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prp»fjsg?s4 ee'.ateait 11 moyen de cosgirôirs aisément et Saisis iwia sta iitile s productions
Jarçfeaçte»e d’^ t » ,<te(|ide forwer leasijjtfe un tableau gé&ta^'dg l’HisitoiiéWria'ÇureJle de
J iM al-d J .< qJ-<--^m ÉU<o \| t> jÜ'jJ^jjUne G^gHSÿiua'utfi GjOTttrgiensrot
. ùfl|? d’Àppîbififflsress js s js ^ ^ sont que des-^tmpjes Ju sm d ft s ;,!^ EjÉsres emJljjjpugie
m m dsg|^68 '5^ol|s d’AmtpjCBjes .et de 'Gluiqigite, d e la q ^ f g d ç ,
en Pharmacie trouvent upejfessanrt& Ha®.^ J'é ffibJjaSiprpfy.it. g.10Vin u^apt
kdc tîynp/J u+u Chpw< ,_e£.d’yji G o # s d e -Chimie*, ',
»3L ^ j » ” e Peut l'étude des Scie u sé s, quaprès aqou: jijis l f s^repuçm^él^jjjens
% ', Is-^niigHe ^ Latine j T|Tr)j^er^j d e Pô*pgn^hjçu$', J e s sou unstjjutiQii-.d^ Écoles
d§d| t ifp ^ ^ s ie L d u s ^ro&jL&euj^poiif'Ja Rhétorique, le§+Hui^ ji,4s etJe./.jiyumjairoj
•e lle en fut dépotuiiMd‘vé,rs^e ^tijlieu d^jsièele dernier» paplnàutpittièjisn'çlgs Jésuüi^^plle
eiiyv iva-t tpt n'1 ml 11 p in miritnu | t ja jiuiylnjion <J<j;f 1 *.« 1 tfjj 1 s-t aol,! - j | j 3' Jftt'dj'-*'«-
j^iiioM dtj^tj a ^ g ii>-K iw jÿ j l .« 'feii Rhétorique et de
soqt »oilh '-.^diif rlion,iîtiJea’Jÿwttpau>L,Prob''-ef»‘uivCI Reg( n,, U^a rmmRWtij-m.
’G ^ tEccj^Çsopt tenues daçs u n ^C ^ ég iî^p u^ -^qu Sî-l e de’£<iÿ&-
L au ren t, composé dun Principal , d’un § &□ s -Rrincipal, d’un Professeur de Rhélorique,
dun Professeur d Humanités et de .quatre. Régens -goui la troisième-, la quatrième, la t uj-
qint me ( t la sixième I ouït 5 les ville s < 1 plusieurs boni g-, de la province put des I cotes
particulières, où l’pn enseigne des élémçns dfidâ j^ngnkjLatifl'f^; et dont Tes Régens sont
à la nomination des jQfli.cfers municipaux.
La ville de^Perpig*an, a encore des petites ÿçpjies .publiques., déclinées à apprendre à,
b re et à écrire aux eu faits du peuple ; on y donne aussi une 'teinture des premiers élémens
de la langue f .aline, pour disposer les (‘riOins à. êlre-reçus dans les basses classes du Collège.
Ces p etj^s Éèojes sont Très multipliées dans la province'; il y en a dans toutes les
villes etc bourgs, et dans beaucoup, de villages, • . -
Il y a , à Perpignan, un autre College, appété de P i, du n o m f jT j J » 1 1 mais
il n’est poiptdç plein exérCicé»» ce n’est qu’un Pensionnai: sans écoles ; il est dirigé par un
Principal et un Sous Principal; il y a quatre plac.es;franchês,:q:ui,.ëquiiya'lént à ce qu’on
appelle Bourses dans le reste du Royaume ; elles sont à la nomination <1< M. le Marquis
d ’Onis; comme représentant lesjiéritiers du fondateur ,
Nous ne saurions finir ce -qui concerne l’éducation publique;,; .sans I 11. , " 1 ié un
établissement particulier ^ à Perpignan en 1 7 5 1 ; g e s f jmë ÉçèTdM iTilawe, où douze
Gentilshommes de la province reçoivent une instruction gratuité et relative au métier
désarmes qu’ils se proposent de suivre. Ils y apprennent le D e s s in la . Tactique , les Mathématiques
, 1a Danse-, J e Maniement des armes e t l’Eqûilation ; ils. ont dans cette Ecole
des Maîtres pour tons ces, objets. Nous en avons déjà donné ^description
A 3 p ..
Hommes illustres d y , Roussillon.
L Histoire littéraire de la province du Roussillon doit êlre suivie d’une Notice des personnages
quelle a produits et qui se sont distingués.,dans les Sciences, la Littérature et
les Arts ; -nous croyons devoir faire connoître en même tems quelques-uns des Guerriers
de çettg province, dont le courage et les exploits ont transmis le nom à la postérité ;
nous rapporterons à cette classe ceux qui ont mérité une distinction particulière -par des
traits d'héroj'sm.e d’un autre, genre.
