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Jcîn^veau^parjl mêmë;pïrâterie,rde cet;
oifeau frégate,
/ '( V e ^ a ^ f o T ^ ^ c f e y c n 'A i l a h a n t , Itsailç^^refquek^mmo-
c f t d e s .^ .qu'il' piroîf p ^ d ç d a
fnrr;u(-(ir?i-V.iii^'^p|gni\ol^quoique.rapide &.
jqbnimtnttimoiris J j i î p celui düfcjjyfregitc ^auffi-'^s^aruf^cl^ij J
forge, & leur .renccintteyjnJ
mer annonce aflez furunent âuK,Napjg^touhdt»voîfiri|^H©0Î^Æj
P c f i i e J u j u Cl) <■ Ntanmotasjfludqucs - unsad ç ^ e c y j K a u ^ q ^ a P
»jufqu'it ce^telaJbtt-nc-puHepfus relpirer; a ors a l’a:tique de nouveau juf jiA c : que le
Il fou las & hors d'haleine , foit obligé d'abandonner fon poiffor i
Souffrir de nouveaux aJUults de fon infatigable ennemi. »
(hjn& y -
( i ) Les boubies ne vont pas fort loin ên mer, & communément ne perdent pas la terre
de vue. Forfter, Objèrvations , page 192.-—P u de jours après notre départ de Java ; nous
*j vîmes des boubies au mr rli Vaiffeau pendant plufieurs nuits confecutïves ; & comme on ,
fait que ck oifeaux vont Te jucher le foir à_terre . nous eîT conjeaurames qu’il y avoir quel-
911e ifl 3 dans les enviro r ; c ifl eut-ètre l’fle de Selam, dont ]e nom & la fituation font
1 arqués très-diverfement t[ans dife ilni:es c 11?3. Prem r ' I ) e le Cook, tome I V , page
314.— Notre latitude ét it de 24 degrés 28 fécondés ( le 21 mai 1770 , pr s de h nouvelle
Hollande ) ; nous av :ons trouvé pendan les derniers jours plufieurs oifeaux de mer appelés
boubies, ce qui ne nous étaient pas encore arrivé. La nuit du 2 1, il en paffa près du Vaiffeau
une petite troupe qui vola au nord-oneft ; & le na 11 f depuis environ une1 ieure avant 1( 1
lever du foleil jufqu'à une demi-heure après, il y en eut de volées continuelles qui vinrent' j
du nord-nord-oueft , & qui s'enfuirent :m fud-fud-eft : nou * n'en vîmes meun qui prît une
autre direction, c'eft pour c< la que ne us conjedlurames qu' I y avoit au fond d'une bai : p
fonde qui était au fud de nous, un lagon ou u 11 rivière ou canal d'eau b: ffe,où ces c il c ux
■ |1| lie at chercher des alimen p mil it le jour, & qu'il . uvoit « l i t rd dans le voifinr ge qi
t '0 ' 1 / 1 . 1 -
ne dévots pa diflimuler que quelques Voyageurs, entre autres le P. FeuiUée ( Obfety.page
’=-'1j8 , édit 1725 ) . difenl qu'on trouve drâ fous à plufieurs centaines de lieues en mer ; & que
M. ’Cook lui-même ne femb . J m t îS tH t trder, du moins dans certaines circonftances ,
comme des ivant-coureui de terre plus fùrs que les firégat s, avec ItIqu elles il les ranjedans
le paflàge fuivant. «L e temps tut tgréable , & nous vimes chaque jour queIqu s-uns de c i ,
..oifeaux qu'on regarde comme dés fignes du voilinage de terre , tels que les boubies , les
«frégates , les oifeaux du tropique & les mouettes. Nous crûmes qu'ils venoient de I'fle
Saint-Matthieu ou de l'A "cenfion que note avions laiffée ifl z près de nom » S e r a i Voyage
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pas manqué de les y fuivre.
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luiujçfp^qOijWx- ii't^Wik'fiTireHraîgîlK'dê’ilipyyrÆ^^u^^Wsittt.,
JïïpfTl t VJrtqd^
I t ,X '^ .A vLiIé’1 Rodrigue •, lJffîÿaig de ‘■ Léguât, tome 1 3 page‘lO$.
Sec'ôhd^àyeige "3 tome IV- 3 page j^ ^^ Aux
générale des Voyages, tome X I .>
parages de Ia^ftouVèlI^GuinéerDampier} ibidem -, page1251. Â ïa h^^elle', Hollande , - id em _
ibid^^Vpâg.^ Voyage 3 tomel'F , pagé'f 10.' D&is loutesîlès îles ' Ïerrïéë^^
fous le Tropique âiiftral -, Forfter, ObJ^aftkrùùji'Pâge 7. Aux grandes & petites Antilles 5
Feuillée, Labat ^ute rtte, %Bâi^J^Ganipèche j Dampier'sï/o^ÉEr, page 315.*