P L A N C H E IV.
Figure 8. v o y n.fig> i* PI» X X I I I .
Figure 9. fig- i . P l. X X I .
P L A N C H E V»
Figure Oi fig PI. X X I I I .
Figure 11. fig • I- PI. X lX k
Figure IZ. PI. X V .
P L A N C H E V I .
Figure x3*
* 5-
fig. i . PI. X X l I .
Figuro fig. i .P I . X V I .
P L A N C H E V I I »
Figure 16. fig ’ 3-PI. XV.
Figure 17• fig - 1 PL XV.
Figure 18. fig. z. PL V.
P L A A N C H È i x ;
Figure n Ä - i PI. X X X .
Figure 36 . fig- 1 PL X X X .
Figure 37- fig- 4 PL X L V .
Mgure 38. fig- 4- PL X X X .
P L A N C H E X ;
Figure 39» fig-4 PL X X X I .
Figure 40. fig- * PL X L V .
figure 4 1 . fig- 1 PL X L V I I .
Figure 4 z . fig- 3 PL X X X .
P L A N C H E X L
Figure 43* f ig - * PL X L V I I .
Figure 44. fig- 3 PL X X X I .
Figure 41- fig- 4 PL X L IX .
Figure 46. fig- 1 .P l .X L IV .
P L A N C H E X I I
Figure 47- 1 fig- 4 PL X X X I X .
Figure 48. fig- PL X X X I I .
Figure 49' fig- PL X X X IX .
Figure 50. fig- * PL X L I I .
P L A N C H E X I I l.
Figure 50.
51 *
bis. fig. PL X X IV .
Figure fig- PL LI.
Figure <z. fig- 4 PL L I
Figure fig- 3 PL L I .
B 54- fi£-%. PL X X IV .
Figure 55* fig- t PL LI.
Figur 56. f ig - 3 PI. LIII.
Figur 57- fig- 4 PL LI I.
Figure 58. fig-* . PL L III.
P L A N C H E X I V .
Figur 59- . A - > . PL X X V I I .
P L A N C H E X V .
Figure 64. fig. 3 . PI. X X V .
Figure 65. ƒ - . z. PI. X X V I .
n a t u r e l l e .
P L A N C H E X V L
Figure 6 7 . vo y e z fig. 3 . PL X X V I I I .
Figure 69. ■ i — m x x v m .
Figure 7 0 . i . p i . X X IX ,
Figure 7 1 . fig. 4. PI. X X I X .
P L A N C H E 3t l
Figure i. fig. I . PI. L X X I I .
Figure z. fig. 5. PI. L X X I I .
Figure 3» fig. 5. PI. L X X I II ..
Figure 4 . f i f f J . M. L X X I I I .
Figure 5. ■ fig. o; PI. L X X I I I .
Figure 6. fig. i . PI. L X X k
Figure 7 . fig. 3 . PL L X X I.
Figure 8 -. fig. 8. PI. L X X I .
Figure 9. fig. 3 . PI. L X X IV »
P L A N C H E X
Figure i ; ■ fig. 7 . PL L X X IV .
Figure z. fig. 9. PL L X X IV .
Figure 3* fig. 5. PL L X X IV »
Figure 4. fig. 1 . PL L X V I I I .
Figure 5. fig. 9. PL L X V I I I .
Figure 6. fig. 1 1 . PL L X V I I I .
Figure 7» fig. 1 5 . PL L X V II I.
Figure 8. fig. 1 3. PL L X V II I.
Figure 9. fig. 1 9 .P l .L X IV .
Figure 10 . fig. 6. PL L X X I .
Figure 1 1 . fig. %. PL L X V I .
Figure I z. fig. 13 . PL L X V I.'
Figure 1 3. fig. 9. PL L X V I.
P L A N C H E X X ï.
Figure t.’ U <. PL L X V I.
Figure z . fig- 19 . PL L X V I .
Figure 3» fig- 19 bis. PL L X V
Figure 4. fg - zo. PL L X V I .
Figure 5. f g ’ x. PL L X V II .
Figure 6. f g ’ 2. PL L X V II .
figure 7 . fa - 2. PI. L X IX .
Figure 8. fg - iz . PL L X X I .
Figure 9. f g ’ 4. PL L X X .
Figure I r. fg - 5. PI L X X .
Figure iz . fig- 7 . PL L X X .
Figure 1 3 . fig- 9. PL L X X .
Figure 14 . fig• 7 . PL L X IV .
P L A N C H E X X I I .
Figure 1 1 1 4 . PI. L X X X V I I .
Figure 2. fig. z. PI- L X X X V I .
Figure z . fig ■ 1 . PI. L X X X V I I .
Figure a. fig. 3. PI. L X X X V I I .
