
1 5 2 J
Trian:ul [lowers.
Iliifmarschall a. D., Ba:
I^nluly Ihe same Trian?
on Si. Paul d'lllaire, ;
lacera, I believe from <i Saiulcrian introciuction, rc-appcarccl
Fischbacli, in Silesia, and I predict it will one day be a
ljcc:mic c
with llorr
humble Tri
The probably wide area of mule stocks renders it impossible to make anything like a diagnosis from such scanty
nialcrials as often are at hanti, anil, if one saw the \vhole stock at oncc, the difliculty would be proportionately increased.
H. G. RM. f.
Hybrid l^dy's-slipper Orchids are by no means such I'arities now as Ihcy were a few years ago. The facility with
which the niajorily of the species intercross, and the conipai-ativcly short time that elapses from the seedling to the
flowering stage, have led to the ]3roduction of a long list of hybrids which, in fact, outnumber the introduced species.
Ever since Mr, Dominy raised the first hybrid Cypripedium (C. Harrisianum) at Exeter, about twenty yeai-s ago, other
hybrids have appeared in quick succession ; until now tliere arc no fewer than half-a-hundred.
Many of these garden hybrids are handsome plants, some, indeed, are extremely beautiful; while, on the other
hand, the intercrossing of some species has produced progeny in no \\'ay superior to the parents, and others are ^vorthless
as garden plants. The indiscriminate intercrossing of species may occasionally produce good results, but, in the case of
Cypi-ipedia, the finest hybrids are those which have sprung from parents possessing some good points which it has been
the aim of the hybridist to blend in one plant. Hybrids have been prodiiccd most numerously among the Selenepedia
section of South America, and the marbled-leaved species of the eastern tropics, but the hybiidist has failed to intercross
any of the long-sepalled species, as for example C. Stonei and also the North American species, such as C. spectabile,
with the South American species. He has moreover been bafiled in his attempts to intercross the species of the western
tropics with those of the eastern, though in this he may yet be successful.
The culturo of this, like that of most other tropical Cypripedia, is simple. Being of vigorous nature it requires a
substantial compost to grow in. To the usual mixture of peat and sphagnum moss there should be added about a third
part of good fibrotts loam, upon which the strong roots like to feed. Like others of a similar nature, it delights in
an abundance of water during active growth, in fact it may be deluged during the spring and summer months. It is,
however, essentia! that the drainage is efficient, for, though the plant likes water, stagnant moisture in the soil or about
the neck of the plant is inimical to its well being. The plant should be potted moderately high, and be surfaced with live
sphagnum moss. It should have a light position in the East Indian house, the winter temperature of ^vhich should
range from 58 deg. to 65 deg. F„ and a summer heat of from 65 deg. to 80 deg. F., with sun heat.
Wylam. -Tync,
HISTOIRE ET CULTURE.
10 est le nom donné à ce charmant Cypripedium ; il le tient de sa grande affinité avec le C. Argus, Argus avait reçu l'ordre de Junon de
garder lo, la fille du roi Inachus, aussi longtemps que djrerait sa peine; la malheureuse avilit i5lé changée en vache, mais Jupilcr fil tuer
A 1^16 par Mercure et il plaça ses cent yeux dans la queue du paon sacr¿.
On s'est demandé dans bien des cas jusqu'il quel |>oint il serait utile de donner la définition des hybricks. Feu le Dr. Carcke, de
Berlin, dans son ouvrage si apprécié "Flora von Deutschland" qui en est à sa isme édition, a fin! i>ar abandonner ce système. Il
estime que lorsqu'on connaît les parents on reconnaît le protluit. Notre excellent auteur établit dans la préface que la description de ¡J.intes
aussi polymorphes que les hybrides de Cirsium, Carduus, Hieraciiim, peiil varier et éire incomplète, et qu'il doit forciment en être ainsi.
(" Da die Diagnosen dieser vielgeslaltlgen Gebilde ohnehin schwankend und unvollständig sind und seien müssen. ")
S'il nous était donné d'examiner un stok complet de plantes obtenues par hybridation, nous ne verrions cerlainement pas la fin des
variations de leurs Heurs. M. Drewitt O. Drewitt, de Riding Mill-on-Tyne, me dit l'autre jour h Kcw, qu'il n'y a jwis deux Heurs semblables
dans les hybrides des Cypripèdes. Et, en effet, l'ensemble des semis obtenus ¡«ir hybridation montrera entr'eux plus de diversité que ne le
feraient les semis d'une même espèce. Ceux qui connaissent les parents auront peu de difficulté i les retrouver dans le produil.
