K * )
fïâd&ftefjttelhif il p â tle - -aô1Paf pigftstï ttsSime• df une, villa q uiluirétpitchjèro'ltat' la fertilité
stë,fftaÿiyn tl( s ‘viwiïîwtjifsllê avéït îlsfondja jthÿîs^^ïtq.yifl^jprje
t tuf?iifté’ . Ldfapo^ée di.s qfiàïft* Taf ailes ] e.PapiftC l^u iM jt I joignit* ion. au toute a «.(JIl?
M8;'s^pr%éâir] ; fl tîérfiT&ia MrStstîtS® d-eteettè-’Urriltèfaïtéi p ar'sa BullnAk* 4 désalfalendeis
^BSretâSmOTëM« la* fffièiiîë/afféjée ,^pteHfoit d’y enseigner to u tes "lsi-f R â t e l é s , à l’exception
•dife’da TW 'f1 NïetîJljV*], tffi -denses sucGess«Mrs > permit ^ y -Ou^iÿ^fesyaîqQlÉ?)de
,,eCTteiJFÀéiH1îé ;,, |)a*i‘ Sa'BtflJfe^tMR&Sttaèsdtalendes jsfjsj.&fe 1.447.
Nous ne suivrons point les diverses révolutions-qùe cette Gornfiagnie a éprouvées, lés
AÿÿgÿdsJumBiHjfit dé&’ïeÿS ^remferS'l8nt)nt&fl.,6i*d6ts®n>jérecm^ . son état' Eoippjint déds-âes
éfi^ur.-, lii éél.ëh_r®ë d'à Ses Prbféssàuts, la muhitude'd’feiid-iSfflsjqÿiÿujèqieiat
• ses E co le s , ter occasions importantes Où elle s’est montrée d’une manière distinguée., le
■ fipid.#]i$8le éyènetnètis les tplus remarquables* de la province duiRouss-il-*
Ion, lèspreùves qu’elle ,a données dans beaucoup de circ.ëlfe&Gesiïde son |imour p@|iqfi
ses Souverains, son zèle pour lés science s , qw-inéSpii â pas permis d’i&teptôB^ejiises
èxèi esc e s , malgré les I1011 eui s dés diflérr ns-.sieges que la ville de Perpignan a Soutenus.
Noirs passerons tout dé §|u|e à sa ..décadence , occasionnée par une foule dé cifeoàastances
f â licüses ; <|ui ont été la suite inévitable des guerres dont le Roussillon a été le t&feâke.
* La ruine des bâtmiéns', là peifi des revenus, laiidiïs^wsibn des Écoliers ay-oient jièitéi
tous les'Ordres de l’Univ;êisitf dans un ftr t d( lângüeui ,p>èu propreà-, entre tenir ïé tS a l
lation nécessaire aux progrès des sciences Ses Ecoles dispersées, 1 rou vo i e ut ùtip eide: un
àsyle à l’Hôtel-de-Ville 1 1 dans qilf lqln S Monastère a ; ses Professeurs, n’àyan t pour toute
récompense que la gloire d’ë l | utile Syétoit nt Et diiits 1 Lf t état d’ind'igérice qui refroidit lé-
zèle , de e e> 11 rage: l’esprit e t détruit l'émulation ; les lee 011s , souvé 1 ît interrompues-, n efouf-
Wmssbiènf qu’unernstfüétiOn.imparl üte. Tel étoitl’état de' dépéiissement dumeipoîhpagnie
autrefois;Célèbreet qui jtouchoit au moment de-sa décadence totale , lorsqu’elle reçut,
eu 1 7 2 3 ; de I ouis le Bien Aimé une preuve de son amour pour -sesipeùples les bien-
faits de ce Prince parurent la ranimer ; mais ils. étdiéul encore trop bonic:s||ÿur lui rendre:
son ancienne splendeur. .,
Il étoit réservé à un .'Seigneur, dont le nom chéri depuis, hmg-ieins dans la province
du itfeü'ssillein, et grave dans les coeurs des habituas, se transmettra .jusqu'à lent, postérité
la plus Spltüfëf, dé ranime] cet te Compagnie lan guis san te e t de. lui donner une consistance
à J’abri des injures des tems M le Mcm e fia i de Æ a /lles,- qui , en succédant à Ses
