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Lks litres ile Cauloya ;
Catti uyit Dow in na. Qudqut
HISTOIRE ET CÜLTrRE.
iificatioii spdcifique ont tlonné lic;u i uii vif c!¿b.-it. Il a, en cRct, une très grande analogie avec
!S jours avant sa mon prématurée, je reçus clo M. Pcrcivai une fleur qui, p¡ir sn teinte d'un jaune cuivrá, se
rapprochait plus do C. Dowiana qu'aucune des fiours jusqu'alors tombées sous mon obsea-ation. et qui s'en rapprochait bi.:n plus que la
llcur (le Catlleya aurea commune. Toutefois, l'orehidisle a tout intérêt de savoir distinguer ces deux Catdeyas l'un de l'autre, car il est
reconnu que la variété que représente notre planche a la culture moins capricieuse que la plante typique. H. G. RM f.
Parmi les nombreux Cattleyas ([u! habitent les forêts de l'Amériqtie des tropiques, il y en a deux qui diffèrent de tous les
nuiros, quant à la coukair. L'un fait le sujet de notre pianelle, l'autre est C, Dowiana. La distance qui séiare le domicile de ces plantes
CSI bien de seize cents kilomètres, mais il n'est guère possible de ne pas les accepter comme des formes géographiques d'une seule espèce,
et, puisque c'est C. Dowiana qui fut découvert le premier, il a un droit naturel Ji la préséance. C'est le voyageur Warscewicz qui, vers
1850, découvrit C. Dowiana à Costa Rica, mais, i»r malheur ses spécimens n'ont jamais Oeuri. On ajouta peu de foi aux descriptions qu'il
fit de ce Cattleya, mais, dix ans plus tard, M. Arce, le naturaliste, le retrouvait dans les forôts de Costa Rica. On réussit à importer des
l)la.itcs vivantes et ce fut en 1865 que l'épanouissement révélait une Orchidée dont la splendeur avait été jusqu'alors inconnue en EurojM.
Rile ful nommée C. Dowiana par M. Baieman, en l'honneur du Capitaine Dow, dont tous les naturalistes voyageant à son bord ont éprouvé
l'amabilité. Vers l'année 1872, un collecteur bien connu, Gustav Wallis, voyageant dans la province d'Antioquia, découvrit près de la ville
de l'rontino un Cattleya semblable à C, Dowiana, Après qu'il eut fleuri en Europe, ses sépales nuancés d'or et sa lèvre crayonnée
de jaune lui valurent le nom de C. aurea Quelques années après cette découverte, Butler, au service de la maison Backhouse, de York, et nos
jiroprus collectears Scbmidtchen et Hennis, trouvèrent ce même Cattleya en compagnie de C. Warscewic^ii gigas, sur les Cordillières, à
l'ouest de la Haute Madeleine, dans la Nouvelle-Grenade. La différence principale qui existe entre C. Dowiana et C- aurea se trouve dans
la couleur des lleurs. D'autre i«rt, C. Dowiana produit une bulbe moins grande et plus foncée que aurea, et celui-ci se développe avec plus
tie facilité. Les sépales de C. Dowiana sont souvent tachés de raies et de pâtés cramoisis, tandis que dans aurea ils sont jaunes. En outre,
dans atirea la lèvre est plus jaune, et dans Dowiana le fond en est cramoisi, crayonné d'un jaune d'or. La floraison de aurea est plus abondante
que celle de Dowiana. Les pseudo-bulbes ont environ un pied de hauteur, se terminant en feuilles épaisses et larges. Les épis portent
de deux à quatre (leurs, qui se développent en été et en automne.
Ces deux plantes ont la réputation de s'attarder dans leur développement et leur Horaison. Toutefois, leur culture réussira partout où
prospèi-e C, Warscewiczii gigas, et dans les mêmes conditions, La plantation la plus favorable c'est celle en corbeilles de bois remplies à
moitié de matériaux propres à l'irrigation et suspendues à la lumière, dans im endroit aéré, mais protégées contre les rayons du soleil. Le
sol -se composera de tourbe fibreuse et de sphagnum mélangés de charbon de bois. L'arrosage exige le plus grand soin ; on doit leur ménager
l'eau dans la période de repos, s'étendant k peu près du mois d'août au mois de janvier ou de février, époque oii s'annoncent de nouvelles
pousses, et oîi cc-s plantes réclament un léger surcroît de chaleur et une température plus moite. Durant les mois de février, mars et avril,
la tcmi^érature, la nuit, devrait aller de i8°àzo°C. et lorsque le soleil fait monter le thermomètre au-de.ssus, il faut entretenir une atmosphère
moiiu et faire librement circuler l'air. Après avril les plantes devront être légèrement voilées, et l'eau devra leur être insensiblement refusée.
L'éjwque de l'empotage est le mois de janvier ; et, alors, il faut avoir soin de ne point blesser les racines mères.
Dans sa patrie d'origine, C. aurea est en butte aux attaques d'un scarabée qui en détruit les racines, et c'est pour cette raison sans doute,
que les spécimens importés en sont moins grands que ceux des autres Cattleyas. Les jîlantes cultivées de aurea recèlent souvent ces insectes
qui sont importés avec les plantes, mais on en a vite raison au moyen d'une forte infusion de tabac.
l'ciiit d'api-cs une i>bnchc dans la WaJdcsdon coliection, en possession de M. le Baron Ferdinand de Rotiischild.
