h i s t o i r e
P L A N C H E L X X X V .
L a Puce n’a p oint d’ a ile s , ce carade-re l’a fait ranger
dans la d a lle des in fed e s ap te re s , c’ eft-à-d ire qu i n’ ont
p oint d’ailes , cependant e lle a b eaucoup de rap p ort
av e c les autres in f e d e s , en ce qu’e lle fubit comme eux
tou te s les m êmes mé tamorphofes, 8c qu’elle ne p arvient
à fon état parfait qu’après a v o ir p afle par l’état de v e r , .
enfuite par ce lui de nymph e renfermée dans une coque
q u e lle fe f il le , & d’où elle fo rt fous l ’état de P uce ;
alo rs elle a fa forme p arfa ite , e lle e ft adulte & e lle p eut
fe reproduire. T o u s le s autres in fed e s fans ailes forcent
au contraire de l’oe u f fous la form e qu’ ils d o ivent a voir
jufqu’à leur m o rt -, ils ne fubilTent aucun ch ang em ent,
ils prennent feulement de l’accroilTement.
L a Puce a p ou r c a rad eres génériques fix pattes p ro pres
à fau te r , deux yeuX^fla bouche recourbée en-def-
fo u s , les antennes filifo rm e s , le ven tre fimple 8c aron-
d i , c’e ft-à-d ire fans filets.
L a figu re que nous donnons ic i de la P u c e , a été co p
ié e d’après celle que H o o k a donnée dans fa M ic ro g
raph ie , vue 8c g ro flle au microfcope fola ire comme
l ’efpecede la Planche précédente. M . G eo ffro y rapporte
d ’après ce meme auteur ang lois pou r p ro u v e r la force
d e la P u c e , un fait qui fiirprer.d encore p lus par la patience
8c l’adrelTe de l’artifte, que par la fo rc e de la
P uce. « U n o u vrie r anglois a voit conftruit en ivo ire un
« carrofTe à fix ch e va u x , un coche r fur le fiege a v e c 'u n
s> chien entre fes jam b e s , un p o ft illo n , quatre perfon-
» nés dans le carrofle 8c deux laquais d e rr iè re , 8c tou t
« cet éq uip ag e é to it traîné par ùne P u c e » . Hifi. abrégée
des injectes par M. Geoffroy ,T . i.p.ôil.
P O L Y P I E R S .
P L A N C H E L X X X V I .
O n admet le n om de P o ly p ie r p ou r exprimer en géné
ra l les corp s marins qu i ont été mis pendant lo n g -
tems au rang des végétaux , mais qui ont ete enfin re connus
pou r des p ro d u d io n s anima le s, parce qu’ ils
fo n t form é s 8c habités par de petits in fed e s auxquels
on a donné le nom de Polypes. C e s petits animaux v iv
en t & travaillent en fociété comme les A b e ille s , 8c
conftruife iit des cellules ou des tu yaux analogues à leur
fo rm e & d’ une fiibftârice plus' o u moins dure ; mais
com m e on ne connoîc que très-imparfaitement leur
co n fo rm a tio n , on eft ob lig é d’a v o h recou rs à leurs
ou vrag e s p ou r p o u vo ir les claffer méthodiquement.
O n div ife le s P o ly p ie r s en tro is ordres p rin c ip au x ,
qui fon t les L ito p h y te s , le s Mad rép ore s, & le s E p on ges.