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ceLte occasion, lui suscita des ennemis; un des plus animés, fut Salomon, ‘Comte ou
( ouverfieur de la Cerdagnt , qui fit naître dans 1 esjnit do ce Prince de s soupçons sui 11
fid nu *s,lb*.fi®Jnf^(:jHàjies^fe>jl&),ïr^ïît floTil hSlMWHiflibAiîou^^gf^EBËSsSri 1 îî^ J v !
Marche dEspagne, 1 attira sous diffi rens1 prétextés; hors c! 11 | ays qu’il gom i i.h'iT
l-OI<b ,rl<^-tux4 .,|,|ÿ>l.i. M f f l 1 ÿi1!1 aMîâ
p 'n T f.* ! ^llb‘-tï’î5! ^ :^fkJ‘opMmi d t ^ l ^ X t |îy"*ln r ^ i f t i j l l u ’l j
P u i w ^ t 3S ^ P ^ ^ r a ^ ï f i i f r R n ,^ ' quT^i
^ - ^ <0“ 1 - 1 V < *■ D*tnijhs |>!ib Tiff,
l’Europe ; nous avons déjà donné un tableau df sa géné ilogie. \
R i ^ i‘ i!|ii"f 1 l’e ^ f <■ r ! , p îm ^ ^ îtjyK î'd w 1 il?,) 1
Egfiûm ’-‘-i . IM u c li Jki H.tÇd\W $sfr/‘ ‘U'iïàrtofüJ, ( amrÿjcIc ilieb t1 T'A'JlicçcilffiuVoiSLji <'V- ■Jî\
m u ilif/dn O Qlauit lit d, •( r tlt 1 tjjtjst j l f f i i o i d » I
mince- <lii règne d:e Philippe, Roi dë:;S àn c e ( 1 o c;Sr);::H . ’( loir'déjà distingue J’annéi pj -
cédchU au siège d’Huesca. A peine futril tranquille p o s se sseu r«k^ So ?W i? r'^ i'’ l ^ ^ î î î
p,c ml'lr¥pî<'ii\î^,^jr. ‘drXy ^ 'éiviWrjmn’jn8.,'iJJ,f j-<Jum^,i 1 ->> V p 5 itrT
à la Terfë-Sainte .en 1 0 9 7 ; il n y 1 est a pas long-téins mai il y retourna en 1 1 0 2 , après *
. avoir,'iUsti'tué son- héritier et successeur .S e rh a id 'Giïiïïqumi son fiière ; il y fit paraître
beau oup df bravoure, se trouva au siégé, d àntioch.é, et siélà-nj trop !
ch; K u tl r **o( Iti^ ô ^ v il v fui lin ti’l f f i ® i l j r a ■
Gérard ou GuinâRD, naquit à Perpignan de Gilabert, Comte de Roussillon, et de
fta ( ^te-^f liUmneitt, m mv c J tm tir^là’nffjftdbriùf
Kc-j^roitriclf’i;,-CiP^anh entrarié par IWlbru nt eïfetdiflt pu 17^^Æ)U'«riiJ*cir j j 1
à la Terre-Sainte vers la fi®, de l’ân 10 9 6 sous les enseigne s
K èm t e â e J e pluêièùrs Seignéffl^ f e u ^ ill >iwrôi<,\ tut-H
tlçiiiniè' dè Cünei ; il se trouva en 10 9 7 au siégé; de Nicéf ' et. 1 fW Ç t r ÿ S s i è g e cl. à 11%
prise d’Antioche ; il se distingua sur-tout a Jt; J << i - 1^ ri îSe f ^ * f f ? - '
juiiî Crsre&p remportèrent la viiS^Mi-Sur^ufti ' J t o m ^ E R ^ ^ 'î î i i ix .
K 'ro ré ^ 'fe ^ ^ q g -A aA , G è ^ r a l du%oi dièlftrseb, Jepg/feru! < cmîtii^ id iiite iûnJTfin^p îÇ^B
il'armee dèstGroncs ,El se trouvâtV n-,urte 1 su g'Ôjffffijr tu JJé in
'■ cette ville , -et fui un des premiers qui v entrèrent -à la uilc de G c i fro i de Bouillon.
..Couvert de g loire, il revint dans ses-Etats . où le bruit de ses 'exploits l’avoit devancé;
il ‘succéda alors à son-père.'-, mais l’inquiétude enthousiaste, assez ordincfiïSàiàis son sii 1 IV,
e't l^ .d e siÿ j’âcqüé’rif encore d e la g lo if ^ ü î f iî lr a ÎM ÎW in s ^ b f f i f e y a g ^ r a ^ ^ S ’ë-Sitipte,