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ijjj« plus.fortes'places de la f rov nce. du Roussillon ; la ville b * éloit
e ît'êgfàé de h au Les murailles, avec dés tours iroédes placées cle distant- e eu'-âisitançe.; les
fo illf ip ü t e , d é :j i ville haute étoieàt plus régulières -, felle:.avoil des reiçipaÿls" des-fossés,
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ont été dé irai tes par’1 e Vfli I Jtir ( fre siége s’ que cette ville a soutenus, et sm-lout par ceux1
de t a 85 par Pl1111ppe.-1 e.Hardi-, de 1 4 7 4 : sous Louis’X I , et d e . 1 6 4 1 par le prince de
Gondé’;, siins.LoiiisçXI 11-gîSy
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époque déléùr ti ans latiônàPerj ligna n. L ’é:g]ise;CUlhédrale, bàtié di’idiorcl dans la ville tessé ,
ÉSertlibi'ï 1 I 1 (i!ifduîüVjj"\fi<Jtî?r s iiTil(^ ÿfi^^ ^ S|s^Sj^^ a^E@ p,u.'l-(\(qui *1
en présence: d u comte Gausbt il dé trait t | w les incursions ' I ’ lui li.iÿ?lniéo
dans la ville haute, au comme m ( nV 11 *91? t Ifjlïp'p-'lly que Bérenger : c’est
unassez b e l édifice dont nous parlerons dans le Clîflgjtre suivant. Le'Clergé de celle; églisè
« nf*c ruîi<wWilï*R.uil 1 KîTiji 1 Mf»h t ’< liom il a conserve
Chapitredi la Cathédrale dont nous parlerons ailleurs, à la différence que la fourrure est
noire et 1< lisefage. violet. E ln t a encore une autre .églisÆdàns la ville basse, sous l’invo-
1 if ion de S: J teques un couvent de C epucins ,< I un hôpital pour, l'es pauvres, malades.
L a translation du Chapilre de 11 Cathédrale à;f.<
njinfÿl’e&tjt^vulît»,^ h lf^m * 7 yvlCn( em^ ra lvwi'^ÇïSmm^ pp Jjtnf n iijM^Mlwiîo^dy»,
masures et des raines, qui excitent d lutant plus de regrets, epi’il est difficile de trouver
une: sittâfeln plus belle. 'Les vues dê=s;es rempart sont tri s-pittoresque on voit de louas-
côtés la plaine du Roussillon, une partie de celle du Vâllespîr, les villes et villages demi
elles: sont couvert es ; é t dans'ïëloigiiernenL lés telle s montagnes de I Alliera., où l’on ap-
perêoit quelques-unes des toürs3construites autrefois poui arrêter le s me ursions dès Sa-rra-
sins , el qui ont se rvi pour place r des signaux dans nos guerres avec l'Espagne'(Pl .XVIII).
■ • GÀN'E I . Canelum, clref-liëü de la r ie omté de ce nom , v ille , et aatrefs^jiiliaee. forte,
située au bord de la me r, à une lieue et demie E de Perpignan ; elle a été riche et très-
peuple 1 elle e toit t nvironne e de s ilinés, dont le pi è.duit iaisoit toute la fortune de beau-
coup de particuliers ; et qui p a r le , commerce du s e l . très-.Considérable eL lucratif, y
avoient attiré un très grand nombre d’babil ins mais t’éi iblissenu nt des gabelles en Rous-
iiSilfôn , e n déti ois ml c e c pmmerçe ? a 1 uiné lie auc oup de p irlic uliers e t 1 de peuplé il eÆgl
't lUv / ( '(@ 1 eL( ;ùj usŸdqjenn el 11 m e|inui U ' de lU in e s^ ^ s ffô p r illiS u e j^ i^ te n^efejsÇ'Çe
détruites iprès le siège quelïeesBÙ'fint au mois de juin 16 4 1 contre l’armée Françoise,;
plie. a.une église sous l’invocation de S. Jacques, umiéliaiseâfiâ qui ton be en ruine, et un
bureau de traites-foraines. L e siégé de cette ville , en 14 7 4 , par l’armée, de Louis X I ,
est-ràémUrablê par la belle défense de la Vicomtesse de ( an e t, qui lit v^i|^m|i|furage,
beaucoup aü dessus de la foiblesse de son sexe ; secondée par les seuls habitans, elle:se'
■ porlà;par-toùt , présida àitoüs.'lëssconseils, dirigea tous les travaux, fut toujours, à la tête
de.s kàssiëgés; dans les endroits les plus dangereux,, les anima par.son exemple., et .eut
enfin l’honneUr de faire lever le siège. ■
V ern et ; V ernelum , baronie suivant lés uns, duché suivaut-Ies autres nue
vijïe ‘ét çhâtéaôi^êâris une situation très - agréable, au milieu d’une campagne fertile ,et