
C E N T A U R E A Jacea.
Centaurée jacée•
Allemand. Gemeine Flocken-blume.
Anglais. Common ICnapweed or Matfellon.
Français. Centaurée ou Jacée dej_pîés.
Fleurit en-Juillet et Août %
S ïNGéu és iE Polygamie F r u s tr an é e .
Ord.'Nat. linn. xlix. Compofees.
. , „ „ „ t>„notarié Cbveux a — Aigrette Ample.— Corolles in Rayon
« « - “ »* »
radicales finueufes et dentées, Rameaux anguleux. M P p 1 ”
* & t l ^ r M . 7 2 A m « *>’» * »s™“"1 » £
„ , , r- /Ip fnire le lena de la D igue Orientale de
VAMéTé. J’ai obfcrvé Z ee ;e ne dirai pa’s une monftrmfité,moisune véritable et
I’E em entreA.MESFOORT et leZuiDER ,] coUvFait presque la digue en certains endroits,
bien Singulière variété de cette CctWk du Rayon, qui dans l’espèce ordinaire et dans toile
t t e , .variété .confine en ce que contraire dans celle-ci femelles et
tes. le s . autres de ce genre font » - f - f „ de couleur pourpre, furmonté d’un S«g-
J’y ai I desfous de câ cu n de ces F le u r s ra -
mate un peu recourbé, ovale et ü i P P F du Centre et couronné d une Aigrette dion*, fe mmmw te Æg mwm1§ ? » plus longue et Plus. ,^ ? le’ c^ l i avec foin, que j’ai femées dans un Jardin,-ou elles ont très
I » M SdMdus, portant | mêmes Caraftètes que ceux que J avois obferyés
fur la fusdite Digue. (Favrod)
L ieu naJAL. f u r d a n s les terres cultivées autour de
Le long des Digues a IIaren P_ . d’Harlem fur le Dunes couverts de
Z wol et Harderw-yk, ainfi qu d|ns Jes environs de la Haye, dans les Dunes fitués
gazon près K U K t l l 8 Volûnage de Nimèoue et affleura.
cn'.reLoosDUiNEs etter HEYD , en abondance le long de la digue méridionale
Add. d d T rad. ™“ L oiufieurs digues -Sabloneufes delà Pi-ovmçe d Utrecht :
t \ Ï ^ e 1 r S r S n t çaqet la fur la même digue,- ou j’ai obfervé la variété remarquai
s | dont P“ ’-f Abeil)es.(S,v. Ali.
USAe^ ° ECOE | e d e tm Plante foit regardée par Lusisé comme une bonne nouriture pour
: GlêditschJ.— Quoique cettcr s . refufent, lan's doute,'a caufe de la duditfcr^
s “ P ^ ^ é ï e s , ausfibien- qu’àcaufe du piquant de fes Feuilles; c’est pour
■ele-’ f i i fn’ât°avanta^ufe ni dans les prés, ni dans les prairies (Erhart, BrugmansJ. —
GLEOiTSCH^tapporte, % S g X j - pourfendre les étoffes de l e
, P i f Reu-Ï) — Ce*te'Plante fe transplante difficilement; atsfi pour la cultiver, eut*
M i l l e r , qu’il faut la to e r ai Automne,