sept ramifiés 5 les tho,racines en ont chacune un
épineux et cinq lisses; les pectorales, d’un beau
jaune de safran , en ont quatorze 5 la caudale, qui
est jaune et fourchue, en a seize j et la membrane
branchiale violette, sept en forme de lames. Ce
poisson fréquente les plaines; de galets de nos r ivages,
et s’approche rarement des endroits rocailleux.
6. H. Serran. H. Serran. ( Serran. )'
Mrs. Ad. Fred. n , pag* 87s rrv
H. F a sciis longitudinalibus 4 sanguineis» Lnr.
Perça cafrmlla.^
L a Méditerranée a toujours été indiquée comme
la patrie de cet osseux. Son corps est rougeâtre Sur le
dos efcles côtés, d’un blanc safe sur l ’à b d om S orne
de larges lignes jaunes mélangées avec des raiës’ vuT
îettes. Laboucheestallongée, l’a mâchoire inférieure
plus longue que la supérieure i Toutes deux garnies
de dents aigues, dont celles du devant très-petite^,
la langue est lisse ; les yèux jaunes, l’iris doré , la
ligne latérale est courbe. Les nageoires sont ondées
de jaune et d'e bleu. L a dorsale a dix rayons
aiguillonnés, quatorze articulés, l ’anale troiis aigus
sept ramifiés ; les tboracines un épineux, cinq
lisses chacune : Les pectorales quatorze chaquë $
la eaudalers f lâ l, et l'a membrane branchiale huit.
L a longueur de ce poisson est de deux décimètres.
Gn en trouve dans nos mers toute l’année.
H O L O C E N T R E . 2 9^
A . Ou trouve une variété de ces holocentres a
grandes bandes d’Untouge sanguin, avec quelques
raies longitudinales fôncees.
R È M A R Q V È à.
La nature semble avoir donné à certains p o son s «ne faculté
digestive si prononcée, qu’ôn les voit souvent obligés , pour
satisfaire à leurs besoins prèssans, de se livrer des combats
cruels où le plus foible- de la même espèce devient la: $ioî(S du
vainqueur qui l’avale sans le mâcher. hesholoéénfres sbM particulièrement
dans ee cas. Ils üagebt toujours la gueüle béante,
et ils engloutissent, en.se transportant, avec la rapidité de
l’aigle, des quantités considérables de spares , de clupées et
d’autres poissons qui vivent en société, doàt ils poursuivent
sans cessé les' légiôns nombreuses. CéS thorâcins sémblent , il
est v ra i, habiter de préférence les grandes profondeur* où Uos
pêcheurs savent cependant les atteindre, à cause de la délicatesse
de leur chair,qui leur donne un grand p rix , et les fait
servir sur les tables les plus somptueuses.
G. LVI. S c i è n e . Scioena. Â r t e d i .
Caractères. Un ou plusieurs aiguillons et point
de dentelures aux opercules ; deux nageoires
dorsales.
I. S. Umbre. Lac. «S** XJffibfa. Lin. ( Cuorp. )
BLO»o.<plv 297'yS*'
S. Nigrô varia, pirinis ventralibus infegérrimis. L in .
Si on ne considère que la forme du corps et la