eoups de .'bâtons,- &:en grand nombre, fans que-la troupe ftupidér
fâche fuir ni prendre fon effor, ni même fcdétourner deb'eh’âffeurs
qui les aflomment Ftùeuapiès l’autre &vjufqu’au dernier^e^Æetfe
Tprfrfference: au p éri n e vient ni de fermeté,.ni de couragey puif-
aie. favent ni. réfifer^onf dfe-défendre'., & encore. moins
attaquer, quoiqu'ils en aient tous les moyens r tm f
de îeur -corps que par cele de leurs armes '{'&)•' Ce n’eft -doae
que par -imbéeiflité.quïïs ne.'fe-idéfendenfcpas, & de.qûdque
Eaufc.i qu!elîe provienne ,, ces odeaux font .plutôt flaopides iqqe
fo u s ,c a r.ï’omne.peut.donngLÀJj, plus étrange pr«ation d’inf-
jin â :, u n jitira «î»» n e ’Convient tout au plus qu’à Fabus qu’on
en fait.
Mais,' comme toutes les facultés intérieures & les,.qualités
morales des animaux réfultent de le u r conftitutionr, on doit attri*
Hidoire générale des.Antilles-r tome-IT[page 275. — t < hu
ches , foit 1 terre , foit à la mer; äs l^w aw tl^ BM fe lÉH lfepO T > ttÇ ™n craindre,
lorfqnt leur pê 1 1 le; iy*conduit i' les. ccnips- d< t if it , ni tout îutrt bruit, ne 1( s éloîgr < ït-
pas. J at quelquefois vu des fous folitaires venir roder le foir autour du bâtiment -regoßf
au bout des vergues, où les nàtelots alloient les prendre, far qu'ils fiffent i line de s’envoler.
Obfervations communiquéesptrrM i c la Borde, Médecin du Roi à Coyer ne l j n \ i lfl Iohat,
Nouveau Voyage aux des de [Amérique; Paris ; 1722, tome V I , page 481. Legnat, rome 7
pag, 1 JÖ
( c ) Ceft un oifeau fort (impie , & qui ne s'ôte qui peine dn chemin des gens. Dampier,
tome ƒ, page 66. :_Hytà^dans eçtte île de l'Afcenlïon des fous en fi grande quantité/que !
nos matelots en tuoient cinq ou lix-d'un coup de bâton. Voyage au détroit de Magellan , par
l.e iju i, Pans (:2. — Nu' 1 Idat ei tuèrent (dans cette même île de l'Afce: 1-
fionjune quantité étonnante. Obfervations faites par M. le vicomte de Querholm, Enfeigne de/
iffaißeaux diiJÎoï. I .
( i ) Les fous font de certains oifeamc ainfi appelés, à raufe qu'ils fe biffent prendre 1 la main :
dÿÎDur'jifs font for des rochers, d’où äs ne fortent que pour aller pêcher ; le foir, ils viennent
fe retirer for les arbres, lorfquâs y font une %),perehés, quandton y mettroit le feu , je crois
qrr’âs ne s’envoleroient point -, ceft pourquoi on les peut prendre jnfquan dernier %is quds
branlent, ils cherchent pourtant àfe défendre fe njièux qu’ils peuvent avec leur bec, mais ils
ne fauroient 6 i e de mal ilijioirç des Aventuriers boucaniers j> Paris. 1686 , tome I , pageb
e M W w a a P l a l s .
buer à qaeïqiae'caufe |ipîayfjquB;,' .cetté inoiay,â)ble.ïinertie qqi
-pri >J u i^ J j^ f ( i» W ^ t ^ f ô i - h i i .m e *, 8 c ||jfa 4@ ît' q i i t cUM,c c n ï l i . Gom-S|
fifte «Jahsïàuüifficulté quepesoifeauxontlà mettre eh m o k j v em e n t
leurs trsp longues ailes ; f0^ ; impuilEinee:peufeêîre.affez grande,
poun qtùlien r é fu lr e r c e t tE pefanteür. qui les. rSêtiepttfani-mom^â /
ment dansJe temps même du plus pceilânt danger ôa jofqué' forM||
les .coups doati^fflies'4r|.ppett i ï f
MqÇîepfendâfit Iaifqù%lsrtÎEt}app£nt à l a maint d ffi’h om m e , il ferît-
'blejjQue leur manquejderçouriaéîdp livre à un', autre ‘ ennemi qu i
lues c e n e ^ b -4 e sto ü ïin e ü té r ^ c e t îennemi eft J ’pifeau -appelé;,- & v
f i e * j u to'idîltnri -TLsLtouw.k s 'Mi ù ik iis qrcvWf'V p s p lfo -1
ifiihSrîi^rCltd , i\f iLs èv. de b t c ^ i llU i
In îC Î / k i i i& 'i i i - j i t i^ q i i 'c l t è ^ l S e ^ a y i l t ," h ‘ 1
foiî'5Pim6i.ci1lt & il laKiy1 KciniuhquenLdjlîs^fclf’Kinlie c i n g l e
Tu p i c -m i è i e - a t t d q u o ^ v o n t énluite cl u i h i uranium; pioi’Sv,
s me , malgré la puiffance de fon vol,
paro^iî^roffi^Msfiinè «peine,; - prendre fpd
oifeau.
i ^ en,J%pM£r> d&#o& ^ ^ ^ fr^^esj'(lèJne^via ^diafle
^àr^Wd&sJe ;a.ù.’paffage,;&,
obligent 'Vomir, quelquesr
uns des poiflons r^u’ils portent à leurs petits T-amfî, les frégàtH^rofïtenF'de ’Ias,p^che de ces |
Xès vro^wïè,tiôëfi€^,>|i3^ofei|:^^^^^^^®ewRQdrîgne ) ^ j^&rdes‘ j fîégafes'^^'éfbnt^o^H
^éy|o n^ippelle ajqfî parce qu’ils» font Uge
la» ^^n6 des-%B^^^t"MM%ent ^|e
des~ tùerd.mais de
3&&itg;ÆffieüIté^a£afaH^gnè^^ |p^^^ ^ ^ k irégate fe^ ^ ue|^m^^^%uS’e%^Ms’élariee
{le ijoWeau. f'nfqaà, ce contraint d’oB'éir. M^SSS, >tMfyße!$anhl
: PeQ- dBKremnfènfe'Ies combats di^feÜ^^^^^^eçnemi, iqu’il appe^
ie pirater M^&^emigra (îlle
le pirate s’aperçoit qu’il a pris un poiflon , il vole avec fureur vers lui } & l’oblige de feu
plonger fous l’eau pour fe mettre en fûreté j le pirate ne pouvant le iùivre, plane fur l’eai