e§ifila^uii^oïft*au d’tau ipn^fcs tuUts attributs, c'ir,&clt.pcnlfl
ifpâiffîrîbn|? de la - membraRÎiê g ^ i^ K^ênlié^S.i’dùists -y -elle a
' comme;-. pi¥iq^ït^^^ÇîïàÆux-àcpSt^[iifts ,-Aua©.*petitB<Çi^feî
de la ja n ^ ii â ^W ^ d e plumes, & -le fejt^f^iië^^^S’iîrfîJdüfŸbt
■ Cette; famille Qcs hnondellcs de1 mer, eft“cbaîp'oïeéï9 e^>lu-|
fleuré efpèccsV-dont la plifpart'oht franchi les.ablahs & peuple^
feurs nvapiesy orties tmiiyp'
-fes'alVlbrëTclûWord ^-^j^juIquOtlars les villes ph#:s>âlfySc<SïS
' àuftral?(?|ÿ ; & on ■Iés|¥mmnitei^ ^ ^ prfefqiie-,tBut^».es.-<if4'rfMs
intermédiaires ’Ndi^^mn^mjtiÿpne i le^Tü^ôs'jf^^fiia jit
tr même dë~ri É j donné par les SeptentrionauxVd^m
( h ) M. Gmelin dit en avoi
Sibérie. Voyagé éfê Siaènc ^ft
iEtâflis:,,. fg#fe
m, dès bandés innombrables rnr le Jénifca y :s Mangafea, en
. I I 3 page 56.
( i ) M. Coblc a vu des hirondelles de mer vers les Mar quif es, qui font les îles vues par
Mendana. Second Voyage, tome I I , page 2 38. =?Le même navigateur s’eft vu :âpjl©^ëni
par ï; clejpjLiîs le cap de Bonne-elpérance S^t^a au-delà du quarante - unième degré
de latitude aullrale. Ibid. tome I , page 88.-^ Le
lept degrés de l|llm|f,7^c en t fîx\de-longitude oueft, dans la grande mer du Sud. Premier
'Voyage de Cook , tome II^ page J^ “ Les îles baffes du tropique , dans tout cet archipel
3, qui env-ironne Taïti^JSSt remplies de volées d’iàir on déliés de mer , de L©ubies, de fré- ,
gates , &c. » ^ m s ê m de Forfîer , à la fuite du fécond. Voyage de Cook , page 7. — Les _
hirondelles de mer vont coucher fur les briffons j^Taiti; M. Forfter, dans unê çourfê avant le
lever du foleil, en prit ainfî pluheurs qui dormoient le long du chemin. Second Voyage Je Cook, 1
''fôrneélipagt 3^ ^ ? * 1
- (k ) II Te trouvé des hirondelles de mer- ^ li^ ^ 5hppn%
Voye% à la fuite de cet article les notices? des ,elpeçes. On reconnoît aifément pour des hiron-
delles de mer , les oifeaux que' rencontra Dampier dans les'parages de Ta'-nouvelle ©uinée.
et Tjp 3 m juiNefc- tous les oifeaux qui avoient efcorté jufque-là le Vâiffeau /d’abandbmïèrërit,
^^mis’open vit d’une toute autre elpèoê^criH étaient- de la_gro£Teur des vanneaux a v e c lç jjk -
»Tmage gris,, le tour^^^ye^^rironrs , le bec rouge ^^bintu~, les ailes Iôügues & la queue
fourchue comme les hirondelles. nfEIUl. 'générale des Voyages^, tome, X I , . page 217 . — Le
3313 juillet 1773 j à trente-cinq degrés deux fécondés de latitude7"& deux degiés quarante-
îshuit fécondés de longitude , pendant un- violent- cou||||ep vent 'de nord-oueft , M. de -
jjQuerhoënt vit beaucoup' de damiers, de eroifëurs , & les premières petites goélettes ; elles
fia “ k pp ' k n f c s; ç fp’lq: s -, & -îidusSxûmmcnèe™
rons Par celles qui fréquentent nos côtes.
* LE P1ERRE-G,
w f e ü f G R j t N D E H I R o # ^ p ÿ ,
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* 3 tW ljp i^ ii^ l^ 'k i” iT iv r qm ~ il- - fla jfcn t '
s?ap'-ff ;
tffjtna 1 en HoIIandois , |
ehs.Groténk'ndois, emerkotulak, lûiv^nt- Muller.,
• iJtvt. page ^ 6 & É è i^ T m È ï
neft‘ 3 .'^ihugl^Ë^fÿj^^^^r- Hirü/fdo L WHIughB^-,^‘
268. — Sibiald. 5,co7S 7/^/?/-._piu-t. II «a , r -g° ^ -Jji | j g g K ^
•fi kiajdr j p i
. marina 3 Jlerna Turneri. Aucluar. Hiji. nat. Polon. page 385. — Larus albicans. Marfigl. I
cauddf^fordpptâ_}3 %eariàbus duabus\extimîs, ûtbp fiTÛgrpqué ' Mtândclf^'
^R. ^2/^- Sterna'^BHHb'üSMctimU^ maximis dimidiato,
albis Fau’iia^Saecica i^^^ ^ ^^^EermM[hIndo , ’cmdwfofyicàcd ;
- 4àflb^^^(mp'^Mp^ÉW°M^Joùdîatis^î^lèéi^ ^oolqg.filDa'mcirni? ifp.f^Goibahk
H ^^^^^^^^l^ocephdlo^me^^^^0by^^fm^^p^yJfques , édit. 1725 pa’g e k f f^ ^ ^ ^
avec unevf i^ g ^ ^ l;* r q fo ^ ^® g |^ 4
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remigibus feptem primoribus intérims' vers^Spüm 3ncrcp-mgfic#nt$uPf
^Ê^cbiahusfict^èOyap^.^_Steraamaior>X^i^^^^QndQ]\&^nier. Briüjbn $& 7iitholêwrÊk