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HI STOIRE HT CÜLTURG.
Si j'ai janwis en des doutes siricux sur lafRnitc des plantes, ces doutes se soin produits ati sujet de ZygoiMtfilum Mackaii et de Z. ¡ntcrn.eilium.
Je Ii':ii jamnis ajouté foi ¡t la valeur scientifique de h surface poilue de certaines parties du kbelle. Après avoir sotimis des
Heurs ^ un examen r¿pót6. je me (^terminai à prendre note du la forme même du labdlc. Si je ne l'avais pas fait jusqu'alors, c'est que
j'en avais i i i empCch¿ par notre iii;ignus Aioello, le Dr, Linclioy lui-nifime. Cet excellent observateur venait de fusioiiner la forme h labelle
cun&irc de Sir William Hooker (voir Boi. Mag., tab. 2748, et Lodd. Bot Cab., 161.1,) et l'autre forme h labelle abrupteinent dilaté (Bot,
Rcg., 143.Í). Mais la forme lindlcyienne a généralement les lignes sur le labelle veloutées, tandis que le type hookérien aux fleurs plus
petites et dont les sépales sont plats ainsi tjue les imítales, a communément les veines à nu, bien qu'il y ait des exceptions.
De lempa en temps Z. intermedium a une tendance à revêtir une ondulation sur ses pétales et ses sépales, qui a ¿té soigneusement
reproduite (lar Mr, Moon dans notre planche. Cette espèce est indubitablement bien supérieure à Z. Mackaii, Hook. Pendant des
années on ne trouvait que Z. intermedium dans les jardins, mais dans ces deriiièrs temps la plante hookérienne se rencontre do temps en
temps. Les qualités de intermedium ont été également reconnues par le Dr. Lindley, qui dit en toutes lettres : " C'est peut-Ctrc le plus beau
''"B"'^" H.G.Rchb./.
Au fort de l'hiver, quand les llcurs, même les fleurs d'Orchidées, ne sont guère abondantes, c'est alors que sont particulièrement
appréciées les qualités de celte ancienne connaissance, de cette Orchidée favorite, dont les fieurs sont si belles et d'un si doux parfum,
¡wrtées d'une façon si élégîuite sur des pédoncules élancés, ei qui durent dans la perfection parfois pendant huit semaines. Elle est du petit
nombre de celles qui se sont introduites dans la culture générale, car on la trouve souvent en pleine croissance dans les jardins où d'autres
à peines connues, Z. intermedium est originaire du Brésil, où on le rencontre dans plusieurs provinces, mais particules
montages d'Or^n. On l'y trouve souvent, croissant sur des rochers en plein air, isolés de l'ombre des
également sur les arbres.
Orchidées
lièrement Si, Catherina
arbres, d'oh nous pouvons juger qu'il affectionne la chaleur solaire, bien qu'(
Comme Z. Mackaii, Z. intermedium est très fertile et extrêmement facile à cultiver dans la perfection. „.,.,„0 .>,
spécimens ayant de quinze il vingt pédoncule.«: portant chacun sept ou huit Heurs—spectacle des plus agréables au milieu de l'hiver. 11 exige
une mise en pot plus chaînée que celle de la plupart dos Orchidées, car c'est une plante terrestre aussi bien qu'un épiphyte. 11 croit admirablement
dans des molles de terre glaise, pourvu qu'une libre et régulière irrigation soit assurée. Comme il a les racines fortes, il faut le
rempoter chaque année, le moment propice étant l'époque qui suit de près la fin de la floraison. Los nouvelles pousses se déclarent simultanément
avec les pédoncules, entre décembre et janvier. C'est alors qu'il exige abondance d'eau et une température variant de ¡5° h 20° C.
Cl une atmosphère humide. Il continue h développer ses pseudo-bulbes durant l'été, et quand celles-ci sont pleinement développées on
doit faire reposer la plante en la mettant dans une serre fraîche et aérée, et en la tenant plus sèche. La période de repos est comixirativement
courte, comme les bulbes exigent plus de temps pour arriver à maturité dans ce pays qu'au Brésil, oîi cette période se prolonge
l'cint tl'iiiiris une plante di .M. Ch. Dormán, The Firs, Lawric Pack, Sydenham, Londres.