Figure*5. fig- 4 . PI. X C I I .
P L A N C H E X X I V ,
M M fig. T. PI. L X X X IX .
Figure z . jf * . i . P l .X C I .
Jïg a re 3 . fig. 3 . P. L X X X IX .
Figure 4 . fig. I . PI. X C II .
M M fig. i . PI. L X X K V .
Figure 6. fig 1 . PI. L X X IV *
R E G N Ei A N I M A L .
Q U A D R U P E D E S k
P L A N C H E P R E M I E R E .
T ’Eléphant tfig. i. eft de tous les animaux le plus ai-
■ *-' fé à reconnoître, parce qu’il a plulîeurs caraéteres
qui lui font particuliers ; c’eft le plus grand des quadrupèdes
connus. Il à pour caraéteres génériques, à la
mâchoire fupérieure, deux très-longues dents canines,
recourbées en-haut, nommées défienfes, qui ont jufqu’à
iix piés de longueur, & dont on tire cette belle matière,
connue fous le nom ÿivoire, 8c une longue
trompe, qui eft le prolongement du nez , fcuce au
bout de la mâchoire fupérieure : il fe fert avec une
adrefle finguMere de cette trompe, non-feulement pour
faifir, comme avec une main, les corps les plus minces,
mais encore pour embrafTer de gros arbres, 8c
pour les arracher; il s’en fert auffi pour porter à là bouche
fes alimens & fa boilïon. Il n’a point de dents cabines.
Les plus grands Eléphans ont jufqu’à quatorze pics
de hauteur, & plus de vingt-cinq piés de longueur, en
y comprenant la trompe quand elle eft étendue, laquelle
a environ huit à neuf piés ; de forte que la longueur
du corps de l’Eléphant n’exccde que de quelques
pies fa hauteur : ces grands Eléphans le trouvent en
A lîe ; ceux de l’Afrique font moins grands. Voyez au
mot Eléphant, l’hilloire de cet animal.
Le R h in o c é ro s ,^ , 2. eft beaucoup moins grand que
’Eléphant, quoiqu’il foit le plus gros des quadrupèdes
près cet animal, lî on excepte l’Hippopotame, dorit-on
ne connoît pas bien les dimenlîons, & qui eft peut-
être plus grand que l’Eléphant même. Le Rhinocéros a
pour caraéteres génériques, une corne fur le nez, trois
doigts onglés à chaque p ié, 8c deux dents incilîves à
chaque mâchoire, très-éloignées l’une de l’autre. Il a
jufqu’à douze piés de longueur, depuis le bout du mu-
feau jufqu’à l’origine de la queue, 8c environ Ex à fept
piés de hauteur. La corne varie beaucoup pour la forme
& pour la longueur, qui eft quelquefois de quatre piés
dans de certains individus, mais cela eft rare ; communément
cette corne n’a gueres que deux piés, 8c alors
elle eft plus grofle que celles qui en ont quatre. Il y a
des Rhinocéros qui ont deux cornes au-lieu d’ une ; on
ne fait pas de ces Rhinocéros une efpece particulière,
on croit que ce n’eft qu’une variété dans cette production:
on trouve des Rhinocéros en Afie & en Afrique.
Voyez 1® Rhinocéros dans le corps de cet ouvrage.
P L A N C H E I I .
L eZ ebreyfig. 1. eft du genre du Cheval,qui a pour
caraéteres génériques, le pié d’une feule piece, 6c fix
dents incifives à chaque mâchoire.
Le Zebre a beaucoup de rapport avec l’Ane 8c le
Cheva l, mais en général il reftèmble plus à l’Ane ; il a
comme lu i, la tête grofle, les oreilles longues, le dos
tranchant, 8c les jambes bien faites; mais fa croupe au-
Jieu d’être pointue, eft arrondie comme celle du Cheval.
C ’elt de tous les quadrupèdes celui dont les cou- ■
leurs font le plus agréablement diftribuées, il a des
bandes noires 8c blanches alternatives, 8c prefque fym-
metriques, qui font un très-bel effet, principalement
lûr le mâle, parce que le noir eft foncé 8c le blanc eft
pu r, au-lieu que dans la femelle le blanc eft jaunâtre,
■ & les bandes noires ne font que brunes. Le Zebre qui a
vécu quelque teins à la-Ménagerie étôit mâle, 8c avoit
des bandes d’un beau noir luifànt, 8c les bandes blanches
étoient pures 8c fans mélange de jaunâtre; peut-
etre que ces différences de couleurs, du noir au brun,
8c du blanc pur au blanc jaunâtre, ne font qu’une variété
de l’âge ou du climat, & non pas de fexe. On trouve Je
Zebre en Afrique, 8c principalement au cap de Bonne-
Efpérance,
---------------pi».» ki meme; ma s i en différé
principalement par les en ce qu'il n“ " 0ï , f d*
cornes. On a feu un gente particulier du Chameatiî
dont on diftingitc quatre ofpcccs, favoir le Chameau 1
le D rom a d a ire ,^ . ». le:Lama, 8c la Vigogne- Cm
® atj|:,anit4aia ont pour caraftéres gétiéritiues, déni
doigts onguiculés a chaque pic, fix dents incilîves à h
mâchoire inferieures & point a la mâchoire B H B
■ B ° . - » w n t toujOTisregardé le Chameau & Ie Dromadaire
comme deux efpeccs différentes ; mais M de Buf*
ton iren fait que deux races, qui fé perpétuent tottidms
les jnetnes depuis un teins immémorial, & la preuve que!
