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Mnêonnues à FEurope, & ça-fi grandporofe-qU'à Calicut ( l
à. Bengale & fur les eàtes d!Afrig«e, les Indiens & fcs Nègres
1 étoient obligés de fe tenir dans leurs champs de mW .& de ris
’ yirs)Je*temps1 de la maturité, pour ert âoigoer ees.ojfeaax qui
viennent-lés dévafter (m j.
. • Cette grande multitude de perroquets dans toutçs les régions
qujlsjiabitent ^ra^lféSible prouver qu’ds réitèrent leurs pontes#
puifque châcüne 'eft allez peu nombreufe ; mais rien rfégaïe ïà
varié^cFefpèçes dV>Jj^gn¥»de ce genre, qui s’offrirent aux Navif
gateurs fur toutes les plages méridionales du nouveau monde,
lorfqu’iîs en firent la découverte : plufieurs Hes reçurent lç nom
cf/fcr. des perroquets, Ce furent les feujs animaux que Colomb
trouva “dans la première où i! aborda (ig$ , &. ceç.,oi®uS
fervirent cPobjets d’échange dans le premier contractée qu’eurent
les Européens avec les Américains ( p) . Enfin on'apporta des
perroquets d’Amérique & d’Afrique en fi grand nombre, que lu
perroquet des Anciens fut publié : on ne le gorinqifiqit plug du
temps deBeion que par l& deferiptiori qu’ib en avoîentlgiffée
& .cependant, dit Ajdroyamjc, nous n’avons qqçor-t vil qu’une
(F^ReçaÆ des voyages qui ont ferVï à l'établifiement de la Compagnie des Indes, &c.
iAmjlerdam, Tjoz,' tdmè^III, page 195.
(m j Voyez Mandeßo, faite, tf OUarius. tome H, page 144;
" ; Oh) Sntre pîuÉëilfS animaux remarquables, les perroquets du Malabar exeiten|||||f^®'■*'
»ration des Voyageurs, par leur quantité prodGgieufè, autant que par la variété, de leurs
«çlj'èçes;, Deïïon afiûre qu’il avoit fotiyeqt eu. le pîaifîr d'en voir prendre jyfqq’à deux
cents? dun de filet- » Hiß* girier. des Voyages, tome X I , page 454.
, QjifinâJipni y une des Lucayes. *
(p) Voye% premier voyage de Chriftopbe Colomb. Hiß» gériér■ des Voyages;, tomé,
(%) « Tellement, dit#, que ne l'avons one veu, finon en peinture j? Nat. des Qifeauje,
jpag£; 2$.
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& toMafliJur-fiî.' imt^iï^ud<c-rn, .?|iiittliYffc'MUL
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#<- it^ufe-i^l's dp'Ætf, ’rcmaiiiufiÈhtyd^'h n s u lK d 'a h v îm M lf^ ^H
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M'à'rritëH^t*peniia!fcû^) c ju t a n t qii*riÊfiÇ^lblLj.]'()rdrL que fil
Ü^ktïtre a-nM'dïrfif&tte multitîSg^efpèe&^ fl nf .^ar
m in des tonnes que p u k'ïliVifi^dtdé^ eluna™ iS ^N ^ itija o n ? ^
le gpnré e'ntîei |di*ees oils.iu\®'M)rî^e^rv.mî^nClL,' d11n
dônt*k première contiendra tous iurfptiioquets, elefcSiiciMrce^jïi
turent, &. la Icconde1 toiis* ceux 'dû rKiuvjetu moiMes=ienbîii§^:
apusiifiibfeî&ipns çr^cinq grandes famjïïes^.faSSR
‘ÿeévKàfcafeês #®SN.Eerroqüsts proprénient -5x!its^ ,
Perrinfches à Iongife''>qf®àae, & fes^PefrMlies à queues c|Ép|e';'?18el
■ ut*îhéme mufifiibdivifâi^gsceiix dùaneuyeau cofifinight çn fix
auttes^frlmlles/faVeririU^t Ai rs, fes'A^a&inës ^e'VXSn.k's1,. les
‘■fenuiits^ftwPeincbes a queue fdrè;M*6c enfnmles Bêiiie'ies
'à\qüeùe-.cQUJte. C b a c üW sW S ^Ô n ^ ^ S oe ï® familj'ds, ell
‘ f i ^ ^ ^ ’âr^)lçivfâm£teres dïïfeéhfs^rîu dmfrif5rhs,ç|iaeun,c porte
|aüaMgslivrèerpartrGufière4qniles rendirèeoôfbîÈ6es, & ‘nc«s”
^aHoris^pr^Ster ceffis de Fancren afflmait. les premières.