•h i s t o i r e
font deux efpece» de ce genre. Le premier de « s deux
«ifearn eft prefque en entier d un cendre bleuâtre B S H
W W W couleur de marron pourpre qui le
nouveat'Ar les ailes i il a fur la tete une belle liupe formée
de longues plumes-, dont les-barfecs font routes .
féparées les unes des autres -, on le trouve dans i de de
^ U H o c o ou le C o q In d ie n , fig. }■ eft en entier d 'u n
beau n o ir , à l'e xcep tion des pirmres du bas du-ventre
qu i font blanches. I l a une.efpece de pente hu p e formé e
de plumes étroites qui on t plus de longueur que celles, i refte.du c o u , & do nt l'e n r cm tt e e ftc o n to u rb a e de
fa ç o n que ces plumes femblent e u e fnfc e s ; cette hupe
s ’ étend depuis le milieu de la tete jufqu a la mo itié de
la longueur du cou ; le H o co eft fo rt commun en Ame -
L a P o u le Su ltan e , fig. 4 . n’a aucune reffemblance ni
•meme aucun rap p ort avec le C o q & la P o u le , comme
fon n om femble ^indiquer. Le s oifeau x de ce g enre ont
p o u r caraéteres quatre do ig ts à chaque p ie , d o nt trots
d irig é s en avant & un en a r r ié ré , tous fepares les^uns
des au tres en entier, le b ec conique applati fur le s cotes,
ôc le fro nt dégarni de plumes. L a P o u le Sultane qui a
fe rv i de modèle pou r la fig. 4 . fe tro u ve dans les Indes
or ien ta le s , 8c même en Am é riq u e , elle a toute la face
fupérieure du corp s d’un v e rd fonce & lim an t , & la
face inférieure d ’un très - beau v io le t : la partie anterieu
re de la tête eft dégarnie de p lum e s , & couve rte
d’ une peau d ’un beau roug e.
p l a n c h e X X X I I .
T aP ie - .g rie fch e ,fig. 1 . a p ou r caraéteres génériques
quatre d o ig ts à chaque p ié , dont tro is dirigés en avant
& un en a r r ié ré , les jambes cou ve rte s de plumes ju i-
qu’au ta lo n , le b ec d r o i t , con ve xe en de (fris; , & aulii
épais que la r g e , le s b ord s de la pie ce fuperieure du
b e c échancrés v e rs le b ou t qu i eft crochu.
L a Pie -g rie fch e qui eft repréfencee fig. 1. le tro u v e
à Madagafca r-, c’eft un des b eau x o ifeau x que 1 on puille
v o ir ; toute la face fupérieure du corps e ft d’ un très beau
b leu & la face inférieure d’ un blanc de neige ; les
grandes plumes des ailes font prefque entièrement n o ire
s *, les deux plumes du milieu de la queue ont une
b e lle couleur b le u e , & le s autres fon t en partie noires
& en partie bleues-, la b afe du bec eft entoucce de p lu mes
noires . , , .
L e T a n g a r a , fig. a . a p ou r caraéteres generiques quatre
doigts à chaque p ié , dont trois diriges en avant 8c
un en a r r ié ré , tous féparés les uns des autres en v iro n
jufqu’ à leur o r ig in e , le s jambes couve rtes de plumes
ju fqu ’au ta lo n , le bec en conê. r a c o u r c i, les deux p iè ces
du b ec d ro ite s , les bord s de la piece fupérieure
«chancres vers le bout.
L e T an g a ra qui eft reprefente fig. 2. le nomme le
Cardinal, & fe trouve au B r é fîl, à C a yen ne , &c. il eft
d’un beau ro u g e éclatant couleur de f e u , a 1 ex ception
des grandes plumes des ailes & de la q u eu e , & de celles
des çuiffès , qui font d’un n o ir luilant. L a couleur de
la femelle eft beaucoup moins v iv e que celle du male.