O n a donné le nom de Licophyte à ceux qui fon t en
Tout ou en partie d’une fubftance analogue à de la corne,
on comprend fous le n om de Madrépore le s P o ly p
ie rs qui font en entier d’ une fubftance pierreufe ; enfin
l ’o rd r e des Epong es renferme ceux d’une fubftance mole
& fpongieufè *. Cha cun de ces trois o rdres fe divife en
plufieurs genres', lelquels (è foudivifent en un grand
nombre d’efpeces. L e premier ord re contient trois g en re
s , (a v o ir , i ° . les L ito ph yte s fim p lé s , c’ eft-à-d ire ceux
q u i font en entier d’une fubftance c o rn é e ; z°. les L i to p
h y te s dont la fubftance cornée eft recou ve rte par une
fubftance terreufe plus ou moins d u re ; j ° . le s L ito p h y te
s articulés. L ’ordre des Madrépores renfe rme un p lus
grand nombre de g e n re s ; o n compte i ° . les Madrép ore
s b ranch u s , o cu ié s , auxquels on a donné le nom de Pore j z°. les Madrép ores branchus dont les rameaux
font cylindriques & terminés en p o in te s , 8c qui font
connus fous le nom d'Abrotanoïde; j ° . les Madrépores
cylindriques b ranch u s , qui fed iv ife nt en ung rand 'nom-
b re de rameaux qui font garnis fur tou te leur longueur
d’autres petits rameaux comm e fi c’éroit des feu ille s , c e
qu i les fait appeller Madrépores en arbres, quand ils font
é le v é s , 8c Coralloïdes, quand ils font b a s ; 40. le s M a drépores
en lames paralleles comm e le s Champignons
* Il-ya encore plufieurs Naturaliftes qui produ;tes par des infectes comme les autresd Pooultyenpti efris ,l epsa Ercpeo nqgue’so nf onnet peut les découvrir dans la fubftance des Eponges.
n a t u r e l l e .
de mer. 5*. les Madrépores à rayons concentriques dont
les tuyaux font tous réunis en mafie, auxquels on donne
le nom à’AJléries ou Affroïccs ; 6°. les Madrépores à
rayons ou lames concentriques, dont les tuyaux font
diftin&s 8c même quelquefois ramifies comme les Oeillets
de mer ; 7*. les Madrépores ftriés qui fe divifent en
branches applaties ou en feuilles, connus fous le nom
de Madrépores en feuilles ; 8°. les Madrépores ftriés en
mafie comme les Cerveaux de mer; «Aies Madrépores
à tuyaux ouverts 8c réunis les uns aux autres qui font
appelles Millépores ; io°. enfin les Madrépores à réfeaux
connus fous les noms de Re'tépores, Dentelles de mer ou
Effares. Le troifieme ordre contient quatre genres qui
font i° . les Eponges en mafle ; i ° . les Eponges plates ;
j° . les Eponges 'cylindriques ; 40. les Alcyonium.
Les quatre figures de cette Planche reprélèntent
quatre Litophytes. Celui de la ffg. 1. eft unLitophyte
fimple, il eft en entier d’une fubftance analogue à celle
de la corne, & noir ; il nous vient des grandes Indes. 11
eft repréfenté de grandeur naturelle; mais il y en a de
cette même efpece qui ont jufqua deux pies de hauteur.
Le Litophyte de la ffg. 1. eft de î’efpece de ceux que
l’on nomme Panache ou Eventail de mer» Sa fubftance
cornée eft recouverte d’une fubftance pierreufe produite
par des Polypiers. Cette Panache différé des autres en
ce quelle a fur toute fafurface de petites élévations faites
en pointes & entièrement pierreufes , à l’exception
de la bafe qui eft de fubftance cornée. Les Glands de mer
qui font attachés à cette Panache, font recouverts de
même que la Panache, d’une couche pierreufe formée
probablement par des Polypiers differens de ceux de
la Panache. Il y a de ces Panaches qui ont jufqû’à un
pié 8c demi de diamètre. Celle-ci eft repréfentée de grandeur
naturelle; on trouve cette efpece à S. Dominguc.
