égales £ garnies de dèn ts c ro ch u e s d on t les antérieures
dii dessus'plus longues. L a langue est E tre
et’ lisse *,lësyeux: a rg en té s , ornés par-dessüs d’ une
lunule îroiieî L a nû que est couverte de petits pores.*
L e s opercules -composés ‘de deux p iè ce s ; la pre-
ïïlïè rè , déntéïée'par ède "longues' épines ; la se-
cou d e, lisse et 'arrondie; L a ligne latérale dst
Jaune ; cokrbe à' son “o r ig in e et "vers la queue. L a
nageoire dorsale, d’u n v e r t jaunâtre. Variée d’.obs-
cU r , contient vingt rayonsâiguillonn'és'y ée'aiïlêüx
à leu r bàse*’, et hu it'a r ticu lé s ; l ’anàle' blanche^
e în q a ig u s , huit ramifiés; les thoracînes ro se s,
uWépinëuXy ëihq lissèS ;% S pëètôraïës1 jddhâft,'è'§';
quatorze1 chaque ; la' Catîdàîe a;rrOndîé<; qtfatôrze ;
elle est marquée à la base de sa partie" dorsale
d ’une grande taché n d ir ëq e t la membrane branchiale
a six îa yo ns .4 L a longueur de ce lutjan est
de deux décimètres sur soixante-dix millimè tre s
de la rg e u r ; je l ’ai pris dans le mois d’août dans
la mer d’E z à . ; r;v; |||jÉggÉjggg| tmm .
5. L. Ecriture. Lac. L , Scriptura. Lac. ( Perco. )
Bonkat. PI. de l’Encyclop. méth. pag. i5.t V.
Pinnis caudce pectoralibusque flavis ; ,c.apite
sçripto. L in.
L a patrie : de «ce lutjanj; 'q u ’on:trGuve.dansnos
mers;;, létoifr; encore * ignorée, j’S on« corps est «rou*-
geâtre sur* le d o s y a rg e n të ! sur le r v e n t r e e t tra versé
par six lign e s irrégulières brunes. L a têto
est ornéèHïem'dessus' def plusieurs' téaits qu on a
comparés? à des lettres» «La »mâchoire inférieure
est* un peu plus longue que la' supérieure’, elles
sont garnies de dents crochues et aiguës. La langue
est? lis iè^ le * palars hérissé’ d ’aspérités ,î-ies,' iyeux
sâülatfS,' roügesy i ’iris argenté ; 1 la ligne laterale
couibe. Lest nageoires sont parsemées ’de points
ronges quiW fondent en taches bleuâtres. L a dorsale
a d ix rayons saigniHomiés » eUeiliés, * quinze
articulés frlWal%tiso«8^i%oe ^sept ramifiés*; les
thoraôines, un épineux1,: cinq!lisses*chaque ; les
pectoralesrqminâtres*,| quatorze chacune ; là-caudale
orange pâle $ •sebse';; ' et là membrane brandi
ialê",' sept! f>à ibïigtïéuï' eSt île tleiiX dëCifüetres.
6, L. M elops. L.T* |||j|fc -dv - |f| 1 .p| - Melop-sw*.- r (^ Fournie. )
Mus.: ad Frid.- 2 'f
L . Pinna dorsali ramentacea, analique variegata ;s
m m '® fiHtÙ^phïtè "b'âMôi.
L a dentelure -des; -opbrcules qué q ’ai constamment
remarque dans« les sept cspèces suivantes ,
rri’a o b lig é^ e *de*s.. sép^j*§£,„idu-«genre des «labres
avec lesquels les pujtfiursdes ayoâgnt jusqu’à présent
confondus» L e corps du mélops est o va le ,
oblqitg-; »d’un ruugè- dé > ceraÿ y orné; ‘de- ligdes
bleues qqi-slétepdent pfeqidà-la nuqUe» La-têtfe est
traversée - en-dessous * de - -bandes- d ’outre-mer. L a
bouehepotite,- ladangue-biss'é, les lèvres* épaisses y