geoire.du dos. La secondeJ qüleaj^oft p^ès-de k
quêaLj^est soutenue .par douze rayons ; les pector
a le s^ , ont treize,chatcpne ; les yentr^es'^qpatrR-,
l ’ange., seize; la caudale, dix ; et k , membrane ;
branchiale ; trois.
n i M . A R q fr JE S \ .'t
lié sutnpitt, que j’ai observé en a-yrilt'étoit lc*ng de-6,04 et
: large de- q,oi-3 - II .
vages. Jja sorte de“ cuWas|P- revêt le dqs, .et les ^piquans
mobiles et dWtélé^^on^bsér^e'aùbÿêvant'd^nur et^sur le
doivent le faire craindre,des espèces les pluf.VoracesvA.:
G. X V II. SoLi^osToÜB. S o îen o stom u s. X lë in .
Ç a mtô/dr^5.Gbr|)S!èomp rimé,cou vert d’éèàilles ;
^Bôiiélie sans dents ^ au bout d’uri.rnii^éàif;
deux“ nageoires dôràalëV, la paire inférieure
reü riie fe
1. S. Bécasse. S. Scolopasb. (Trounlbetto. ),
Bloch. pl.‘ is37'1Sg-Aï“’
S . Radio primo pirmcèdorsi- pnter^oris plongato
spinoso:, tpojticè: serrato.
L a bêtasse, qu’on nomme aussi le soufflet, est
recouverte d’écajiles dures , rndes^imbriquées.
Sa couleur est d’un gris rougeâtre ou rosé. Son
corps; est' comprimé ,> qvale , allongé,, terminé en
devant par un long bec arrondi , dont la bouche
ohliqueet terminale est rjee ouverte parla mâchoire
inférieure. Ses yeux sont grands , avePl’iris blanchâtre
5 veine|de rouges‘| et la prunelle noire. L a
première nageoire du dos est soutenue par quatre
piquans , dont lé premier est un long aiguillon, à
double dentelure et mobile •, précédé d’un tubercule
.osseux qui le soutient quand il est* dressé. On
compte seize rayons dans la seconde dorsale ; dix-
sep t , dans chaque pectorale 5 c in q , dans les ventrales
5 dix-huit, dans l ’anale 5 neuf, dans celle
de la queue qui est arrondie- On n’en voit que
trois dans la membrane branchiostège. Ces ppis-
sonS< atteignent âu plus un décimètre et demi de
• longueur. On en prend en juillet, dans nos mers É
mais ils y sont assez Tares.
JR E M A JL Ç, V JE S .
- -Ce poisson est presque le seul de ceux qu’on à .rangés parmi
les cartilagineux:,', qui oi%e de .véritables éçâillesQuoique tous
les auteurs l’aient réuni à .ceux du genre précédent, nous avons
cru devoir ," avec l’auteur de la Zoologie analytique, le distinguer
sous le nom àkèàlénostomè emprunté dè Klein ( Miss. IV
pag.-âfj,). Les deux nageoires du dûs, le défaut de cuirasse , la
forme générale du corps , les écailles , ne nous y autorisoient que
trop. La chair de cette espèce est ferme , tendre et d’un bon
goût 5 et si on ne les epaploie pas davantage dans nés cuisines t
c’est qu’étant petits et fort rares, on ne les a-pas encore beau coup
recherchés!’' 'v’