous, même à l’extréniité de nps.'^ifils/.'nous étions pour eux\des objets nouveaux qiîtiI^S['|
regardoient avec une' ctïnlfoé égale à la^riotre. « ücfoào/r dé &f. Fprjlcr, dans Ie-cJkojid^
rr âge du capitaine Cookj tome I , page 206.,.
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