L e Moineau ,fig. 3. a tous les m êmes caraéteres génériq
ues du T an g a ra , a l ’exception de ceux du bec q u i eft
en cône r a c o u rc i, moins la rge a fà bafe que la tè te , 8c
p o in t échancré à l’ extrémité
L e Moineau qui eft reprefente fig 3. fe nomme la
Veuve à quatre brins, 8c fe trou ve en A friq u e , elle éft
n o ire en delfris & roufsâtre en d e ffou s , les plumes des
ailes 8c de la queue font n o ir e s ; les quatre plumes du
m ilieu de la queue fout beaucoup plus longue s que les
a u tre s , 8c n o m de barbe s que vers l ’e x trémite : ces
plumes tombent & fe renouvellent tous les ans dans
le tems de la mue. , , .
L e M an a k in , fig. 4 . a p ou r caraéteres generiques quatr
e doigts à chaque p ié , dont trois d irigés en avant & un
en a r rié ré , celui du m ilieu étroitement uni au do ig t extérieu
r jufqu’à la troifieme articu la t ion , & au d o ig t inté
rieur jufqu’à la p rem iè re , le bec co u rt^& comprime
p ar les côtés v e rs l’e x trém ité -, ce g enre d oifeau ne d ifféré
de celui du C o q de R o c h e , qu en ce que celui-ci
a une hupe longitudinale fur la tete.
n a t u r e l l e .
Le Manakin qui eft reprefente, fig. 4. le trouve à
Cayenne, il a trois pouces 8c demi de longueur depuis
la pointe du bec jufqu’à l’extrémité de la queue -, la tete,
la face fupérieure 8c les côtés du cou, la poitrine, &
une partie du ventre, ont une très-belle couleur rouge,
plus ou moins foncée dans certains individus; la
gorge & la face inférieure du cou font d un bel orangé
| l’endroit du pli de l'aile eft auffi de la meme
couleur orangée ; les plumes des ailes & de la queue
-font noires ou noirâtres.
p l a n c h e x x x i i i .
Les cinq oifeaux j& e t t e PRWhe ont été.dcffinés J e
W W W naturelle. Le Gtos-bec .f ig . i . a pour carafte-
•les génériques quatre doigts à chaque pie .dont trois dirigés
en ayant, de un en arrière, les jambes-couvertes
de plumes jufqu’au talon, le bec en cône racourci &
gros à l’extrémité. , - v .
Le Gros-bec qui eft reprefente, fig. 1 1 fe trouve a Ja va
Il a environ quatre pouces un quart de longueur de-
puis là pointe du bec jufqifà l’ extrémite de la queute
La tête le c o l, 8c le commencement de la poitrine
font d’un beau noir ; le refte de la face inferieure du
corps eft blanc, & la face fupérieure a une couleur de
marron plus ou moins foncée fur les diverfes parties. I
Le Bruant fig . 1 . a tous les mêmes caraéteres generiques
que le Gros bec , 8c il n’en différé qu’en ce que
les bords du bec dans tous les oifeaux de ce genre ren-
tarent en dedans, , I , I ,
Le Bruant qui ell reprefente fig . ■ fe trouve au Canada.
Il eft en entie'r d un blèu mêlé: d 'ù js teinte de roux
plus ou moins .foncée fur les diveifcs parties du corps i
.cette couleut touffe eft foit Claire fous le ventre; les
plumes des aviis & de la queuc'gpt bruncsjt' ^ Ï3; J 3|
L e B o u v r l ® j f e . 3. a auffi comme le Bruant , bean:
coup de càraélef»; ÉénériqijSi,commun!i a ^ e le G r o s -
| H n’en différé que pat le bec istueft
courci 8c convexe en deffitf deffous, & dont la
piece fupérieure eft crodnue. -
Le Bouvreuil qui eft reprefente ƒ * . 3. fe trouve fur
les côtes d’Afrique. Il a toute la face fuperieure du corps
d’ un noir changeant & qui paroît verd a certains al-
peéts à l’exception d’un; tache blanche qui fe trouve
fur le devant de la tête ; toute la face inférieure du corps
eft d’un beau blanc, à l’exception d une bande noire
qui entoure le cou en partie. , , .
