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iá1:
O. crispiim, hut the profuse spotting aiul fragrance of its /lowers partake more of the character of O. gloriosum ; the
s|)ikcs arc invnriabl\- l>ninchecl .mil carry nuiiiy more flowers than ever O. crispuui does. The forms of O. I.anccans
\-ary considerably as rcgnals the size and markings of the flowers. In some the ground colour is decidedly yellow,
whilst others have pure while sepals and pctal.s. The colour of tlie markings ranges from a purplish red to a cinnamon
orcoffec brown, Indeed, some forms exhibit such great differences from the typical O. lanceans that varietal names
have been given to the most distinct. Some of lhe.se varieties show a greater resemblance to O. crispum than to
(X gloriosum, Those resembling the latter have flowers with yellow grounds and are strongly scenlctl, the spikes also are
more branched. It wouki Ix: diflicult to find two forms exactly alike, but ail are extremely pretty, it Is, however, the white
scjialed forms with large flow-ers which generally fetch the highest prices. Il can never be imported in nimibcrs and must
therefore always remain comparatively rare.
The ninnberless forms of Odontoglossum that are presumably natural hybrids between O. crispum, O. gloriosum
and O. odoratum, arc a study in them.selvcs, and if an orohidist were to make a point of collccting all the forms that have
been tlislributed in European gardens tluring the last few years he would possess not only a splendid collection but one of
immense value and interest. Such a collection would of course include all the Odontoglossa of a kindred character, such
a s O. Ruckerianum, which is supposed to be a hybrid between O. crispum and Andersonianum, O. baphicanthum between
O. cri-spum and odoratum. The hybrid Odontoglossa that would fall into this class would form a very large collcction,
for not a season pa.sses without some addition being made to it. It is a remarkable Tact that though natural hybrid
Odonti^lossa are so numerous not one has yet been raised, or at least flowered, from artificial hybridisation. On the
other hand, garden hybrids among Cypripcdia are very plentiful whilst natural hybrids are exceedingly rare, if, indeed,
any exist.
As to the culture of (). hebraicuni we must refer our readers to the treatment we have already recommended
for 0 . crispum (Plate I,). It flowers during early spring and continues in perfection for several weeks. IHower spikes
carry from ten to as many as thirt)' blooms on luxuriant and well grown plants. The mountains north of Bogota, near
Pasca, is the chief locality from whence O. hebraicum and other hybrids between O. crispum and gloriosum mostly
come, but they have reached us from other districts.
a plant in th fflj.l ic Dell, Eghaii,, >
ODONTOGLOSSUM + LANCEANS,
FLOWERS TVI'ICAI.LY
. L.VN-ct:AXi! ANDER-SONIANL-JI; flowers white «itii FI
I: angles of base of lli> »ell c.\pandcd. OJont
r [lurplc brown spots.
ght yellow on bariC of lip, very lonp toolhcc
Mr. U. Smitli, of Stirling. Odontoglossu
ih very few' scattered rcddisli spots. Krom
6. FLOWERS TYPICALLY MAUVE AND WHITE.
S RUCKEKIAXUM : very fine, with numerous brown spots on mauve at
FLOWKRS TYPICALLY YRLLOW.
5. ODONTOCI.OSÌUJI +
U'linlly with one large spot on lip and smr
I". Samler from the garden of His Grace tlie
6. OlXJNTOCI.OSSVM + I.ANCi;<\N.S
+ Itrassia Rchb, f. From Messrs. Chas. Wi
OllOSTOOLCJ^iUH + I.AXCIiAXS
sulphur, with orange at base of lip. Small
8. OtiONTOiiLOSSUJI + LANCEAXS
acuminate, column very plump. Odontogl
For my correspondence 1 use the older
flowers sulphur, almost unspotted. Odontc^lossum + baphicanthum Rchb. f.
flowers sulphur, or sulphur witli while disc, with numerous polygon or rounded dark bro"'n spots,
ncs. If the spots are linear: I.1NI;UI.U:KKUM. I. ASI'KHStJM is lingcd with light mauve; sent by Mr.
of Marlborough. Odontoglossum + hebr.iieum Rchb. f., i. lineoligerum Rchb. f., aspersuin RchK f,
itA : nearly the same, with unusually long straight sepals .nid petals and very few spots. Odontoglos.'ium
d F.Sander.
lip very broiid and toothlelted, sepals and petals very narrow. Sepals, petals and lip light
:innamon spots and lines on sepals and jwuils, and a spot on disc of lip. Odontoglossum + deltoglossum Ilchb. f.
Lt;EANUM : near No. 7. sepah and petals dark yellow with numerous brown spots, li|< spotted, narrower, far more
Lcoanuin Rchb. f. From M
fJ. C. f
i^s. Notts avons ¿[¿ obligú de cl»Bsifi¿
s, cependant, que les caractères de leur
'a peut Ct-rc
H I S T O I R E HT CULTURE.
