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 iraijjsjjg^JSM^nAi ojI.liss^fM'tgS'ët.dans les pi i mu i s u  ms de celte dé s Uj*g®m]KMiSoe  r S i  j   
 iMPljaBlfgillÆffilr- MTTK)iqjy]^rAr.'K(in :  ïlïï -jiagne  r i  tit,        rflyK^jral la  mi  duj'iç|]|? 
 1  Ttu ^ ^jij^Jc l/ jy'C.yflitrç.uj*tC- '’f f iM w 
 ^oiMJs-<h s^I'idnaw-a 1 
 I  I  ( 111 pei eur  Constant  -oi si ème?( i lgjMfë  Cons tan ti n ,  fut  asssassiné  à Eine ,  eÄt$Ss;£  
 par  la  faction de Magnence, et inhumt  dans cette  ville ;  on  a conservé avec soin  pendanl  
 long-tems  sijfffom be  lu ,  et oh l’avpil place  dans ledôîtrc  de l’église bâtie postérieurement  
 dans  la ville  haute  :  il  idoit1 quairé", de marbre  blanc,  Cannelé'pair  oedés..,,'ei porti)il  sur  
 sa  lacé  antérieure  le  monogrànime  de  Constantin.  Ce  tombeau  àiëté  cléfrùi-t  depuis  eu-  
 virpnfftènfl  ans  ;  oiïfiÇéh a conservé  q;w fe le m o no gramm^S] u i  est p la que  contre  le mur  
 dans  le  cloMïêidèreelte  église. 
 II.  L e s .Bains des Escaldas,  dans la Cerdagne François®',  lurent construits, sousle  règne  
 de  1 empereur Auguste ;  ils  Jure ni  destinés  à  l’usage  d’une  ville  que  ce  prince  ai||ip?d'ait  
 bâtir  dans  tin  lieu peu  éloigné,  en  l’honneur  de  l’impt ratric*  I  ivie  s ôq‘. épouse,  et dont  
 il  avôit  fait  une  colonie. Romaint  ;  cetIe  vi(le ,  qui  subsiste  eiicon  ,  est  appelée  L iv ia ,  
 du  nom  de  cétte  princesse ;  elle  est  dans  là  C e r cl a gneEsp agnelle.  On  ne  voit  presque  
 rien  aujourd’hui  <1  ins  ces  Bains  qui  annonce  la  magnificence  des  Romains ;  la  voûte  en  
 fstSR  h ihm .&d?s muraille -, 
 dedarolannTl» jffijî|tb7rS(»n8^ ^ ^ np ^ ^iri  d 
 •pieds six  polices  de  largeur,  et trois pieds'de profondeur, pavé de pierresjÉe-,taille,  dont  
 l’énorme  volume  et  la  régul irité  peuvent  annoncer  l’ouvrage  des  Romains  ;  elles  sont  
 soutenues  M i jm r .( harpt nlt  ,  <n ù<K^ ^ lA ^ m i i   Ji I  B   .111  mi  iffi» 
 1l ia f i5 ? ^ « g iii's ’?t<,7V(l  y r i*i>>cTiîihI;îh l jA n i t rT C m 
 par  trois marches  de marbre  blanc,  de  quinze pouces de  profondeur,  qiui régnent sur les  
 quatre  faces  du bassin ;  on  /oit aussilès vestiges d’une  belle  étuve,  qui  est détruite a  C’est  
 tout ce  qüi  reste  de cet  nu i< n  édifie e ,  qui  aurait été  réparé,  sans  les  difficultés  qu’on a  
 éprouvées  de  la ( pai t  des habitans  des  environs. 
