alors dix kilogrammes. Il vit dans nos mers , et
s'approche des bords en juin et août. -
a ir S. Bilobé. S. Bilobatus, Lac. ( Gerlessov )
IiACEP, tOm IV, p], 2 ,
S. Argenteus fasçiis atireis ccçruleisque trânsversis.
pinnis flavescen tibus. -
Les roches arides de la mer de Nice sont la
demeure habituelle de Cette espèce qu’on n’avoit
trouvée que dans le Grand Océan équatorial. Son
corps est aplati , argenté , traversé par de légères
bandes bleuâtres et dorées. Le museau est-pointu ,
la mâchoire supérieure un peu plus longue.que
l'inférieure j elles sont garnies de petites dents ,
dont les quatre antérieures plus longues, pointues
et crochues. L a langue est lisse ; les yeux argentés,
avec des-taches brunes, l’iris, doré. L a nuque et
ses côtés diaphanes; la ligne latérale courbe. L a
membrane branchiale a six 'rayons ; la nageoire
dorsale qui est très-élevée, en a onze aiguillonnés,
dix articulés 5 l ’anale', ondée,d’azùr, en contient
trois aigus, dix ramifiés; les thoracines , un épineux
, cinq lisses chacune ; les pectorale^, quatorze
chaque ; et la caudale , vingt. Ce thoracin a deux
décimètres de longueur. CXn le prend à la ligne ,
en mars et décembre.
32.S. Bebde. Lac. S. Berda.lAn. ( Gieudo.)
ImkMIi F*un. Aral). pgg. 32, n. 34.
iSPARÉ. * 5 $
S. JE cinereo albidys, squammis lateralibus singulis
fascia media trcinsverpa Jusca ; spinis dorsalibus
recumb&ntibus.
Le savant Forskaël a décrit cette espèce qui vit
sur nos rivages. Son corps est. presque ovale ^couvert
de grandes écailles arrondies , d’un blanc
d’argent. Le museau est court et azuré. L a nuque
marquée de deux traits profonds de chaque côté.
La bouche médiocre ; la langue et le palais lisses;
la mâchoiré .supérieure un peu plus longue que
l ’inférieuré ; elles sont garnies de plusieurs dents
molaires demi-sphériques , et d'incisives assez
longues Sur le devant. Les yeux sont grands, d’un
argent doré. Les narines sont placées sur ses
bords ; la ligne latérale foncée. La membrane
branchiale a six rayons 5 la nageoire dorsale qui est
obscure, en a douze aiguillonnés, douze articu-*
lés ; l ’anale , trois aigus, douze ramifiés ; les tlio-
racines , un ép in eux, cinq lisses chacune ; les
pectorales, quatorze chaque ; la caudale seize»
Ce spare , qu’on prend communément à Nice , en
ju ille t, n'a que trvôis décimètres de longueur. Sa
chair est assez bonne. I l se nourrit de petites
dupées.
a3 » S. Passerons «S. Passerons. Nob. (Moissin. )
PI. vu . fig, ai de c*t ouvrag«.