ancêtres dans le; Gimvëthemfent du Rîôüssillon, û succédé aux droits qu’il^Q jien t acquis
sur l’amour des peuples!de cette province, a accueilli et poriè-aut pieds du Trône les ■
voeux de l’Üriiversité * il a été secondé par M. le M avécîmbdt M aitiy, Commandant dé
cette province, également occupé du bonheur des peuples-soumis à ses ordres. Cesdeux
Seigneurs ont procuré à l’Université les influences salutaires de la bienfaisance d< I ouis
Je Bien-Aimé et de son auguste Successeur ; ils lui opÇbbténu des dons considérables
des revenus multipliés, des établissemens dans tous les genres, des réglemens sa<*es et
étendus, la confirmation de tous ses; privilèges. ÇèUe'Gompagme leur dcntîftne augmen*
talion de deux Professeurs- en Médecine ; un Jardin de plantes , un Jfc^giîilfeàlre el m
Cours d’Anatomie, un Cabinet et un Cours de Physique expérimentale, un Cabinet et
un Cours d’Hisloire naturelle,-et une Bibliothèque publique. Elle leur doit encore’ un bâtiment
aussi beau que commode, dont la magnificence répond à la munificence de son
resfaürâtéUr.
:. Cette Université est composée des quatre Facultés de Th éolo g ie , de Droit ; de Mé^
decine et des Arts. Elle admet indistinctement dans son régime les Professeurs et les Docteurs
; mais les premiers ont toujours la préséance, et le plus: ancien d’entre eux dans
chaque Faculté, en -est lé Doyen perpétuel.’ Les assemblées sont composées- dé trente-six
vo c au x ,n eu f de'-dhaqtte Faculté, élus tons les ans à là fin de.l’an n é ® ; i
EU® a un Chancelier, qui est tiommé par le R o i, dont lès fonctions se réduisent à
l^pcsvoir i^ s ’nïtuentSjUHReèfeUT ? ètijàsc^faferer lefcWgre de-,D,bé{eii#p). IliB'ége alaÿs h là
■ K p jlr du Recte * • dans tous les 0U'i 1 c a s , il n’a ni pre i mÆf’inttiik:1 Oiiiniàffeijàfeiftÿ#
dans les assemblées, et il n’a jamais ni aucune jurisdiction sur les Membre^^Hptobôta
de cette Compagnie, ni au< une influence dans ta police dès Ecoles ; il est même oblige
de se rendre à jjWhïvefskéi dans les deux seules occasions où il peut y siéger. En cas de
Mort du Chanc.eiie'Ei fe Recteur remplit‘ses fondions jusqu’au moment do 1 inst illation
remplie depuis quelque tems par l’Evêque d e ^ ^ ig i ia i^
tuiVl une ë téMotoeééle plus
<;sj3uâ®l par .dies Cfc^BfilèsflGpSla'^iÉl|éids:alé /dM ^oe is tra ls / a j^OE K e s sik^làs^Dpsoteuà
B^yiJrii-y^sitéjt^fflpfêideé-^ar unfi^ëàti‘d*qu<q|14é^ira~CQiMlê'sBàns, ot î|ini«ii ilu ^ - î J -
ternativement parmi les Professeurs' des. quatre 1 aculti s 1 t parmi le s Dot leur; \ n bheafj
U,Ogie:iien Droifa'nfiidn fM^da^iàe. ; U'bfflniMa-o n n e. -1 e TI fr’rLd .. il >* .'^i
assemblées de fUniversité et des Facultés, aux disputes des chaires , aux thèses, à tous
les lutres tetes ic idémiques, el 3 e xerce la jurisdiction ; il a la.policeino-vl‘ i 'MffWnbofin-’