La Mélange , fig . 4- a Pour caraéteres^ generiques
quatre doigts à chaque pié, dont trois diriges en avant,
& un en arriéré, les jambes couvertes de plumes jul-,
qu’au talon, & le bec fait en forme d’alene.
La Méfange qui eft repréfentée/%. 4. fe trouve au Canada.
Elle a beaucoup de reffemblance avec la Mélangé
à tête noire de ces pays-ci par les couleurs & par la for;
me ; elle eft feulement un peu plus grande, elle a le del-
fus, le derrière de la tête 8c la gorge noirs, tout le relte
de la face inférieure & les côtés de la tete font blancs ;
la face fupérieure eft d’ un cendré plus ou moins tonce.
Tous les oifeaux de ce genre grimpent fur les troncs &
les branches des arbres comme les Pics. ^ . .
L ’Hirondelle, fig. Ç. a pour caraéteres generiques
quatre doigts à chaque pié tous fépares les uns des autres
, dont trois dirigés en avant, & un en arriéré, les
jambes couvertes déplumés jufqu’au talon , 1 a queue
fourchue, le bec très-petit, applati en deffus a fa bafe ,
& crochu à l’extrémité.
L ’Hirondelle de lafig. ç. eft la plus petite efpece d Hirondelle
que l’on connoiffe ; elle fe trouve a la Cochin-
chine, les Chinois font très-friands de lon nid bile a
tolitb la faeë Inférieure du corps blanchâtre, & la lace
fupérieure noirâtre, à l’exception des; grandes plumes
des ailes & de la queue, qui ont l’extremtte blanchâtre.
P L A N C H E X X X I V .
Le Rollier ,;/?£. t. a pour carafteres génériques quatre
doigts à chaque p ié , dont trois diriges en avant, SC
lin en arriére, Sc toits féparés les uns des autres .environ
jufqu’à leur origine , les jambes couvertes de plumes
O I S E
W K Ê talon, le bec en un cône alongé d jo tl dans
foute fa longueur , à l’exception de la pointe qui eft un peu courbée endeifous, & les plumes de la bafe du bec
! ■ |H y jn ) genres d’oifeaux; comme le Geai, la
P ie , le Corbeau, le Coracias, & le Caffenoix, qui ont
Drefque tous les caraâeres du Rolltet ; ils ne different
B H entre eux que par un caraftere particulier. J e n ai
' cro devoir donner la figure d un oifeau de chacun
Je ces genres à caufc de leur reffemblance: , d’,autant
nlus îiuifs font tous tfesiilién
tenté de rapporter feulement le caradere diftindif des
cernes pour léfquels je n’ai point donné d e f i g u ï j | * |
) c CaiTenoix ne différé du Kollier, pat les caractères
— S W , qu’ en ce que les plufties de la bafe du bec ,
font dirigées en avant & cachent les narines ; il a aiiili
la piece fupérieure du bec un peu plus longue que l’inférieure
, & ces deux pièces font entièrement droites.
Le Coracias ne différé duRollier qu’en ce que les
plumes de la bafe du beç font dirigées en avant, & q ue
le bec eft un peu courbé en arc. ^
Le Corbeau ne différé du Rollier qu en ce que les
plumes de la bafe du bec font dirigées en avant, il aies
plumes de la queue d’égale longueur, ce qui le diftin-
gue de la Pie. H | , , .
La Pie ne différé duRollier qu en ce que les plumes
de la bafe du bec font dirigées en avant; elle a les deux
plumes du milieu de la queue beaucoup plus longues
que les autres, ce qui diftingue les oifeaux de ce genre
de ceux du genre du Corbeau.
