1 12 H i s T O I R E N J T If R E L L E
dansi'es^rèlàtionsîdës voyàgeurs-Ângîois^i|l', parce qu’ilfexptfme I
<B§îoujderie crnti-affurance M e avec- laquelle cet ©jfëatf-,vient I
fe,pofer fur les mâts & fur les vergues des navire*1 & même
fur-la main que lesvmateîotsiui” tendent
•L’efpèce-ne'paraît pas s’être étendue fort au-delà des T r a p J
piques’fe ) ; Triais eâe-eft ttès-nomBreufe dans les lieux quelle,
^fréquente. A Cayenne, nous dit M. de la Borde, J ^ y a'eerft J
» nôddis o.u thouaroux pour'un fou;ou*urie frégate îl^cquv'rqnt
îi: fûr-toiit ie< rocher du 'Grand’-"côrmétaBIe, 'doU iîif Viennent I
» voltiger autour clés Vaillèaux, & lorfqu’oti tire uri ‘coup "cTe! I
S'canori'; ïïs fe lèvent & forment parieur nMîfo’d'ftiin iTiu^e
- épais: » Catefby les a également v u : pêcher eiî' qi ind- notrîhft, i
■yj^Mtrenfembîé^C~Va5aftïSàf=&aiatijaueHement -à la.fïïface de la I
mer,pdur„éhIévCTÎes'pétits poiHons*, dorîtles^tr'ôü jîïs-trrêôfenries^ I
font chaflees & preffées parles glands vents. Cette f ^ e hÆ p l ïM
fb y -Vaylx celles des Voyages de Dampier, du capitaine Goofc,&c.
^ d r ) te Ce !■ ni les (liteaux ftu| I , l con me 1 s fous, 1 I il nt prendre a a ma fur
f e vergues & dans les autres :agrès de Vaiffeau où ils viennent fe pofer. i Calesby.
■ .(d ) «Les Thoaroux ( c'elfë;fipfedÀÿoady''ài la Guyane) , vont faire leur pêche fort an
»lm en compagnit les fous.& le f éga t j 11 les li pas vnsfe repofer fur 1 au, comme
»1 nt 1 s goéli 1 , n ais I nuit il vie i n 11 rc I t aii our de: l i l i t ] u cl t "li i à fe
»repofer, & t e matelots le prennent en fe couchant; fur le haut de la dunette, & en tendant
la main lîir IaqüeUe iîs-ne font pas de façon de le polèr. » Mémoire t . a M. de la
Borde, Médecin du Roi il Cayenne. ■
( e ) Catelby , corne I , page 88 esc « Nodies & oijèaux d mfs ( qui i ai iflê t ti juel
»que efpèce d'irondelle de mer. ) Par 27 degrés 4 fécondé latitudl Sud, & 103 degrés 56
fécondés lê^itude-Oueft .yTHatis les-.premiers, jours de mai ». Second V yage du cap.......e
Cook,, tome I I , page I 9, «Le 28 fé rier, par 33 degrés 7 I c ndes lat udè fud, & 102
degrés 3 3'fécondés longitude oueft ( en rentrant vers le I r pie ‘ u ren. a £ ,
y, v u desj liflons volans de lue u s d'oeufs Si des 1 lies lu i,! c q n di , ne. v itp a s l
„plus di 1 Xante nll quatre vingt lieues de terre , mais on n’eft pa fliiré de cela perfonne
»né fait à quelle diÊBtips'écartent des côtes les oifeaux de mer ; pour moi, je n crois point'
„q u il 7 en ait un feul fur lequel on puiflé compter avec certitude pour annoncer le voilïnage
des terres. „ Idem, ibidem, page 178.— « On voit des noddys à phis.de cent lieues de terre,»
Càiesby fCàràlin, tome I , page 88.