 III.  Les Bains  d Arles ,  construits  au  pied d e la montagne , sur laquelle on  a b;iti,  dans  
 le  siècle  dernier,  le Fort-des-Bai.ns ,  sont  regardés. par  les uns ,  comme un ouvrage  des  
 Romains ,  par. les  autres,  comme  un  ancie n  temple  consacré  à I liane  par les peuples des  
 environs ;  on ne trouve  ni  inscriptions,  ni  monumens  particuliers  qui  puissent favoriser  
 aucune  de ces deux opinions.  I  a première  n’est fondée  que  sur  l’usage  fréquent des  bains  
 èfiez les Romains,  et  sur l’attention  qu’ils avoienl  porté  à  s en  procurer dans pWsié ®s endroits  
 de la Gaule Nai bonnoise dans le tems qu’ils y  exercèrent leur doraint  lion; l'a d^ÔMière  
 n’a pour fondement  qu’une  tradition  populaire  II  est  certain  cependant  que  ces-'Bains  et  
 leur bassin actuel  existaient déjà au milieu d u huitième siée l e ,  £ u moment  de  l’expulsion  
 des  Sarrasins,  puisque Charlemagne  en  lit  don  ,  en  ,  au  Mona  lèi 3  dt  Bénédictins  
 d’A rles; mais si  on  fait attention à la masse colossale de cet édifice  à la tonne de sa a où te,  
 à la construction golîïiqjte de ses murailles et au défaut absolu  des orne ne ns .  pat  lesquels  
 lies'Romains ànnonçoient toujours leur grandeur  et leur magnificence ,  on sei i  plus porté  
 à   croireïspSl  a été construit par 
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 1  ’i l t p i -  In h ^ *p è s -é lè v é ^ jl Renferme un  
 E J '   ts-in  Hr  $ $ j f [   u (Ml ‘ " l o n g i \ u i ^ 4iÆ w ® é » d a t g e u r   et  sis 
 J   1  L ^ l   1  ,  i & f j u   h  long^dé*! o-ba-Hn 
 m i pVS,  e‘ ffqb u ve 11 
 3  des  siècles  gothiques  :  on  n’y 'w n ^ E j^ TO g i1 nu 'i'-‘ ;iîiiKSSn'ojmM.ii--  [ | H m E E   
 B K ;   ffürtjmt*  1 i   9 1 1( M t N H   I  I  ■  H 
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 n(r tiO(ia p R ^ I Jiu i.  IhîiÂpuî-flt u\  nw,r  rÜL#*^ 
 I   P IO   F E L I C I   
 sfèpf  u. 
 PO T .  I I .   COS.  -  
 P .   P . 
 D E C U M A N I   
 N  A R B O N E N S . 
 n   E  1 
 *  ,;i À q t  /-V r.-it 
 La  première  a  été  découverte  dans  le  siècle  dernier  à  Saint-André-de-Sureda,  en  bas  
 Vallespir ; elle annonce un monument  M j   ''il >  i 
 n ^ ^ M ' l f r iî1 r  T f 1 '*f  ^ 't^V 'V lfllM iflfM lî1 r 11* Y l’’,|ï l \  l ^ ' 1 ‘:<T 1 'r" m ;  elle a fait 
 r -av1 'oit  porté  autrefois  h ■  TT^rI  r b i L ' ® ^ 
 est  démontré  qu E bu sum . 
 est  le  nom  de  la  ville  à ’Iv iç a ,  que  cette  pierre  a  été  portée  de  cette  dernière  ville  par 
 lL/^ ^  B a n n .1»  ^ -b3.‘Jj  . ta>i- g 1^  l^ r g ^ i^r.  ’ 
 soit  f 
 y   rapporter  que  la vieille  Eglise  de  S.  Jean  de Perpignan,  celle  de  la  Cathédrale  d’Elne 
 quelques 
 Slècle  1 r  y l u tu  ! u fîi^ u ^ r ' 
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 es  nels.  La  forme  de  cette  église  est  aujourd’hui  changée ;  on  en  a pris  une  partie  pour 
 D M  "i t  H 
 K 'eUt-‘P-oÏJï-emt E ^ ^ M M  n ç jl^ lg l^ ^ g p g i, 
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 j ^ l h t - ^ a p f f l j r e   d ^ J é | g s | f e ^ , . a S   11   t  ^ 
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