Le Litophyte de la ffg. 3. eft compofé de trois fub-
ftances très-différentes ; il eft recouvert en entier corn-,
me la plupart des autres Litophytes, d’une partie terreufe
ou brune, mais la partie recouverte eft dure, blanche
8c d’une fubftance pierreufe. J ’ai fait repréfenter une
branche A de ce Litophyte dépouillé, afin de faire voir
fa conformation. La fubftance cornée ne s’étend pas d’un
bout à l’autre de la branché , elle n’occupe que les étran-
glemens, & fetnble ne fèrvir qu’à réunir par des articulations
la fubftance pierreufe. On donne à ce Polypier
le nom de Corail articulé. On le trouve aux grandes
Indes.
Le Litophyte de la ffg. 4. eft celui qu’on appelle Co-
ra.il articulé rouge. Il a beaucoup de rapport avec le précédent
; il n’y a de fubftance cornée qu’aux articulations,
& le tout eft recouvert d’une troifieme fubftance ter-
reufè, mais beaucoup plus dure que celle du Litophyte
précédent. Gelui-ci eft d’un très-beau rouge avec des
points jaunes. On le trouve à l’île de Bourbon.
P L A N C H E L X X X V I I .
On a donné le nom de Pore aux Madrépores -branchus
qui ont à l’extrémité de leurs branches fur le tronc
& fur les branches même des figures rondes divifées en
lames qui s’étendent du centre à la circonférence, &
auxquelles on donne le nom A* Etoiles. On voit a la ffg.
1. un des plus grands Pores que l’on conhoiflè, il fe trouve
dans la Méditerranée. Celui qui a fervi de modèle
pour cette figure, avoit plus de trois pics de hauteur, &
environ fix pouces de circonférence. ) . ■ '
Le Pore de la fig. 2. fe pêche auffi dans la Méditerranée;
les étoiles qui terminent fes branches, font beaucoup
plus grandes que celles du Pore précédent, ce qui
lui a fait donner le nom de grand Pore. Toutes les extrémités
des branches font ftriées, 8c les ftriés diminuent
de profondeur à mefure qu’elles s’éloignent de
l’extrémité. .
Le Pore de la fig. 3. eft le Polypier connu fous le
nom de Corail blanc ou Corail oculé. Toute la fùrface
du tronc & des branches eft couverte d’étoiles. On en
trouve beaucoup dans la mer de Saint-Domingue.
' Le Pore de la fig. 4. eft le Corail proprement dit, ou
le Corail rouge, couvert dç fon écorce fur laquelle on
P O L Y P I E R S .
voit une très-grande quantité de petites étoiles éparfes
fur toute fa nirtace; fi on dépouille le corail de fon
écorce, ces étoiles ne font plus apparentes. On pêche
du corail fur les côtes du Languedoc, de la Provence,
d’Italie, de la Sic ile, d’Efpagne, &c. Celui de la Sicile
8c d’Italie eft beaucoup plus gros & plus haut que celui
des autres mers.
Le morceau de Goraïl qui a (èrvi de modèle pour
cette figure, prélcnte un accident très-fingulier & qui
pourroic fervir à prouver que ces corps marins ne végètent
pas, fi on avoit encore befoin de preuves. La
branche A (èmble avoir été caflee dans la mer environ
à deux pouces de Con extrémité, & le morceau cafte eft
fi fortement attaché en trois différens endroits A B C ,
qu’on ne pourroit plus l’en féparer (ans courir rifque de
carter de nouveau cette branche. Peut-être auffi font-ce
des Polypiers qui étoient venus établir la bafe dé leurs
travaux fur cet arbre de Corail, & qu’ils ont etc interrompus
par la pêche qu’on en a faite, mais je croirois
plus volontiers que cette branche caflee faifoit partie
de l’arbre.
P L A N C H E L X X X V I I I.
Les quatre figures de cette Planche repréfentent qua- !
tre Madrépores de grandeur naturelle, ceux des fig. 1.
d1 1. font du genre des Madrépores ftriés en feuilles ;
celui de h fig- i . a des ftriés qui s’étendent tranfverfale-
ment fur toute la largeur de chaque feuille en forme
d’ondes. Dans le Madrépore de la fig. 2. les feuilles font
moins détachées 8c en plus grand nombre que dans le 1
précédent, 8c les ftriés forment un deftein plus compofé,
mais moins régulier : on trouve ces deux fortes
de Madrépores en feuilles dans les grandes Indes.