B E SCHRCI BUNG UND KULTUR.
WuNN ich jemals grosse Zweifel in der Verwandtschaft von Pnanren gehabt habe, so war dieses mit Z. Mackaii und 2. intermedium der
Fall. Ich habe niemals an den Werth der Behaarung gewisser Theile der Lippe als an einen werthvollen Charakter geglaubt Nachdem ich
mehr und mehr Manzen sah, dachte ich daran die Form der Lippe iu beobachten. Ich war durch unsern grossen Apollo, Dr. Lindley, abgehallen,
diess schon vorher zu lluin. Dieser scharfc Beobachter hatte vor Kurrem die keilförmig gelippte Form von Sir William (jener Zeil
Professor) Hooker (s. Bot Mag., t. 2748, und Lodd, Bot. Cab., 1614) mit der anderen j.lot^lich verbreiterten Form (Bot. Reg,, 14.33)
.usanimcngcrogen. Nun hat in der That Lindleys ausgebreitete Form ihre Linien auf der Lippe fiir gewöhnlich sammtartig, wogegen
Hookers fypus mit der stumpfen Lippe und kleineren BlUthen, Hachen Sepalen und Fetalen die Adern für gewöhnlich nacket hat; doch
giebt CS Ausnahmen.
Z, intermedium pfiegt seine Tepalen und Sepalen wellig 2u biegen, was von Herrn Moon in dem Gemälde gut dargestellt ist. Unsere
Art sieht enlschieden höher als Z. Mackaii, Hook. Jahre hindurch fand man nur 2. intermedium in den Garten, doch in letzterer Zeit
ist auch Hookers Zygopelalum hier und dort aufgetaucht Der Werth von Z. intermedium ist audi von Dr. Lindley erkannt, der ausdrücklieh
bemerkte, dass es vielleicht die schönste Art der Gattung sie. - //, jfcU, f .
Mitten im Winter, wenn es nicht viele Orchidgcnbllithen giebt, weiss man den Werth dieser altbeliebteii PHiin^ce zu schatten, ihre
BlUthen smd schiin und wohlriechend, stehen an langen Stielen und hallen sich acht Wochen lang prächtig frisch. Es ist eine jener
wenigen Orchideen, welclie allgemein gezogen werden, denn sie gedeiht in GHrten, wo andere Orchideen fast unbekannt sind. Es stammt
aus Brasilien, wo es in verschiedenen Frovinzen, besonders aber in St. Caiherina und im Orgelgebirge vorkommt. Dort findet man es oft an
freien Felsen, fern vom Schatten der Bäume, woraus wir schliessen können, dass es die Sonne liebt; doch wird es auch an Baumen gefunden,
Z. mtermedium ist wie Z. Mackaii willig wachsend und ausserordentlich leicht zu kultiviren. Wir liaben gesehen, dass eine Kultur
pflanze filnfudin bis zwanzig Blüthenstiele trug. Jeder hatte sieben oder acht BlUlhen. Wahrlich, ein herrlicher Anblick mitten im
Winter I Man gebe eine schwere Erdmischung, da es ebensogut terrestrisch wie epiphytisch vorkommt. Es wird in brockelichem
vorausgesetzt dass der Topf guten Abzug hat. Da das Wurzeivermögen der Fnanze siark ist, so muss sie juhrlich verpflanzt
ausgeblüht hat. Der Trieb beginnt mit der Entwickelung des Bliithensticles,:e Zeit dafilr ist, sobald si wischen December
und Januar, Dann will sie Übernuss an Wasser haben und eine Temperatur v
entwickelt ihre Pscudobulbcn im Sommer, und sobald sie ausgewachsen sind, sollte m.
und trockener halten. Die Ruheperiode ist verhältnissniässig lang, da tlie Bulben ii
Brasilien, wo die Ruhezeit nur einige Monate dauert
'S"—20° C, zusammen mit feuchtwarmcr Luft.
: Pflanze in ein kuhleres Haus zur Ruhe bringen
:rein Lande mehr Zeit zur Reife verlangen als in
ze im Besitz « iCh, U an, E»]., Tim Firs, Lawric Park, Sydenham, gomaÍL