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BESCHREIBUNG UND KULTUR.
M,vn hat viel gestritten ob diese Cattleya aurea eine Art oder Abart sein sollte. Ein paar Tage vor seinem Ableben sendete mir noch Herr
Percival eine Bluthe der C. aurea, welche durch einen kupferrolhen Anflug sich näher an C, Dowiana anschlos,s, als irgend eine andere von
• mir vorher gesehene Blüthe. Eine gewöhnliche hellgelbe BKUhe unserer Pflanze lag bei. Es ist indessen sehr im Interesse des Käiufers zu
wissen, welche Pflanze er erlangt, indem das allgemeine Urtheil der Orchidcen Cultivateure dahin geht, dass die C. aurea viel leichter sich
ziehen lasst als die Stammform aus Costa Rica. //. G. AWii./.
Zwei der zahlreichen Cattleya Arten des tropischen Amerika weichen von allen übrigen durch gelbe Grundfarbe ab. Die eine ist die
ältere Cattleya Dowiana, die andere die hier abgebildete. Soweit ihr Vorkommen heutigen Tages bekannt ist, liegen mindestents tausend
Meilen zwischen beiden und doch ist es unthunlich, die Cattleya aurea als etwas Anderes aufzufassen, als eine geographische Porni der eben
genannten C. Dowiana. Da diese zuerst entdeckt worden, muss sie den Hauptnamen abgeben. Keine andere Cattleya ist so prächtig
gefärbt, und keine andere Orchidee besitzt solch seltsamen Einklang von verschiedenen Tönen. Cattleya Dowiana wurde zuerst in Costa
Rica von den Reisendon I. von Warsccwicz entdeckt, etwa 1850. Seine meisten Exemplare gingen verloren. Manche zweifelten an der
Schilderung der Pracht der Pflanze. Herr Arce, welche Vögel Tiir die Herren Skinner und Salvin sammelte, fand die Verlorene wieder.
1S65 blühte sie zuerst und wurde von Herrn J. Bateman zu Ehren des Capitains Dow benannt, welcher allen Naturforschern welche sein
Schifl" benutzten, als freundlicher Rathgeber zur Seite stand. Etwa 1868 fand Gustav Wallis, der bekannte Sammler, eine ähnliche Cattleya
in der Provinz Antioquia, nahe Frontino. Sie wurde Cattleya aurea benannt wegen ihrer hellgelben Scpalen und gelbgeaderten Lippe. Sie
kaim nicht als eine besondere Art angesehen werden. Butler, Sammler der Herren Backhouse & Son, von York, und unsere Sammler
Schniidtchen und Hennis trafen diese Pflanze m\t C. Warscewiczii gigas auf der Cordillera westlich von dem oberen Magdalena Flusse in
New Grenada, wo sie, wie auch C. Dowiana nur selten vorkommt. Der Hauptimterschied Beider liegt in ihrer Tarbe, C. Dowiana hat
Uberdies eine kürzere dunklere Knolle und wächst schwieriger. Ihre Blüthen zeigen oft rothe Striche und Fleckchen auf den Sepalen,
was wir bei C. aurea niemals beobachtet haben. Die Lippe dieser hat mehr Gelb, während bei C. Dowiana viel mehr Scharlach sich findet.
Die Grösse der BUithen beider ist dieselbe, indessen erscheinen dieselben bei C. aurea leichter und häufiger. Die StanMiie sind ziemlich
einen Fuss hoch und tragen breite, dicke Blätter. Die BlUthen, zwei bis vier, erscheinen im Sommer und Herbst.
Die Kultur beider Formen madit den meisten OrchideenzUchtem grosse Noth, da sie schlecht wachsen und selten blühen sollen. Wo
indessen Cattleya gigits gedeiht, da wachsen auch diese gelben Formen gut. Man pflanze sie in Körbchen, in faserigen Peat und Torfmoos,
gemischst mit Holzkohle und Scherben. Sie mUssen an einer luftigen und hellen, gegen Sonneneinduss geschützten Stelle hangen. Zur
Ruhezeit, August bis Januar oder Februar, gebe man wenig Wasser. Beginnen sie sich zu bewegen, so ist mehr Wärme und feuchtere Luft
angezeigt. Von Februar bis April bleibe die Nachttemperatur auf circa 16' R. Gehl bei Tag die Wärme höher, so sorge man für feuchte und
frische Luft. Nach April Jiaben die neuen Triebe zu reifen. Während der nächsten drei Monate sorge man ftlr leichten Schatten an hellen
Tagen, und sei sparsjmier mit dem Wasser. Zum Umpflanzen taugt die Zeit im Januar. Die alten Wurzeln mUssen dabei geschont werden.
Cattleya aurea wird in der Heimath sehr von einem Käfer befallen, der die Wurzeln zerstört. Wahrscheinlich liegt es an diesem
Feind, dass grosse Staatsexemplare nicht vorkommen. Merkwürdig genug wird C, Warscewizii gigas, welche mit dieser l'flanze vorkommt,
nicht von diesem Käfer angegriffen. Man kann diese Pflanzenfeinde durch einen sehr starken Tabacksaufguss beseitigen.
Die Tafel wurde inil Genchmipjng des Herrn Raron l'crdhiand de Rothschild gemalt nach einer l'ilanzc in der Waddcsdon Collection.