d’attsdMâà^on^empiiffsitiebscai jufqukuxqtod^Se qqfan
tMrëcouvxoït îiiPun poiefa de--<fouze*o,4eesv, dfes eniewoenrae
,géi4s,& le.faübrèBt tomber. pour avoir-de^air.;A-Pégarddes^pis j
gimomïïesque^BSn 'a.tenues.oenftammènt -fous Feau^-elles^ltit
•xeffé» d é fa ire . t©ui -dailrs -efforts pour «s'approcher j I© pïus près
poffibïe de fa.faface,-i& -enfin* elles ffomt mortes-', les upestaul
bout de vmgt-quatrefeeures, îes autïesvau'boutdédeuxqours'^l*'
mais dénia-été autrement .de-s-trois i quiÆVOienrf’air ,-&>Ifeinr
des.=quatre qm,avoientFair.& point* d?eaUSi<ie''ees,fÊpfegteàs#aies
les quatre dernières .& Une-des prermères-fe 'font échappéest.ati
bout d u n mois, & ies desx qui PfcnMeftées-j -*F*une maie &
fautre femeîle, font plus' y f e qùèija^ais danace-moment<faa|
ayrâ«-i779 ), &dès ïe*a'femeïïe avok>nHduenvir6^>f®®ieeufsi
T vc-^ in * ^ expériences faites av ^ d è ^m êm ss?prë¥autiQiasdur
neiIÊpetits.poiffons d ejfep tjjrfg è c e s^ i^ ^
ïékdtatsdaïïHâBTes^. eesrfepï é f p è o f t^ F les-goupns^^ablettes,
T ê aH Sm iS ïfe v é ro n s ,--les'«àak)tsî5 .ïes*jrouffes~& i>Shèi|Utre
dont jje.ne-connois.que le nom,.vuIgaire^piîufagbdaîisJè)p%s
jîgieipialHtej fivoir, fa bouvière .-.Jimt qndrfadoâdes' fix^gremi®es
efpèces .r^ius fous feau., font moüs-en^anoins:' de ssa^B^quâtre'
h eu re s/r) , tandis qüe les individus qui étaient dans ^ b e ù t e d ç s
- (h ) JL eft bon Je remarquer que les- grenouffleS*font trèt-vivaress quelles foutiennent
pendant des. mois le jeûne .Le plus abfolu, & quelles confervcnt, pendant jffufieuK fautes,
Le mouvement & La vie, après que Le coeur & les autres vffcèîf t ui oui été tirés du
: corps,, ï% e j la CalkSon acailmiqüc, B if.N a ü 'flp a rli, tome I , page'320.. .
7 ( i ) L’abiette eft morte en trois heures, les deux petits meuniers en-fa heure ; & demie;
lun des 5 111 .ns au bout de fept heures, L'autre au bout Je douze heure le vér 1 en
fept heures & demie, le chabot en quinze heures, là rouffe en vingt-trois heure , ISt la
loiqiire en près de quatre jouis Ces mêmes poiffons tenus dans 1 f , fcntjinorts -ta . ,
les -ablettes au bout de .trente-cinq à quarante-quatre minutes, ' bout dfn"
viron quarante - quatre , la rouffe au bout de cinquante ou cinquante-deux, les;-meuniers.
n & w - y . H i k s j v . & ë % 'L W È 24J
fembîables, mais avec fa liberté de s’élever à îa furface de Feau, ij
' ontJi'çcLb nitb1 leur fovafcitç '•■gJLayaUc
r§pfibm£ée Biu^i»foiag-tempL‘aufM^s^flî^UtiresjtfirfpBàes ;
mais j’ai remarqué q uep^divida 1 ibrewjgefettJmén^upu^Kic
j^pnl^qi^et'itaifement-âuridefliÿ de'ï’eau^M&t â
qitejces poiffons (k rffpîîjaeptî> plus hIb»ieHfanefa'Cs,qqe^^®|||re^ -,
audond'.deSBijuiffeau-xq6||^Stf|i!ppp(eÿojft nhai(IMiiiifatid||àn peW
, diftuerite' ( k j ,, ce pend mt je doisjf i/outuMcm 'MjXn illiWcinte^
,mc s'devoitlotwcntjulqffaux tu\ aux de p.idL qfiltifeHip-il l ' iÆ
^ a r riv e r au-deffus de Feau ,^que des I^factmcO*]tiuftife6njfflj
ifrant, mttltaïfoiîfeiifèj-que^ii-relpiritron* cogyæi'tn*. i d iSqfer-i à
l-d^eiut^énibjgrjà*&' foj|éjkÆe,>pMe * 7’ *
„ iMaisscequtpaioîtra plus fariaîsnm t. c’alkaaeiMe deu^oa®p;es ;
égaies, celle que ]’n tenue eo iftimmentJJFous«i t tu-, .toeeu un’ j
,^S^femoinsvque«eH'e>qae’îj»a»teBue(Ijors;'dé?î|^^^^^^^§|I'j
,,que/edfetcLJVçj^ie débattant ,dtUt,jpp&&ftdej>dtffa> Jj^ tH a te*
d?une jghpnunéei qui--avoit ’quatre &
da'Ë;sedsu:x àutté%expériences comparées ,„faites XuEdesuneumers.
-vbeaueoup' plusugros que ceux dont îk a tte/juefkiin eimLffps,
au bout de cinquante à Toisante, l’un des vérons en deux heures quarante-huit minutes,
l’autre en -trois heures, l’un des goujons au bout d’une heure quarante-neuf minutes, &
l’autre au bout de fix heures vingt-deux ; le plus grand de t lus ces poiffons navoit pas;
vingt-lignes de Ion» entre? Æ'tL-&L oueue.
i K 3 S ^W 8y f i ^ .-4M licq ^ qu’une nag®^ ^®gne. x
elle, les écailles du deffus du corps .jaunâtres, bordées de brun, & celles du deffous nacrées.
( I ) Cela a lieu en général pour tous les poiffons qu'on laiffe mourir fous l’eau -, mais
il y a loin de-Ià anx changcmens de couleur li linguliers qu’éprouve, en mourant le poifldh :
connu autrefors.'.êhëz' les romains finis le nom de mullus, & dont' le ,ip dtale lâilbit partie
. du luxe &■ des plaifirs' de la table chez ceux qu'on appeloit alors proceres i . Voyei ]
Pline, Hïjl. Nal. liv. IX „ chap. x.y i i ; & Séncque, Qaet. Nat. li III, chap. sym .
(n i) La première a vécu (Ex-huit heures fous l’eau, & la fécondé près de y ngt i pt
dans l’air. ®
T om e F I L