Le Madrépore de la fig. 3. eft du genre des Abrota-
noïdes, il fe divife comme un arbre en plufieurs branches
qui fe terminent en pointe, (à furface eft patle-
mée d’une très-grande quantité de petites cavités qui
fervoicnc de loges aux Polypes qui l'ont formé: cette
efpece de Madrépores nous vient auffi des grandes Indes.
- ” .
Le Polypier de la fig. 4. eft du genre des Madrépores
en aftres, il fe divife en un grand nombre de branches,
qui fe fous-divifent en d’autres branches plus courtes
qui le rendent touffu comme s’il avoit des feuilles, &
qui lui donnent par-là beaucoup de reflemblance pour
le port aux arbres , toute (à furface eft parfemée d’une
tres-grande quantité de petites cavités rondes qui étoient
ies loges des Polypes qui l’ont habité : on trouve auffi
ce Madrépore aux grandes ïndes.
P L A N C H E L X X X I X .
, ^csfig• 1 . 1 . repréfentent des Polypiers du genre
des Champignons, lefquels font comportas de lames
parallèles; celui de la fig. 1. eft l’efpece la plus com- I
mune, elle reflemble beaucoup au Champignon qui végété,
c eft fans doute cette reflèmblance qui a fait donner
a ce genre de Madrépore le nom de Champignon de
7ntr> on en trouve de différentes grandeurs & de différentes
formes ; dl y en a dont la face inférieure eft fi
concave,que ce Champignon reflemble à un bonnet,
ce qui lui a fait donner le nom d c Bonnet de Neptune.
p o l y p i e r de la fig. 2. eft auffi compofé de lames
parallèles, 8c par confisquent du genre des Champignons;
on le prendroit au premier coup d ’oeil pour la
imace de mer ordinaire, mais il en différé principale-
’ y en ce (î ue les lames font interrompues & entre-
ees les unes dans les autres, au-lieu que dans la
nace ordinaire les lames s’étendent depuis le fillon
' tra'Ser(e la face fupérieure jufqu’au bord inférieur;
tr<* C C Pe»C. ^eA ^*mace eft beaucoup plus rare que l’au-
u ’ J* h? * a*vue ^ue chez>M. l’abbé Nollin, qui a eu la
ohli»' Ü tmr k Pr^ter Pour la faire deffiner; j’ai été
' longueur * *a*rC r^ u*re » c^c a huit a neu^ Pouces de
^ 4- repréfentent des Polypiers du genre
Plufipnr° UeS 0U A f fi le s , lesquelles font compofées de
rs tuyaux reunis en marte, de façon que fouvent
on ne peut diftingue r au -deh ors aucun dé ces tu ya u x ^
8c que p ou r le s v o ir il faut cou pe r le morceau h orifon-
talement ou perpendiculairement,l’e xtrémité fiipérieure
de ces tu yaux e ft terminée par des lames qu i partent
du c en tre , & qu i décrivent le plus fouvent une figu re
ronde comm e dans le P o ly p ie r de la fig . 3 . & quelquefo
is une figu re irreguliere commedaris le P o ly p ie r de
1*f i' 4^ C e t te derniere efpece d ’Aftroïte eft une des
plus petites qu e l’o n co n no ifte , elle fe trou ve à Saint-
Dom in gu e ainfi qu e c elle de la fig. 3 .
P L A N C H E X C .
L e s^% . t . i . 6 3 . repréfentent tro is P o ly p ie r s du
g enre des OE ille ts de m e r , qui font un artèmblage de
tu yaux p le in s , plus où mo in s diftinéls le s uns des autres
, & q u elque fo is ramifiés & ayant l ’extrémité fu p é -
rieure terminée par des lames ou rayons concentriques.
