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accompagné de M. le )>aroii vau Tu)ll van Serooskerkeii. ciniis
ini pclil novire, ol a^anl fail en cinfj joure le Irajcl de la
Mollando à Clirislinnia, ces inessieui's se rendireiil liicomiticnt
il Dovi'eficld i), oil ils prironl, dans l'espace de Hois semaines
n'Ois gerfauts sors.
Plusicnrs .-mires [ici'scnnes dcsiraiii pi'ciidvo pi'l h ces cliaucs,
il se forma, en i8iio, une sociélti d'amalcui's pour la eliassc
an vol, sous la prési.ioncc do M. le baron Tiiidall. Li compagnie
de faucouniei'S fui nugmcnléo d'un Iroisième aide, cl
Fr, vau den Meuvell, le cloven d'âge des fanconnici-s exislanl
alois se jolguil en ouli e à enx poui' prendi« une pavl aciivc
à ces citasses. On avail en ccllc année, vingt-deu>i faucous,
qui prii-enl ceni Ircnle-lniit liémns.
Son Alie.sse rojale le prince Alexan<lre des Pays-Bas avanl
é(é clu presideiil de la sociclé, qui coiuplail dès loi-s parmi
ses Qiomhres, au uombi« d'une li'enlaine, leu« Allessps l'ojales
le Prince d'Orange, ci les princes Fi'édéric el Ileuri des Pavslias,
on dressa les statuts a) de celle sociélé, cl on oi^nisa
deux compagnies de fauconniers, l'une sons la direction de
J. liols, l'aulrc sous celle d'A- Möllen. T.e iiomi>re des fancons
fui porle à quaranle-(|ualre, avec lesquels on pril en cette
annce, dcu<;-ccnt trenle-sepl lierons. liaison de la oliasse
passée, la société ciivova .1. bols acooinpagné de ,1. van den
Uooni à Dovritlield, oil ils prirent neuf gerfauts sot's dans
l'ïspce de ijiiatr
, le nombre des faui
I celni des hérons pris de een
II prit, a\ec (piaranle fancons
ms était de qiiarante-qualic,
I|uai';iiite-Kuit. — lîn |843,
l Itérons, avec trente-six liiulu
nombre des fiineons pris
restcrenl à pen près les mdmes dans les années snivauies jns-
(jn'en 1849, où le nombre dos faucons Ait réduil à quatorze,
mais qui prirent cent vingl-Kuit lierons. — lin i85o, le
nombre des faucons fut aiigmeulé de deux, et celni des Itérons
pris s'éleva à cent trente-sept. — Dis cette année. Sa Majesté
notre roi résolut d'entretenir ù ses fiai.t le faueouniei' Adrien
Mullen avec dens aides fauconniers. J. Uots et ses duu\ aides
fauconniers, ainsi que les clievaiix icslérenl à la tliai^e <lu
clnh. — Il > avait, en i85i, dix-huit faucons affaitès, avec
les(|nels on prit un nombre de lierons .'1 peu près égal à celni
de l'année preijédente. ICn iSSs, le nombre des faucons fut
porté à trentfrsix, et on prit en celte année deux cenl quali-evingt
dix-sept Itérons. — La fauconnerie de la Société transférée,
déjà depuis i85o, à la maison de cliasse attenante au
cliàteau royal du I.oo, ne se compose aujourd'hui que dn
fauco'iniier A. Mollen el des aides fauconniers, J. vaii den
Boom, P. Bekkers, P. Mollen et J. Peels.
En lenuinanl ces reclierches sur Hiistoire de ia uliasso an
vol, nous ferons observer que l'avenir de la fauconnei'ie en
Knrope dépendra presque uniquement de l'inti-rèi qu'j porteront
nos souverains, ainsi que du maintien de la Société dont
nous venons de retracer l'histoire. Ce sonl principalement deux
causes qui ¡.cuvent amener sa dissolution, savoir le défrichement
<les bruyères en\imnnant la grande béromiière située
dans le voisinage du cinitcan du (..oo, et en serond lien le
man((ne des londs nécessaires pour couvi ir les frais cpi'exige
l'entretien de la faueonucrie. Ces canses une fuis reconnnes,
il ne s'agit que de les prevenir, pour Iransmetti'o ¡1 la postérité
un art, autrefois reoiiéiolié avec avidité, aujourd'hui presque
Eénéralement abandonné avec Indlfférrnr...
CATALOGUE RAISONNÉ
OUVRAGES DE FAUCONNERIE.
MÏBWIS ÍCRIIS o tlMlE CIECQtC.
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à 'einfidiiaç poU.«, sob le llir» d "Ispcraiwóyt», rmi»co>onio< do «lawit
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OUMUGES EUDITS El ITOE IITIU
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