IL nous a fallu longtemps avant d'avoir une connais-sance positive de ces curieux Odontogloi
ce que nous en avons vu alin d'en établir les caractères. Leur coloris varie énorniimcnt, m
laheile et de leur colonne.
Les horticulteurs ont loujotirs aimé à avoir dos dénominations dilïérentes pour dos plantes d'aspect distii
jamais ¿té si méticuleux dans le choix de l'objet qu'il désire. Si quelqu'un désire acquérir un O. Rucker
d'un O. hebraieum. Je suis donc convaincu qu'il fatit absolument dénommer les dllTérenies variétés ; toutefois, j'ai souvent déclaré que je
ne considère ¡sas ces plantes comme des espèces, et ce qui le prouve c'est que j'ai proposé de faire précéder leur nom d'une croix (+).
Il s'est présenter des cas, cependant, qui prouvent qu'aussi réguliers que soient ces caractères, la Nature ne les admets pas sans
exceptions. On a vu des fleurs de coloris différentes sur le mCine racème, et les teintes typiques, le blanc, le jnune et le mauve ne forment
¡»as toujours seules la couleur fuiidamciitale i souvent elles se confondent. 11 y a des Heurs jaunes k bordure blanche, et des blanches ou dc-S
jaunes lavées de mauve.
Dans l'état où en est la question nous ¡jouvons actuellement classer les Odontoglossu m s + Andcrsonlanum, + Jeimingslaniim,
+ biiphicantluim, + hebraieum, 4- lirassia, + deltoglossum, + I.ceimum, + Ruckerianum, comme étant autant de ty|>es secondaires du
type primordial l'Odontoglossu m lanceans.
Il est probable que j'aurai l'occasion dans une autre circonstance de revenir la-dessus et de donner une définition complète en
ajoutant plusieurs synonymes. Pour lu moment je ne puis que donner un aperçu de l'ensemble de la question comme je la comprends.
H. G. Ht Ai./.
Depuis la première floraison de cet Odont
cher Mr, Bull o.a le considère c e l'un des plus beaux et des plus recherchés
du genre. 11 passe pour un hybride naturel des O, crispuni
M deux csiièces dans son port, qui
est celui de l'O. crispum, et dans ses fleurs, dont le parfum et les nombreuses maculaiurcs attestent son affinité avec l'O. gloriosum. Ses
racèmes toujours ramifiés portent une plus grande quantité de lleurs que jamais O. crispum n'a donné. Les (leurs d'O. lanceans varient
beaucoup de dimension et de coloris. Les unes sont d'un jaune franc, les autres ont les ¡jétales et sépales entièrement blancs. La couleur
des taches varie du rouge pourpre au jaune brun ; enfin quelques formes sont si différentes de l'O. lanceans type qu'il a fallu donner des
noms spéciaux à celles qui s'en éloignaient le plus. 11 en esc qui tieimeiu bien plus de l'O. crispum que de l'O. odoratum ; celles qui
ressemblent à ce dernier ont des (leurs à fond jaune, elles sont très odorantes, et leurs racèmes sont ramifiés. Il serait difficile de trouver
deux plantes entièretncnt semblables, mais toutes sont jolies ; toutefois ce sont les variétés à largos fleurs blanches qui atteignent les plus
hauts prix. Comme on ne peut les importer en grand nombre elles restent comparativement rares.
Distinguer les nombreuses fornses d'Odontoglossums qu'on croit être des hybrides naturels des O. crispum, gloriosum. et odoratum
est un sujet d'étude des plus sérieux, et si un orchidophile, aiguilloné par cette passion, parvenait à réunir toutes les viiriétés qui ont vu le
jour dans les serres d'Europe pendant ces dernières années, il aurait une collcction de toute beauté, d'une valeur incalculable, et d'un intérêt
des plus puissant. Elle comprendrait naturellement tous les Odoncoglossums hybrides, comme le Ruckerianum, qu'on croit issu du crispum
et do l'Andersonianum, le baphicanthuni <|ui descend du crispum et de l'odoratum. Ces catégories d'Odontoglosstnns hybrides formeraient
une collection bien nombreuse, car il ne se passe pas de saison sans que de nouvelles additions ne s'y joignent, et malgré cela il est vraiment
curieux qu'aucun d'eux ne provienne d'hybridation artificielle. Pour les Cypripèdes c'est le contraire, alors que les hybrides artificiels sont
si nombreux ceux qui proviennent du jeu de la Nature sont bien rares, si toutefois 11 en existe.
I-e traitement de l'O. hebraicum est le même que celui de l'O. crispum, que nous avons développé dans notre première planche. Il
fleurit au commencement du printemps et rest plusieurs semaines en parfait état. Les plantes bien saines donnent des racèmes de dix
et jusqu'il trente fleuri. Les montagnes au nord de Bogota, près de Pasca, sont l'habitat naturel di: l'O. hebraicum et des autres hybrides
de l'O. crispum et du gloriosum, bien que nous en ayons reçus quelquefois tl'autres tlistricts.
Notre plane te d'ajjris ur te de la collection di >N J. I II, Egham, près W