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 L e   -climat  de  ni-e sjjjijfdfis  (i  ’IfM Ë sH 11'  11,( 1  * 
 rudes  et tres-Jqngç ;  il y   tombe beaucoup  die. neige  pendant  quatre, ou cinq mois.  Le  
 p i m te n$> *\ Jè c l  j-tk1 fi/ivrapiii e v4|^ffotW 
 «tourne  ,  la saison  la plus  belle  :. Â is '  Ir  ide  à  cause  iil'"''- ■ 
 «qiicltjwfiWelè A n  L f ’   <LpsCffinsM^jé:~fc  11  *fiSjwBd«  lonl  u  n tx^fiejjjlic ; 
 momètre  au  milieu  du  jour,  qu’au  i 4'  degré,  rarement  au  16'.  Le  froid  le  plus  
 ordinaire  de  l’hiyeii:; est  â^'ië'et  7' degré  au-dessous', de  la  glace, quelquefois  au  1  a‘  
 et  1 3 e. Leur dim at est ià-peu-près le marne que:  ceHfidu Mont-Louis, dont nous  ivons  
 parlé  dans la  description  du  Roussillon ; niais  1  11  peu  plus froid. 
 1 ,'u X.  Le s  eaux  qui  servent  à  la .feoissop  des  habitans  7  soiifjlp^Ba'ÿ  en  général  
 dans  le  comté de  Fois.  Dans'toute  la partie qui est d a sud au  nord ,  sur la route  d’A x   
 à  .Saveirdan.,  on  boit  les  eaux  de  1  \n  e  qui sont  excellentes  étant agitées , fouettées, 
  et très-di visées  dans  un  long cours, par  le  it rr lin  pierreux,Sur lequel  elles coule ntt  
 et  par ï,a..râpii$fiié  de  leàfeîgoiurs.  A   le st  et  à l’ouest,  on  trouve  uine  grande  qui  ntité  
 de  rijissêavii t tpetites  rivières  , ..dont  les  eaux  qui  i\<  1  1  I  :  jâ  i  se n  j"  •lï .i '  
 uj  >ins  1  iftinés  qùé-çfe|liés  de  l’A ï iège^jis.ei'çiîÊ 'Cependant  presque, aussi  bonnes.  Dans  1(  
 hauifegoînié,  1;< s  l'outaiaes ,  qui  sont.:  ez multipliées ,  les  petits  ton  ns  et  lés  eaux 
 qui  se  précipitent des  montagnes,  fournissent  de-tous'  côtés  des  spun < s  d’une  e au  
 purt  1 1  e  -,  qui  sont  sujettes  à  1 11 f  . altén es p ir  1 1  fonte de s. neige s ,  et 
 ce( te  altération  arrive  quélq«e|@;is'pl®^0rs'fe)is dans un jour.,.11  di pend  des \  rtiétés de  
 l’action du  soleil  et de . la  température  dés  ve nts qui ;bjr< ri  ïit  ie tte-fonte.  On  boit  e.n-  
 core  dt  feau-.de fontaine  à T.arascon ,  à  ]  oix et  i Pamiers ,  il  cette- eau  est  saine  et  
 agréable. Il y   a  c ç fç  ud wit quelques p artiesde là  plaine , éloigne 1 s  desrivii res,  où; les  
 eaux n’ont point d’aussi  bonne s. qualités  on  y   est réduit  aux  f  tux  de  puits ,  qui  sont  
 lu ^s.dimiiyjfftjSAjS 
 Alimens.  Le  "boeuf,  le. mouton ,  le veau font  la-nourriture de SfJjâliitans de âWjlt§i|;:  
 jls.nnn^i’ni  nw  *-rfi  i i ^ U ^cl<  oiy   kjj. ji  m  iui,i -V'ifLiLbiS 
 i.uinn 
 lu n   i  l . i   irw jfiim m K ^ T ^ P i^ i^ o ^ p ^ " im " i" iiiiic iT n i<   ’ dif("r]TvmJy^lT7ffyP3î^^5ii  
 lé [pain ,de  seigile  ,  dés  bouillies épaisses ;  grossières ,  qu’on  ap[ 1 JIe ; 13 ferais,  et qui  sont  
 faites  avec la f irine de  mai  ou  de  I  lé noir',  les  pommes  de  terri  et  le  lait  ge;,  sont  
 les  ;  '   eus.  ordinair« s  des  âf rniers  lis  pu i^ie rsise  n.ofirrissén.1  m  cu\  ;  leur  pain  est 
 fait le  plus  souveul  a\ t (  un  1  1  1  i s   k   I jrine de friomenl  I  d  eig]  ou d  1  1  ils 
 EÉafig||t  pli  s  Iré que mm  Ht de lt  viande,  et  il  y   en  a peu  qui  n’usent  ordia  in  1  m f 
 ShIhmieMRI 
 VLADjIES. La pléiainéliglj tla fluxion  de poitrine  sont 1{ S.fa l idie sde  ni nanti s dans  
 le  comité  di  Foix;  elles .sont l’effet  des  variations  fréquentes  de l'atmosphère-;  elles y  
 sont  presque toujours  essentielles ,  c’est-à-dire  vraiment infl tmmatoires; elles  règni 111  
 souvent populairement, et portent principaleiäejät It urs 1 H  iges dans le s vi'11 vge;  situés,  
 sur les hauteurs ,  sur-tout lorsque lt  vent du  nord succède  s.u!|jrèmenl  et avec force à  
 un  vent du  sud  doux  et soutenu.  Quelques  lutres maladies  ligues  y  régnent  aussi ,  
 mais y  soni|||jgue 0«p;.moins fréquentes i telles qui  fés. rhumes  les  fluxions ,  les fièvres  
 ‘catarrheuses, intermittentes,-mésentériques,-les angines,  lès  érysipèles,  les  rhumatismes  
 aigus. Les  fièvres malignes, y  sont peu  communes  el  \  Mint,.ran iruiH  
 Eu général, toutes < :ès mal adies  ont un caractère  inla rnrràatoire  beaut ou p. plus mai  jué,  
 et  exigeai  plus  de  saigneès dans  la partie li.nili  de.eettt  pic mut.  jue dan  Itùparp'e  
 ■ri  J i j 
 Parmi  les  maladies  chroniques  il  n’en  est au e unes, de  partieuiieres  aù i comté  de  
 Foix ;   on observe  seulement  f ”   1  plaine',  toutes cas1 :m a [ad i es. paré iîsjèfili  être  
 aecórnpagnéès  d ’une  légère  dégi n e ^ ^ l ^ l s i  oil  11  de- J mf ri e drs  Les-’d irtres  et  
 1 1  phthisie  pulmonaire  y  sont les  plfedbiÉmunes,  et les maladies des  nei 
 mique  sur  la montagne;  un  vi  éere-)W  lieux  se  de \ c I rppe  dès 
 d’ëtpîîjfjâstfe  a * ro ît^ f^ q u è l jj’ètir#â!^i^^ragè^eî6ÂÂpiMi 
 i  ^i'"  1 I f n H   11\e  ^ a l6l3e 
 V  A   R   l!K .I* C ,  fl^l'«  1 1 .. 