Le Geai ne différé du Rollier qu’en ce que les plumes
delà bafe du bec font dirigées en avant; il a le bec
droit dans toute fa longueur comme le Caffenoix dont
il différé, parce que les deux pièces du bec font de même
longueur.
Le Rollier qui eft reprefente fig. i . le trouve a la
Chine, & a près d’un pié de longueur, depuis la pointe
du bec jufqu’à l’extrémité de la queue. La face fupérieure
de cet oifeau eft ve rte, & l’inférieure d’un blanc jaunâtre
mêlé d’une teinte de verd ; il a de chaque côté de
la tête une large bande noire, les grandes plumes des
ailes font d’un bi*uh olivâtre, à l’exception de quelques
taches de couleur de marron, & les trois plumes intérieures
ont l’extrémité blanche , les deux plumes du
milieu de la queue font vertes en entier 8c plus longues
que les autres dont les barbes extérieures ont une couleur
verte, les barbes intérieures font d’un gris-blanc.
Ces côuleurs ne s’étendent qu’environ jufqu’aux deux
tiers de la longueur des plumes, le refte eft noirâtre,
à l’exception de l’extrémité qui a une couleur grife-
blanchatre.
Le Troupiale ,fig. t. a tous les mêmes caraéteres du
Rollier ; il n’en différé qu’en ce qu’il a le bec très-droit 8c très-pointu, au lieu que celui du Rollier eft courbé
fen deffous vers la pointe.
On a donné le nom de Caffique rouge a 1 efpece de
Troupiale qui eft repréfenté fig. z.O n trouve cet oifeau
à Cayenne ; il a onze pouces de longueur depuis la
pointe du bec jufqu’à l’extrémité de la queue, il eft entièrement
n o ir, à l’exception des plumes du deflus 8c
du deffous de la queue qui font rouges.
Le Merle, fig. 3. a pour caraéteres génériques quatre
doigts à chaque pié, dont trois dirigés en avant 8c un
en arriéré, tous féparés les uns des autres environ jufqu’à
leur origine, les jambes couvertes de plumes ju s qu'au
talon, le bec droit, convexe en deffus, & auffi
épais que large, les bords de la piece fupérieure du bec
échancrés vers le bout.
Le Merle qui eft repréfenté_/zg. 3. fe trouve aux Indes
orientales. On lui a donné le nom de Mainats ou Moi-
nate ; il a dix pouces 8c demi de longueur depuis la
pointe du bec jufqu’à l’extrcmitc de la queue, il eft en
entier d’un noir plus ou moins brillant fur les diverfes
parties de fon corps, & mêlé d’une teinte de verd en
quelques endroits; mais ce qui fait la fingularité de cet
oifeau , c’eft qu’il a les côtés 8c le derrière de la tête
fans plume & recouverts par une membrane jaune 8c
flottante. Cet oifeau a une très-grande facilité pour im iter
tous les bruits qu’il entend plufleurs fois ; il contre-
A Ü X> . p | | . $
fait parfaitement les crîs 8c les ris des enfans, 8c il apA,
prend à parler auffi aifément que les Perroquets. ƒ
Le Cotinga, fig. 4. a tous les mêmes caraéteres génériques
du Merle, il n’ en différé que par le bec qui eft
plus large qu’épais à fa bafe, au lieu qite céltii du Merlé
a autant d’épaiffeur à fa bafe que de largeur.
Tous lés oifeaux que l’on connoît de ce gétirc, ont
de très-belles couleurs. Celui qui eft repréfenté fig. 1. fé
trouve à Cayenne; il a environ huit poucés de longueur
depuis la pointe du bec jufqu’à l’extrémité de la queue,
il eft d’un bleu éclatant, à l’exception de la gorge & d é
là face inferieure du col qui font d’un très-beau violet
pourpré, les plumes des ailes, des épaules, 8c delà
queue font prefque entièrement noires, elles ont feulement
pour'la plupart le bord des batbes d’un beau bleu
pareil à celui du refte du corps.
