de rococo ; on îes voit border le. rivage de la mer ou voler. érl$
troupes ( e on les retrouve dans lés îles de Bahama $ 5/.: Hans
Sloane les placé dans le -catalogue, des oifeaux.de la Jamaëque
^ g ^ ;D am p ie t les retrouve à R io de la Hacha f â p , -ils font
eu très -grarid nombre à Saint-Domingue ( i) : > : aux Antffles'&
aux fies Caribes f k J , o ù 3s;fe tiennent dans les petits lacs falës
& fur les lagunes^ C elui dont Seba donne la figure, lui avait été
envoyé de Curaçao/ / J i o n en trouve également au P é r o u /«i-)j
jufqu’au Chili ( n Enfin 3 efl; p eu de régions de .l’Amérique
Wrictirmale o ù quelques Voyageurs n’aient/.rencontré ces
oifeaux. É
| (■ ^Bairère, Eijl. nat. d e là France Aqumx - L » ^ l * Cayenne font jU t f f r j g t o
fiammandsde colibris, d’ocôs' & de toucans. Voyage de Froger.
- ( f ) Klein; -m -A.vib. mat. pag. 165. f"
( g ) Nat Hift. of Jamaïc tom II* pag. 321. Thefe are commun in the Marshy and
fenny places, and Iikeirife sbalioinr baies o f Jamaïca. ^
' (H) ci J'ai vu des flamingos à Rio de la Hacha, & à une île Gtuée près dn continent de
»l’Amérique, vis avis du Curaçao, S qui ’ les pirates appolli nt VVc i c i lam ngo , à caufe
dt la prodîgieufi quai ti é de u s oiTeaux qui y nichent, n Dampi r Nouveau V p M u i ïo jg *
dit monde, tome pà§e 94«
■ 3 2 ; « rt Saint Dnmingui, le flamingos bordent les marab en grandïs tri upei , & comme
»ils ont les*pieds dune extrême hauteur, on les prendrait de loin pour un efcadron rargé
en bataille. » BiJL générale <les Voyages, tome X I I | pag. ZZ&— <« Les endroits que les
»Hauni s fréquentent le plus volontiers 1 Saint Domingut, font les marécages d la Gonave j
6c l ’tte d ForSeipêtites aes.fituées, lime 1 li*&ft,<Tn fort -u pl-incr, üftjULI-
„ la Vfile des Oaycs. I les îles leur plailënt, S. parce quelles font inhabité s, & parc i uil s'y
„trouve plufieurs lagons & marab d’eau filée ; ils fréquentent aufli beaucoup le fimeite
»étang de K/jOilU qni appattient aux 1 fpagnols. Ou en voit à l’eft e a
,ï/ùr, llans un grand étang qui contient plulieurs îlets; maë du re fte, on ohfei vé que le
i »nombre de ces oifeaux diminue à mefure que l’on defsèche les marécages & que l’on abat
les hautes futaies qui garniflént les bords des grands étangs. » Entrât des M i Uircs commit-
f- niqués par M. le chevalier ùfebvre Deshayes.
( k ) Hernandez* Rochefort.
j l y ^ T B e Ê
| Jj m B liiii
{ n ) Fréter, page 73.
■ /G ë x fkm m âoe 'SÂ ï^ ip e ceùx
de l’Europe & d’Afrique ÿ.Vtfpècefde ces oifeâùXÿfembîe êtrà
uniqÉ#^|>Iiîs ifolée qu’àuciîne autre', puÿqq.’eHë s’é® fefufée
à toute :vavriété.
». Cesoifeaux fbfit leurç petits fur lesîéStesCSlb3’& des ’Ses dé
Bàffama ^®,plferis'tTes plagesfljfpyée| & fur les îles baffes, tell«
que celles d’-4 ves f p J , où Labat trouva nombre dActs .oifeaa®'.’’
■ & leurs raranraBg c/fomlde-TpetitS’ tasJçSterrévgkïMl&'da
fange îamafféé du maràis\,i relevés, d’ehvifiinf vingt poueds en
- pyramide aq milieu de Feau, '.dÙ'rleur bàfobaigne toujours, &
yjÊnt'ié fommei tronqué, creux fans aucun ht de plumes
ni d’herbes, reçoit immédiatement les oeufs que i’oifeau couvé
en repofànt fixr .ce- f pètit: mqntifcufeAÿ% des- jâmËës pendantes,
", diÇ’Aîâfdlby,„comme àiwlMpme: affis fur 'un tabouret, &. de.
manière qu’if né .corare'/es oeute que &;<droupion & du’ baA
t Àïe-flti^lsate^ngmièrefd^uation. -eft- néceffitée par la (longueur
dei^èajanîbest %ij3 ;ne poutroit jamais ranger finis lui #1 êÊÊik
igçroupj. Dampier décrit de même leur manière de nicher dans
nfe’de S ^ rf'fJ . C ’eft* toujours' dans i& laguneS'& ies mares
'' aw(4o|) ' TTal. Eifl. q f Carolina, tome I , page 7=f. '
'* (p ) Cmquante^ iîéiies ;ib^,^Iê'yent_ae !à Dominique.
)*.^Hiftoire gÿnérde des Voy^geSa tome pq^e.ë^^ ^
« -On me montra-quantité de.Jemsrflé^j rfe^refîëmble^t à des, cônes troijqués ;, compo^.
■ , for . autant de diamefrr
mares ou dés nu
; comme un -pot âvéeuni
rent ea^ppny^1 coutre'i
fans y trouver ni: plumes»
peu concave & les parois«
fês" de. terreL.^fle, .d'environ dix?^ Imity.ingt jiqiices d
pa^fe^jasj^âs jes fbnt toujôW dans l’eau, ceft-à-dire,^^^des o
î julqaa;ia hauteur de l’eau, &rèmüite vid
, trôü^en^auti cèft-là dedans quils pondent .deux osufe qu’ils cou
- ^ eoûvràtit-ïè^trou avec leur queues J’en ai -rompu quelques-ur
nî Rârbes, ni aucune chôfè pour repofcr les oeufe s le fond eft u
; fQxir unis. ^ Labat, tome I V , page 4^5j*'
( f ) «« Us font leur'nid dans les marâ^^M.vÿ ‘'a beaucoup'de boue qu’ils amonc^eùt>av«
leurs pattes, & en font de petites hauteurs qui rellemblent à de petites îles, & qui paroiifent