Pour moi, je suis presque de la même opinion que mon excellent ami le Dr, Garcke, car, depuis longtemps je me suis refusé à
donner dans le Gardeners' Ofonicle la définition latine des nouveaux hybrides. J'estime que tout ce qu'on peut faire c'est de donner ce qui
nous appelons en latin " adumbrationes," des ombres, des silhouettes, de vagues descriptions, avec des poinl.s de comparaison, de manière à
ce qu'elles puissent servir aux sujets i. venir, et qu'elles rappellent les fieurs produites habituellement sur une ou deux plantes d'une
notiveauté. Par conséquent, nous demanderons i nos lecteurs de ne (WS s'étonner s'ils voient des plantes dilîérentes de celles du nos
planches. Il n'y a pas moyen de remédier à cela, les lois naturelles étant immuables. Par exemple, j'ai reçu des observations relativement
au u-tlia eusijatha, qui difiere en quelques points de celui que j'ai moi-mf me nommé eiispaiha. Dans un cas ou les différences étaient très
!ip¡>arentes et se représentaient à chaque floraison, j'ai désigné la plante sous le nom de " euspatha Scotliana." il est de fait qu'on ne i>eut
k la légère, donner un nom k une plante qui n'a avec d'autres que de légers points de dissemblance ; on la classe dans l'espèce la plus voisine.
L'amateur n'a pas la moindre idée du grand nombre de points de connexité observés par l'auteur. J'étais moi-même dans cette situation
11 y à vingt ou trente ans. J'éprouvais un grand plaisir à l'appartiion du La:lia Stelzneriana, du Casperiana, du Schilleriana, et d'autres,
conmie il était simple alors de les définir quand nous avions si peu de spécimens en Europe. Scd—posl epiUd'i sedet aira mra. Mais
depuis arrivèrent des sujets de comparaison et il en vient encore toujours.
Parfois des monstruosités déroutent notre jugement. Ainsi M. j. Day, cet excellent orchidophile si expérimenté, avait un jour un
Catlleya Trianoei lacera en fleurs avec ses petales bien dentelés ; pendant quelques années cette particularité persista, mais après la plante
ne donna plus que des fleurs de Triana;i ordinaire. Dernièrement le même Cattleya Triana;i lacera, importé probablement par Sander,
reparut chci M, le Maréchal de la Cour IJaron St. Paul d'lllaire, h Fischbach, en Silésie, et je prédis qu'il sera un jour un modeste
L'aire probablement si étendue des hybrides, quand on a si peu de matériaux sous la main, s'oppose i toute espèce de définition. Et
si quelqu'un pouvait embrasser cette aire d'un seul coup d'oeil la difficulté serait encore proportionnellement plus grimdc.
' H.G.Rchb.f.
Les hybrides des Cypripèdes ne sont plus des raretés, comme ils l'étaient il y a quelques années. La facilité avee laquelle la plupart
des espèces peuvent être croisé entr'elles, et le temps relativement court que met un semis à fleurir, ont crée une telle quantité d'hybrides
qu'elle surpasse le nombre des espèces d'importation. Depuis que M. Doininy obtint à Exeter, il y a vingt ans environ, le premier hybride
de Cypripède, le C. Harrisianum, d'autres se sont succédés si rapidement qu'il y en a maintenant une cinquantaine.
Beaucoup de ces hybrides de serre sont de charmantes plantes, quekjues-unes mÉme sont splendides, tandis que l'hybridation de
quelques espèces a donné des produits inférieurs aux parents et mfime ; il y en a même qui ne méritent pas une place dans nos serres. Les
croisement sans discernement peuvent produire de bons résultais ; mais, pour le
proviennent de parents dont les qualités remarquables ont servi de point de mire au
On a obtenu <le nombreux hybrides des Selenipediums de l'Amérique du Sud, :
tropiques, mais on n'a pas encore réussi i féconder par hybridation l'une des espèces à pétales allongés, <
de celles de l'Amérique du Nord, conmie le C. spectabile, avec les Selenepediu.n de l'Amérique du Sud, E
pas plus tard.
B Cypripèdes, les plus beaux hybrides sont ceux qui
IX hybridisateurs, afin de les réunir en une seule plante.
>i que des espèces i feuillages marbré de l'Est des
e le C. Sionei, ni l'une
le dit qu'on ne réussira
La plante représentée ci-contre est l'une des dernières additions îi la liste des Cypripèdes hybrides. Sa végétation robuste et sa
floraison facile la rendent remarcjuable, et la longue durée de ses fleurs en font une heureuse acquisition,
La culture de ce Cypripède est simple, comme celle de tous ceux des tropiques. De nature vigoureuse, Il demande un comjiost
substantiel ; au mélange habituel de terre fibreuse et de sphaigne on ajoutera im tiers de bonne terre grasse, dont ses racines sont friantles.
Comme ses congénères il aime l'eau en abondance pendant sa période d'activité ; aussi peut on le noyer pendant le printemps et l'été ; il est
cependant essentiel de lui donner un bon drainage, car s'il aime l'eau, l'humidité stagnante du compost ou autour du colet de la plante nuirait
par contre h sa bonne venue. La plante sera établie assea haut et surfacée avec du sphaigne vivant. On lui donnera une place bien
éclairé dans la serre de l'Inde 0« l'on tiendra le thermomètre entre 15' et .S" C. ; en été la chaleur solaire pourra le faire monter
de iS'a =5° C.
c <l'après ui in C, Coofjsnn, lîsq., Oakwood, WyUTO-on-T>'nc, Aiißlclcrrc,