P H |
n y irr^ «fo la ainfi que dans les plaines de Mâtiga&
â j le l®ng ' du Jénifca-ƒ f^ jy d a n s plufiearfe aütïes paries
d e l à Sibérie, füfqü’aü Kaffitfchatka, où elles arrivent à» mois
' d e mai, & d’où dies ne partent qu’ert novembre après a-voir faif
îeur ponte. M. Stefler les ayant-tu paflèr devant Me de Béring,
yrvfarvt-.ew amoitine vers ftf t ; & SU printemps vefs l ’o a e ft$ J ^ ‘
préfume qtfeHes viennent d’Amérique aü Kamtfchatkaj ce qu’il
y à de plusr certain, c^eft que la -plus.grande-pârtie-'de-cë$ oieS
du riord-eftde PAfiej gàgnells^eQfîtréeS du, midi vers la P e r f e ^A ^
îesÿEâ&fzƒ & le Japon, où Ëeia obferve léurÿfflâgCdemême
qu’a i Europe ; on affine même'qu’au Japon la -ieGurité -dont
on-les fait jouir, leur fait-oublier leur d é f i a é c e ï r i ^ ^ ^ p ^ S 1 '
( TTri 'fiïir yif" fijiiTfÿ T j f ' * t*Ppüi dü P4®1^
f Amérique en Afie, c’eft que’îa Même ’efpècç 'dloib fauvager- qui
Te voit en Europe & en Allé, fe trouvg^ p ^ ^ B o a m a ^ rV>
(eJVôyag: en lajsponie, dans les OEuvres de Régnait!, oum Z, page ISS.
' ! Gmelin, Voyage en Sibérie, tome I , page 2iS. .•
"(gj Hifloire générale dés Voyages, tome X I X , page rjZ.
(kJTLn Perle il y a des oies, canards, pluviers, grües, hérons, plongeons, bécafles, par-
toa[; mais en plus grande quantité dans les provinces feptentrionalt . Pbyuge de Chardin;
Amflerdam, i f i Fi *'? : ’
/H y a des oies, des canards, des cércelles, des hérons , &c. au royaume de Guzaratte,
aux Indes orientales. Voyage, de Mandejîo, fuite â’ Ùléatïus, tome I I , page 234. H y en à.
an(li an Tunquin. Dampler, Nouveau Voyage autour du mande? R ou enI7*i;5,.tome I I I j-,
pagclô.
* (Je) On diflxogue an Japon deux fortes d’oies fàuvages qui ne fe mêlent jamais ; les unes
fekndh.es comme là neige, avec les extrémités des ailes fort noires jJgs autres â’un gris-cendré3
toutes fi communes èc fi familières, qu’elles fe laiflênt fecüenlent :apjprôèKe|. Qtfdiqu elles
felTent beaucoup de dégât dans les campagnes , H eft défendu de les, tuer fous peiné de mor-t-^- 8 pour a£5iret lé privilège de ceux qui açfeeftent le droit. Les payfans font obligés ^entourer
"" leurs champs de filets pour les défendre de leurs ravages. Roempfer, tome I , page 112. t
(*7^ Le'Page dp Pratz, io/ne I I , page 114*
âu, Canada Y " m e m v s H è . Efpagne 'fur les côtés
occidentales de l’Amérique fepiëmrionale \ nous rgjbçfiêns fi cetsfe
même efpèce fe trouve égafem’ept dans-toute i’étendueTf^jl’^.mé-
riq!$ê’^éridioualej nous favons feulement que la ràce défiais
privée tranfportée d’Europe au Bref!, pâlie pour y avoir acquis
ÙUë 'çbait plus délicate & de meilleur goût f o j ; & qu’au contraire
elle à- dégénéré -à Saint - DoîùiogUe, ’jp à. Ml le’ chevalier
LtfebVfe Dèsbayes 'a fâil-plpîsufe ofefervâtiohs füHe rfatuteî de
CÇil'ëffeatfil en domefticité, & particulièrement fur les fignes de
-.jfeléS^ué1 dontië l’qje môle à» la âaîmnce dés petits fw k M. cEtes^
Èaÿes-mdUs apprend de plus qtt’dn' voit -à Sairat-JDdrrtîrlgti' Unegfand&^
fâfetî?:'de riviète fofit pa^^ uiren abondance au Canada,
, iSêépté vérs cfn approefeerf Nijioire générale des Voyages y
y^tgme^JÈVi page des..oiés ; fâuVages ahonqüei
Voyage \au pdys ‘des^Nurom3\paa lè P- Sdgàrd Théôdat-, Recollét’, Paris', 1632.
' . . . cum filKeflrï^ftfatï*Mit •
i . idem, avi.‘Hifp. pag. 34, âujji, GemelK
Carreri, tome V I , page 212.,
BBjBÉpmprk ciÿétend - avoir remarqué que les rcânaÿds(&: les oies d’Europe tr an fp or tés aü
Bf%fîlrîy *6iit‘ àequis.iïn goût plus. fin au .contraire - des poules qui en devenant plus grandes
& plus fortes , dfit- perdu une partie de leur goût. TÛJli générale ",des. Voyages tome X I V *
pageW ÿ S ^ - - CfëtflSfeeTÏct d^tre plumée de fon duvet trois fois l’année} ’lbn> efpèce
■ néanmoins eft moins précieufe dans un dimat'dù 'Ia lanté défend, en dépit de -la molleffe,
de dormir for le duvet, 8a où la"paille fraîche* eft le feul lit où le fommeil puiffe s’abattre ;
^^^^àiÈ;‘dfe il’cfle'Veft pas non plus auffi bonne à Saint-Po'mi^gue qu’en France-, jamais die '
^nMlwëxr gràffe,} eH^eftîfi^^eufe?>& celle du cànadF-d’mdëi mérite à tous égards la. préfet -'
%^^è^yQBfiivdtion communiquée par Mile chevalier Lefebvre Deshayes.
Lès'• Naturaliftes ri’ont pas parlé, ce me fèmHe, des témoignages finguliers dèi^ft^ que le _
• jm, ou le mâle donne à fès petits-les 'premières fois qu’il les «voit niangd“ }*oepanmial déinoirtre
là fttisfàétibn enlevant la tête avec dignité, &L«^rtf^%nàdt dés piëdâ-^^draçon à faire crofre
qü’iiwdfinfê. ^fe),és- lignes de Contentement ne fbnt*iia^!^^mqûes, pun^fâlîfm’ont* lieu que dans
^ cëtfe'é^»^^çe|ÿ^-qmoe^ifôÛî répétés prefque à chaque manger aux'h
^ns Hetir1 prëftuèr 'Sjpi^Le'- pttë néglige là prppr&fùbfift^^p^rar fe livrer à^k- joï®^^
^ d o fori -coeur : cetfè danfë dure quelquefois long-feiirps, oe dùandlcpélqde ' dHlfa&ioiîi‘ëomme?^
» celle dès volailles quil dhaffe loin de fes‘petits5 la lui fait interrompre, il la reprend a y e^
i'^Une nouvellè ardeur. Idem. » '