ce.célébré Narurahfte en donne, c’cft que ces deux anfa
mauxfe melen; danSI^MqupIenien',«: produifent en-
■ lemblcdes métis qui lontféconds Ces métis reflembleni
plus ou moins au pere o u ï la mere, & font une tace m*
tcirticdialre entre celle du Cliameau & celle du Drôtfia-
dane. Les puncipales dtffirences entee le Chameau S i
leDMJnadaire, comiftcr.t etwee que Celui-ci eft plus
grand que le Chameau, & qu'il a deux bolies fur le
« a n - t a qut le ChaMeaii n'en a qu’une. M. de H |
foit attribue la eau le de ces diftérenecs au climat & à ht
n q u r a tL u e ^ -a jIe tom X I 1114 “ d e lH tft Nat
P L A N C H E I I I .
Le Boeuf a pour eàrâffléres' génériques, huit doits
tncijiycsala mâchoire inferieure, & point à la mâchoire
fLl^sn eme.Jepiefopic iiu.le s cornes Amples , & tour-
nees vers les côtes. 4 *
Le BoeufepréfeméjÆg.,1. fe nomme le Buffle:; il eft
} on8'!mlle d ;Afiiqtic, & f e trouve dotneffiique dans les
provinces merHiCnàles de l'Europe m a r i t a l « , i l
- royaume de Naples o-c M. de Buffou regarde comme
des varices B O B j efpéçes de Boeufs que n o * con-
noiffons,. tels queleBtfon, le Bonafus, IdZebu l’Urus
ou 1 Aurochs J& t t e Boe u f , 6 c. & il les téduit toutes 1
une feule qui eft le Buffle. Les fa itsM è sôb fc v a tffln s
9S = Ce eb' e Au.teiu laPP °rte . font préfentés avec
tant de nettetc , qu on ne peut s'empêcher de les regarder
comme des, preuves; iiiconïeftables de « qu'il
avance. ^
I M autre ohofe que noue Boeuf dans fort
U B B il ne retrouve que dan quelques provtn-
D | e(l H Plus répandu, on
' e H « ■ P M » Ias grandes rades en Afie, en Afrique,
& meme en AmetiquS:y à ,a .uî,é S o feM -M d o «
.& c eft en cela qu il différé le plus de f Aurochs. Si on
, fait accoupler des Btfom avec nos Boeufs, la boffe dif-
parott dans le produit de c i mélange H S féconde
ou trotheme génération. Le Zebtt a auffi une boffe fur
- le “ O ® 1; i n n cn Afrique:; il ne différé du Bifon
, «iitl ffcbeaueoupplus petit; inais-lesBoeuS
en general varient beaucoup en grandeur, félon l'abttn-
‘ dance dés pâturages des pays qu'ils habitent, & fi on
, tranfpottott des Zebus, qui font les plus petits Boeufs
que 1 on connoifle, dans certaines contrées de l’Abyf-
finie ou dEthiopie, o ff'fe trouvent lés plus grands
Boeufs, CéxZebusideviéfrdroiént d’une grandeur prodi-
gieufe apres un certain' nombre de générations > w
LHift. Nat. gén. 8cpart, avec i defcription.du Cabinet
du R o i, rom. X.pag. 184.
Tous les ruminans fe reffemblent par p/ufieufs cara-
éteres génériques, comme Je nombre des dents là
forme des piés, &c. 8c ils ne different entre eux que
par la direction des cornes; Je genre du Bélier 8c ce-
lui du Bouc, font les deux genres de ruminans qui fy
refiemblent le plus, & il eft fouvent difficile de décidée
Ci telle efpece appartient au genre du Bélier ou à celui
du Bouc. En général les Béliers ont les edrnes dirigées
en arriéré, 8c les Boucs les ont tournées en haut ; lâ
plus grand nombre des Béliers ont de la laine, cepen