Dans bOE ille t d e h fig. 1. le s tuyaux fon t réunis le s
uns aux autres fu r prefque toute leur lo n g u e u r , ils n e
fon t détachés le s uns des autres que par l’extrémité fu -
, perieure : on trou ve cette efpece de P o ly p ie r dans la
Méditerranée.
L e J fe jy p ie r d e la fig. I e ft un OE ille t do nt les tu yaux
cylindriques ne font adhérens le s uns au x autres que
dans un feul ou plufieurs en d ro its , il y a même plu fieurs
tuyaux qu i ont p ris naiflânce fur d’au tre s , d e
tAçon’ ij.ie ce M ad rép ore p aroît comm e ramifié en le
v o y an t de côte o n le t S R y c aufli dans la M e d ire rn n ce .
L ’OE ille t de lafig. j. eft d e le fp e c e de ceux qui fo n t
ramifie s. _il eft com p o fé de plufieurs troncs qu i ne font
reunis qu’à la b a f e , * ;d o n t il fort un g rand n omb re de
tu y a u x ,fu r lefquels on v o it lanaifl'ancë d’ autres tu yaux
beaucoup | t a s p etits ; tous ces tu yaux font terminés i
leu r ;e xtrem itÿ |ip é rieu re p a td e s ln jp K f o rayons ç | t -
cenrnques qu i décrivent dans la p lupart une figu re ap prochante
de l ’o v a i : on nous ap p orte des grandes
Indes des OE ille ts de me r.
P L A N C H E X C L
L e s quatré figure s de cette Planche repréfentent de
grandeur naturelle quatre P o ly p e s du g enre des C e r -
. ve au x de me r do nt le s c a r ift e re s conftftent à être e a
malfc & Unes . I l y e n / a q u i p aroilfcnt compotes d’un
aflemblage de plufieürs tu yaux réunis les uns aux autres
fur tou te leu r lo n g u e u r , & recou ve rts e n -d e ft iis
p ar _dcs lames ou ftriés qu i empêchent que ces tu yaux
n e feuent apparens ; o n ne le s diftingue que quand le
Madrép ore e ft entamé.
O n v o it à la fig. 1 . un C e rv e au dont les ftrié s de U
face fuperieure reprefentent en quelque façon les enfra-
éfcuofites du cerveau des an im au x , il a d aflèz g ro s tubercules
placés de diftance en diftance, & ftriés comm e
le refte de la face fup érieu re , ce qui l’a fait appeller le
Cerveau tuberculeux s il y a de ces Cerveau x qu i ont ju fqu’à
quinze à dix-h uit p ou ce s de diamètre : on tro u ve
cette efpece de Madrép ore à Saint - Domingu e.
L e s fig. 2. &> 3 . repré fentent le même Madrép ore
dans la fig. 2. il eft vu par la face fupérieure qui e ft ftriée
comm e tous le s autres C e rv e au x de me r ; mais étant vrt
de côté y fig. 3 . il p aroît com p ofé d’un aiïèmblage de
tu yaux r éu n is , de fa ç o n qu’o n prendroit ce M adrép ore
p ou r une A f t r o ï t e , f i o n ne v o y o it pas la face fupérieure
y fig. 2. o n tro u ve auffi c e C e rv e au à Saint-Domingue.
~ .
L e Ce rv e au de la fig. 4 . différé du C erv eau commun
en^ce que le s lames ou ftriés qu i forment fes enfraéhio-
fités font p lus fàillantes ; on le tro u v e fur nos côte?
dans l’Occan.
P L A N C H E X C I I.
L e s fig. t . z .d * 3 . repréfentent des P olyp ie rs du genre'
des R é té p o r e s , celui de la fig. 1 . reflemble le plus i
une vraie d e nte lle , auffi on lui a donné le n om de Manchette de Neptune, il eft aflèz comm un dans la M é dite
rran é e , Ôc cependant o n en v o it p eu d’ entiers d«ny