th u île d i^ie de $B t. lieljei il nojiimedi \ icV-'lkiJ»lf.-MLi'' rlt,-.f I h ulk --lijteÜîluV'l 'î f f
de Droit et des Arts, pendant la vacance des c haires (a). Il a la voix de prépondérance
en cas de parité d< suffrages dans les assemble :s rle l’üniversitié et..dans les Concours
pour les disputes des chàtÉes ; il 1 st'le prémié c ; J ug< de > .c e flw ^ ^B n s entre les Profes-
seurs. les Docteurs , les Ecoliers et autres Suppôts de l’Université, el I *"
i-éu pin l'.i i -j as cça d)te-, e l e . | t n ' r v t ^ E j ’* ruaUfH;
criminelle , il est le pi ;mier luge d s crimes commis; par toutes personnes , de quelque
te L telitipnjq]ite v'-i ‘-oput,!dnus.''ljens®nte^e l’Uui'iesrrinaewîjil^friolisdi soifljjgnihri-j
est porte directement au Conseil Souverain du Roussillon tm
K helgièi e le u3Kiit1 ir,,vTpplre*e.ii c> elilisetice oij^errq ce In n nli » i’jm
te nun. ' e nV-a *f'î 1 \irt/eluffi e fe u ,flfDl()ejvi*Brlîi IrM'TÎurrïkl i Æljo-t^M 1 1 4lri
-plitM I^^W^^&^^Mjffléit&rpielteii-ijniiirs la ÿi* mière place dans tous les ae le.-, littéraires,
LlailCgel^i^mtJaule&®.ele.iiièi>i jiiil(M.ibl^rOTEV^8fel^lS6'-(&N\ uim île l't • I n't. V
èsur fàqrfellg■ iliy ntU-UCgolptihMf.é^inomme une marque de jansdspUon.,Il ne marche'j'M&s
qntHjïlIaiUJuîd^ sa Compagnie ou des JeiciiJt-et-^ < u s>cc^ÿi||ieegjrut,,d 1 jj^&e.W^lo'dqi'UR
Facultés , e t précédé des M issie rs de fUnive ÇSite ; il < toit pre cédé autrefofepjfes jours eh
euH»meMSii®?<h Ahi-Rle)iV^fJiiiè.o| îompeite s.i.'iorii JraLw rnl^ UrtT( m SaTr C h ‘ n
^&t> un^ ^&^ ted e satm noir, d’enviiOTAmttpOnces ele la ^ ^ tq ii!jJ||)a^^foKrae,ie sa-te©|'
et qui tombe de chaque .côté sur le devant jusqu’aux pieds ( Planche XX VII1 ) ; c’est
jjfi iifSWffldri 1 eirfeh 11 des R( ge HSjoJïfP'MtniejssiBrësielf'ris'.deÿ'-fjeifïi^ouvsraines de/laipatalogne
et de l’Espagne.
LaFacullc de Théologie a quatre Professeurs -dont unfefl^^ffl^S’^^h.-^flo^dfp'ositiW,
^liAologS^'Vkholasbqirà'i f moi wîÿ^gytil^tiiul ‘‘mii. I ■?
&uàaw.®rodéâpo!ris pqnbwu^fdans. ^ ®ifclarah6jà.v.dtuii'G|tei^ de fjràpce .h. J ' 1 J <
cien d’entre eux, et le Professeut de Tht ologie po. itive , sont Chanoines de k^WhïftlfSi'le
gis'Rsijpignàn-, iç.pHve,rtUin w u h io n nui -a a
L a Faculsé d'e Droit a- cinq Professeurs , un pour le Droit ( inoéi |ti.(iM m \ifcitnÆijialx
Droit C iv il, et un ;J
•La Faculté de Médnfc’iné s.' si^fhofesseurs , tn ^ gK îü r la Mo^le cuit thee jivj n Yofq^ it
l'que^ifun poui la Botam^lté'i un’poui laAChimin, rttun poui I Airilf> Su t' Ha 1 JîyîîifJ5J^f3;
âçelmsSSjMoinne feu» les ans’ dan&;<Mij|ptehéâ®ié un ÆtiuT dtssnfu n i® 5»®! <411 ituuis de
tehirurgie etidjaücouchemensÿi^ axtU!Csdjanun‘j3véfeDnStrateur,^j^!;nï!pjtP. dans^®PR*f)'lc.i,
aâjaa Traite de •'Chtrurgte en lang®ië‘!^ ® fe o ts e Leijdius|ianta^|d,enifr^^u!xsé s ^ S ) to Medtb
ÔHB On ne confère dans cette Université, le degré; de ^iqencié dans aucune Faculté.
L a Facutté de Médecine nomme ses Vice-Professeurs.