
shape nml size. In the typical form the broad rounded petals and upper sepal arc pure wliite, \\liile the two lateral sepals
are Iialf while the lower half being copiously spotted with cinnamon red. The lip is spotted like the sepals but on a yellow
ground, Several varieties have ajipeared which differ more or less from the oi'iginal in point of colour, One of tlie first
that appeared was that known as nobilis, which has larger flovv'ers than the ty|>e, somewhat different in the shape of the
lip, less copiously sjiotted, and with a richer tint of yellow on crest of lip. There is a difference also in its foliage, which
more nearly resembles that of Schilleriana, The variety punctiitissima is very beautiful, as, in addition to the heavy
spotting of the lateral sepals and lip, the upper sepal and the petals are adorned with numerous minute purple spots on a
pure white ground. The variety called Ilriibyana is very distinct. In this form, which was first flowered by Baron
Uriiby in Bohemia, the sepals and petals are flushed with a purple tinge outside while the lip is spotted in the usual way.
Thei-e are several other varieties less distinct from the type than those above named. This Orchid comes fixim the
northern coast districts of the island of Mindanao in the Philippine group, but, like most other l'hala;nopsids, its
importation is attended with great difficullj', owing to its fragile nature.
Phala:nopsis Stiiartiana succeeds best in a warm moist atmosphere, of a temperature ranging from 65 deg. to
70 deg, F, in winter, and from 75 deg. to 85. deg. F. in summer. Basket culture is best for it, and the basket should be
suspended as near the roof as is convenient. Very little material is required in the basket, merely a small quantity of
broken potsherds and chai-coal, but the roots should be surfaced with a layer of living sphagnum moss. After the flowering
season, which usually extends throughout January, the plants should be allowed a slight rest by giving less water, though
they must never be allowed to become quite dry. When the plants commence active growth the quantity of water should
be gradually increased and the temperature may rise until the inaximum of 85 deg. is reached. Frequent waterings and
a moist atmosphere must be maintained throughout the summer, but attention should be given to the ventilation of the
house, otherwise leaf-spot, that great bane of PhaU-enopsids, will be the result. The plants as well as the house should be
driest at mid-day, and the house must be shaded, though not too heavily, from ficrce sunlight during summer. The early
morning and evening sun is bcncficial to all PhaL-cnopsis if the atmosphere in the house is moist.
Pi-cpnrcd from a |)lant in ll>c possession of l". A. PUilbrick, Esq., OWIield, Uicfclcy I'ark, Kent.
HISTOIRE HT CUl-TURE.
I,A ((«couverte d'un nouveau I'halxnopsi's, cliosc rare de nos jours, excite chaque fois l'iiuòrét ilus amntciirs d'orchiti ces. Ce genre
capricieux, bien que ele culuii-e diflicilc, est excessivement .populaire ; on peut, tlonc, se figurer l'anxiélé avec laquelle on atlcnil,iii il y a sept
ans environ l'tipanouisseraent des premières fleurs d'un Pliaixnopsis nouveau, üécoiivcrt aux iles l'hiH|)pines et fju'oii annonçait comme iin
P. Schilleriana à fleurs blanches. Le fait justifia les prévisions ; c'était une jílante channanie, digne rivale ilc toutes li.'S orchidies ä lleurs de
phalènes. On le prenait pour une forme géograjjhique du P. Schilleriana, mais le Prof, Rcichcnljach lui dÉcouvrit des caracières si
trancliis qu'il se crut autorisé ii en faire une espéce distincte, qu'il dédia i Mr. Stuart l-ow, cause première de son i m [xi natio 11, On en lit
im métl iute ment de fortes importations, c'est ainsi qu'il se répandit rapidement en Euroi«, et acluellenienl c'est l'un des Phala^nopsis les j.lus
connus. On s'aperçut bien vite que c'était une plante vigoureuse et de culture plus facile que la plupart des autrc-S Phala;nojtó¡5 à grandes
fleurs, digne rivale des P. amabilis, grundifiora, Schilleriana et Sanderiana, nos anciens favoris.
L'aspect du P, Stuartiiina ressemble tellement à celui du Schilleriana qu'il est bien difficile do les distinguer quand ils ne sont pas en
fleurs. Tous deux ont les feuilles longues et larges, poinlilltes quand elles sont jeunes, pour devenir vert foncé en vieillissant. Letirs
racines sont aplaties. Leurs fleurs naissent sur des raccmcs déliés ; elles sont du même forme et de môme dimension. Le P. Stuartiana
type a les pétales et le sépale supérieur blanc pur, tandis que les sépales latéraux ont la moitié supérieure blanche et l'inférieure fortement
mouchetée de rouge cinabre. Le labelle porte également ces mouchetures sur fond jaune. Il y a plusieurs variétés différent du type |)ar le
coloris. La variété nobilis parut l'une des premières, elle a les fleurs plus grandes que le type, son labella de forme presque semblable est tl'uii
jaune plus éclatant, ir
variété punctatissima
fleur est couvert d'une
Hruby, en Bohême, e;
l'ordinaire. 11 y a en(
s mouchetée ; le feuillage, qui tient plus de celui du Schilleriana, est également un i>eu difl'ércnt. La
It splendide ; outre les mouchetures sur le labelle et les parties inférieures des sépales latéraux, tout le restant de la
iltitude de petits points pourpre sur fond blanc do neige. La variété Hrubyaj
très distincte; elle a les pétales et les sépales lavés de i>ourpre, tandis que le labelle
re quelques variétés mais qui difièrent moins du type que celles que nous venons de cite
vient des eûtes nord de l'Ile de Mindanao, l'une des Philippines, niais, comme la plujiiirt des Pliala;no|)sis, sa na
importation très diíñcile.
Pour cultiver le P. Stuartiana avec succès il faut une serre chaude et humide, avec une température de 18° i 22" C.
24° h 50° C, en été. De petites corbeilles qu'on suspendra le ¡)lus près possible des vitres, peu de compost, quelques tesso.
charbon de bois suffiront aux racines, qu'on surfacera de sphagnum vivant. Après la floraison, qui a généralement lieu
donnera aux plantes un peu de repos en diminuant les arrosages, sans toutefois les laisser désèclicr ciitièremenc. Dès que
pousse on augmentera graduellement les arrosages, et on chauffera sans toutefois dépasser le maximum de 30° C. Pendant l'été on maintiendra
par de fréquents arrosages une atmosphère très humide, mais il ne faudra pas négliger l'aérage, sinon les plantes seraient attaquées
par le spot, cette plaie des Phatenopsis. En plein midi on ombrera légèrement la serre pour la préserver du soleil brûlant de l'été,
l'atmosphère pourra alors Otre plus sèche ; mais le soleil du matin et celui de l'après-midi sont utiles aux Phahcnopsis pour atitant
que l'air de la serre soit suffisamment humide.
Copié d'après une plante appartenant A F. A. i'hilbrick, Esq.. Oldfield, Bickley Park, Kent.
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Cette orchidée nous
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