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 POLYGONATÜM  VULGARE. 
 Fam.  des  A s p e r g e s .   J u s s .— H ï x a s d r i e   m o n o g ï n i e .  L i n . 
 Polygonatum  vulgare. P .  foliis  semi-amplexicaulibus,  caule  angulato,  pedun-  
 culis  axillaribus,  subunifloris. Desfont,  in annal, du Mus. d’Hist. nat. vol.  9. p.  49.  
 Convallaria  polygonatum.  C .  foliis  alternis  amplexicaulibus,  caule  ancipiti,  
 pedunculis  axillaribus  subunifloris.  Lin.  Mat. med.  168.  Gmel.  Sib.  t.  p.  34.  
 Phil. bol. 2 18 .  Lin.  sp. pl.  45 1. Mill. dici. n.  5. Scop.  Carn. 420. Pollich. Pal.  33g.  
 Fl. Dan.  t.  3 7 7 .  Rolh.  Germ.vol.  1.  148.  2.  388. Willd. sp.pl.  2.  p.  161.   .Smilh.  
 fi.  Bri/.  1.  p.  372.  Engl.  bot.  l.  280.  Lam.  dici.  4.  p.  368.  Fl.  Fr.  éd.  3.  18S9.  
 Convallaria  foliis  alternis,  floribus  axillaribus.  Fl.  Suec.  2 7 4 -2 9 4 .  Dort.  Cliff. 
 124.  Gron.  Virg.  3j  ?  Roy.  Lugd-b.  26. 
 Convallaria  foliis  alternis,  pedunculis  pendulis  unifloris.  Sauo. Monsp.  42.  
 Convallaria  anguiosa.  Lam.Jl.  Fr.  8S9.  n.  3. 
 Polygonatum  caule  simplici ,-anguloso, cernuo, foliis  ovato-lanceolatis, rio-idis,  
 alis  unifloris.  Hall. Delà. n.  1 242. 
 Polygonatum  floribus  ex  singularibus  pedunculis.  Bauli,  bis/.  3. p.  S 2 9.  
 Polygonatum  la tifo lium ,  flore  majore  odore.  Bauh.  pin.  3o 3.  Tournef.  inst.  78. 
 Barrel.  ic.  711. 
 Polygonatum  latifolium  secundum.  C/us.  hisl.  1.  276. 
 POLYGONATUM  SCEAU  DE  SALOMON. 
 D E S C R I P T I O N . 
 Les  pédoncules  uniflores  et  la  tige  très-anguleuse  de  cette  plante  la  distinguent  
 suffisamment  des Polygonatums  mulliflore,  et à  larges feuilles,  avec  lesquels  
 elle  a  d’ailleurs  beaucoup  de  rapport.  Sa  racine  e s t ,  comme  dans  les  autres  
 espèces  du  même  genre  ,  bian ch e ,  ch a rn u e ,  noueuse  et  plus  ou  moins  contournée. 
   Sa  tige  est  s im p le ,  droite dans  le  b a s,  arquée  dans  le baut.  Sa  partie  
 inférieure,  presque  c y lin d r iq u e ,  mais  profondément  striée,  porte  à  quelques  
 centimètres  de  la  terre  une  ou  deux  folioles  lan céo lé es,  linéaires,  engaînées  
 a  la  b a s e ,  demi-membraneuses,  exactement  appliquées  contre  elle.  Elle   est  
 dailleurs  tout-a-fait  nue.  Sa  partie  supérieure  est  très-anguleuse,  chargée  de  
 huit  a  dix  feuilles  sessiles  ou  demi-embrassantes,  o vales,  un  peu  aiguës,  mais  
 non-rétrécies  en  pointe  au  sommet,  parfaitement  glabres  et  entières,  souvent  
 ondulées  sur  les  bords.  D e   1 aisselle  de  ces  feuilles  naissent  des  pédoncules 
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