P L A N C H E X X X V .
Les figures 1. & 2. ont été deffinées de grandeur naturelle;
lès trois autres ont été réduites, & l’échelle de
proportion de cette Planche ne fert que pour les trois
figures indiquées fous les numéros 3 . 4 .8c f.
Le Bec-croifé , fig. 1. a pour caraéteres génériques
quatre doigts à chaque pié, dont trois diriges en avant
& un en arriéré, tous féparés les uns des autres environ
jufqu’à leur origine, les jambes couvertes de plumes
jufqu’au talon, le bec en cône racourci, & les
deux pièces du bec crochues, f üne en haut & 1 autre
en bas, de forte qu’ elles fe croifent.
Le feul caraétere du bec de cet oifeau fuffitpourfairé
diftinguer ce genre d’oifeau de tous les autres ; on n’en
connoît qu’une feule efpece. Voyei le mot Bec-croife.
L eT o rco l, fig. 2. a pour caraâeres génériques quatre
doigts à chaque pié, dont deux dirigés en avant & deux
en arriéré, tous féparés les uns des autres, les jambes
couvertes de plumes jufqu’ au talon, le bec droit 8c
pointu ,1alangue très-longue, & les pluinesde la queue
flexibles.
Ce genre dfoifeaux reffemble beaucoup par les caraéteres
ci-deffusau genre de P ie , qui n’en différé qu’en
ce qu’il a les plumes de la queue roides & le bec en forme
de coin. On ne connoît auffi qu’üne feule efpece de
Torcol. Voyei le mot Torcol. , , .
L’A lo u e t te ,^ . 3. à pour caraéteres génériques quatre
doigts à chaque p ié , dont trois dirigés en avant 8c
un en arriéré, tous féparés les uns des autres environ
jufqu’à leur origine, les jàmbeS couvertes de plumes
jufqu’au talon, le bec en alene, l’ongle du doigt de derr
rïere plus long que le doigt même.
L ’efpece d’Alouette qui eft repréfentée./fg. 3. fé nomme
la Calandre. Voye{ le mot Calandre.
Le Coulon-chaud, fig. 4. a pour caraéteres génériques
quatre doigts à chaque pié , dont trois dirigés en
avant, 8c un en arriéré, & toiis féparés les uns des autres
, la partie inferieure des jambes dégarnie de plumes,
le bec plutôt un peu courbé en haut que droit ,& comprimé
en deffus. La Perdrix de mer dont on a fait uii
genre particulier, në différé du précédent qu’en ce q u elle
a le bec convexe & courbé en deffous 8c applati fur
les côtés près de l’extrémité.
Le Coulon-chaud y fig. 4. a environ neuf pouces dé
longueur depuis la pointe du bec jüfqu’à l’extrémité dé
la queue, 8c un pié cinq pouces & demi d’envergure ;
les plumes qui entourent le bec, & celles de la gorgé
font blanches; les côtés de la tête ont une couleur brune
cendrée, le refte de la tête & toute la face fupérieure
du col, & le dos font d’un gris-brun ; la face inférieure
du col & la poitrine ont une couleur brune foncée 8c
prefque noirâtre. Il y a des plumes de la poitrine dont
l’extrémité eft blanchâtre. Les côtés du corps, le ventre,
le croupion, 8c le haut des jambes font blancs, les dix
premières grandes plumes des ailes foht blanches en entier,
les autres n’ont de blanc que leur origine & l’extrémité,
& le refté eft brun. La plume extérieure de
chaque côté delà queue eft prefqu’entierementblanche,
elle ffa quune tache brune près de l’extremite ; lès autres
ont d’autant plus de brun, quelles approchent plus
des plumes du milieu, lefquelles font prefqu’entierc-
rhent brunes.