its structure and its manners, sufficient peculiarities to render both these affinities
highly probable, appears to us, at least, unquestionable. Whether it is a general
property in all aberrant groups to shew a greater tendency to unite themselves
into a circle, than to pass by a simple series of progression into the typical groups,
we will not now discuss ; but it certainly appears that the first of these tendencies
is much more appareut than the last ; or, at least, that it is to the full as strongly
manifested, in all such groups as have been sufficiently analysed.
In noticing the peculiar habits of Falcunmlus, among the true Shrikes, we have
expressed our suspicion that it may represent, in its own narrow circle, the tribe
of Scdnsores. Now, it may be worth remarking, that did we feel justified in
assigning to it this station, it would occupy that part of the circle of Laniante which
touches the Tyraimince; and we might thus account for the Bentivi and the Frontal
Shrike, so brought into contact, being clothed in the same coloured plumage.
But our belief, that the absolute union of the Edolianoe with the Tyranninoe will
hereafter be discovered, is materially strengthened by the perfect similarity of
manners between certain Edolianoe and the fork-tailed Tyrants of Paraguay ; and
this affinity, even in external form, has been thought so strong, as to have satisfied
Mr. Vigors that the two divisions actually followed each other in a simple
circle, without the intervention of the Ceblepyrinoe *. The following details,
written by two eye-witnesses of the facts they describe, are so important to this
question that we transcribe them verbatim. The manners of the African Drongos are thus described by M. Le Vaillant :—
“ Elle fréquente les grandes forêts et vit en petites troupes ; elle fait sa principale
nourriture d’abeilles qu’elle guette et qu’elle saisit à leur passage absolument
de la manière que les gobe-mouches le pratiquent à l’égard des mouches
et des insectes; mais c’est particulièrement le soir, après le coucher du soleil, et
le matin avant son lever, qu’elle chasse de préférence ces industrieux insectes ;
et poor cet effet le petites bandes se rangent le long du bois et s’y perchent sur un
arbre isolé, mort ou ayant beaucoup de branches mortes, afin de mieux saisir le
moment du départ on de l'arrivée des abeilles lorsqu’elles sortent du bois pour aller
recoeiHer sur les fleurs le miel et la cire, ou qu’elles reviennent chargées de butin.
En voyant de loin ces oiseaux faire leur chasse et voltiger en désordre autour et
* 'Tfi# ttrgtmmkm ad iMeaundiam might here he employed with mmufent advantage; wild this in, poi'linjis, on pur* tietvTsf occasions, the hest line of reasoning that can he adopted. Ifttt a# wo deni re more to elicit truth, tliuii to support
a theory, so wo prefer that onr view» of natural affinities should entirely repose on the fact» adduced In their support.
ffetndetf ft may he thought somewhat unfair to (fttote the authority of a naturalist on some occasions, and slight It
Altogether when Ms opinions happen to he against our own.
à une certaine distance d’un arbre, et revenir ensuite sur le même arbre, on peut
d’autant moins se figurer ce qui les excita à tant des mouvemens qu’il y en a
quelquefois vingt, trente perchés sur cet arbre, les iuns y revenant, les autres en
partant tour-à-tour et incessamment ; ce qui forme une scène très animée et même
bruyante ; car ils ont tous un cri qu’ils répètent à chaque instant et qu’on exprime
très-bien par pior-grioch, grioch. Qu’on s’imagine voir une trentaine
d’oiseaux voltigeant pêle-mêle autour d’un arbre et faisant tous les petits détours
que nécessitent le vol rapide et les crochets des abeilles qui elles-mêmes
cherchent à éviter leur ennemi ; qu’on se représente quelques-uns de ces oiseaux
manquant leur proie, se revirant aussitôt vers une antre abeille, faisant quelooe-
fois cinq à six pirouettes de suite en cabriolant à .droit, à ganche, ft en haut, en
bas, dans tous les sens enfin, et ne venant se reposer que lorsqu’ils ont hapé
l’abeille ou qu’ils se sont fatigués inutilement, on aura une idée assez exacte de
tout le manège des Drongos. Ils se posent en lieux élevés et déeanverfe pour
épier les insectes ; ils se volent aussi au-dessus des eaux e t des plaines pour faire
leur petite chasse à la manière des hirondelles ; et ils y choisissent pour se percher,
de petites branches ou des joncs.”
The economy of the Fort-tailed Tyrants (J\Blmdus, S a s described in the
following extract from Azara, is almost precisely similar.
“ Les Suiriris volent avec beaucoup d’aisance et 8s aiment la compagnie de
leurs semblables ; car, avant leur départ de Paraguay, on les voit réunis en
troupes de cent et deux cens individus, dont quelques-uns se tiennent, vers le soir,
perchés à la cime d’un arbre très élevé e t touffu, tandis que les autres volent
autour en tourbillon contas, se jetant sur les insectes et s’exerçant à cette chasse :
ils se posent ensuite sur l’arbre d’où ceux qui y étaient placés partent, pour que
la bande tournoyante soit toujours aussi nombreuse. Les mêmes arbres sont des
lieux de rendezvous, et ces oiseaux s’y rassemblent pendant plusieurs soirées
entières, avant que de partir ; à leur retour ils se montrent deux à deux, et quelquefois
en petites troupes, qui ne tardent pas à se diviser par paires. ”
The difficulty of detecting analogical relations between the higher and the
lower groups of ornithology, seems to be increased in the same ratio as the
groups to be compared differ in value from each other : and this must be obvions,
when we consider that in proportion as we descend in the scale of groups, and
limit our inquiries, so do we contract the field of comparison. The reader, it is
hoped, will bear this in remembrance, while studying the following—