 JSl  ni  ® y pnv-^^£i',d,ui.i  iTmq^feye  uï  i1*o1 
 I ent,  et  qui.",;.pÉif  leur c h u te ^ ^ |i irfli ïpjlpi|f®qfe'êrs ew foebers ,  forment  des  cascades 
 feïSf 
 de s  prairies  t m j ^ ë f e t e s , . d  s  roeliesiawoneéteés  et  des  e  »q:  ^rlt 
 Foiix :■  . 
 II  fî   i" jp !r .n a l,Æe  1  ÿ T 11k ^|n P ]»^i{*l|*  t»  il  '■jmu î^i J   «jr,‘  iftifidiewjH‘,?ff'r'fil,vSâhî,^x‘^ 
 1  ri  'fi  11 J ob»  bniij.* * !y f j r n   411'  1   .ukitt  ï^ 'J i  mlf'rî*  qfuitn  ^w'ff^iTÏix n  1  bu 1  Sgt  
 «lilf  l'u  v   iMj^î'l jd f '  IT' f L ' ï V ’’K ' 11,1  ' l  ^ tl^i^i?l^dîf |jSÿlvîVli un'du  -iflcil 
 .de  'y|llU1 M f r . ' j1?  HH bljd,<--a°l'f-.i ùl e^vl'  eli  ^e.ibiie  it.i '»t»Je.iflfegtf^ 
 JijfisstWâti^l^  1111*  ,'Mou’i • jn?uiii-ui 
 Parmi  les  montagnes  de  cette  province  ,  on  doit  distinguer  sur-tout celle de  T a be,  
 ^|tnT5w rn  i^ li 3tpll i -.»h* 1 îi 1 ï  q   t '>1  t-l."  ( M|  iK 
 verte de  nupfçÿî'' ni  ulnÿ Jr u ,n, jM p * f t d , '  1(^,1 le’Tf'PÇiip’i / ^ ï   tl^nl 
 depuis  Tarascon  jusqu'auprès  de  ©inJanne  la 
 •VJ  Igjd^i.UitK-sn'j nV^jÿgl|dil--ti.i «  ni*-  trçgÿJ 
 rlïïlwiwVïîipu  1 v "-iF-JmrwnfjTWW' SépTiiTfi,^ ^ ^ m ,l ‘‘ uTmfflgSe m  iÉ $ 
 les- suppose  a itoui  d un  lac ,  qui  a d  n 1 lé lieu à des  fables et dés préjugés  populaires 
 jd on t . no^Vdpc i li-M^i.’ tlan-î'lj'ÿÉbtk^dtÂfrtrâtei^ffiih^fc 
 M   rru/h/ipifft* 
 B   i mélan  continuels  et sbuvent répétés  de  matières, calcaires:  de  e  remit! ,  de 
 schiste  irgileux  et  d’ardoise  ,  forment la  masse  constitutive 
 l.’ ren  ri  r  1  f 
 svltn^bd^k^lfl  11 n  ~i  it.ùu  la  \  dlée  de  Vic-de-Sos  jusque  vers A u sa t,  elles  
 ni v s'fj5irrr.çdfSV îI   èside.Jij  ’1)  I # j i a   nii^dun  x fi v   Ô ïlS u V ’ 'I  r" 
 ^.iiie'.plaeièjtifiÇllF-iirusit  'e^  mm  ie - v ^ w n   \ iii^ ' c& bu*», p__.ii  h ie r irfs te   1 
 Â ^ p n i 'à  iies■ îtMlirlfc,iV<.4l"tmre’ ftjfon  ici rq^ve  ^PiFfui  k^.f Ld^ni, 11 l'fie  r  •‘Fpn  
 sont 1  Biplacés.  u-delà  de  la  tour  de  Romains  p;  1  une  .  rdoise.jÄhrneuse  ;  les  
 * ® f e . ® e sÉ S 1enne' 1i du no (H  tîij,i  nu  1  I  ''i  “ f k î * ' ' 1*   ( ?r 
 uTdn^ d ^ Juiii  ttouye'tdes^.fip'ci^J^E-.e’bt'i^v  tll^ ti'a frg 11 è i'i  ; un-  rflôiÂf 
 jusqu’au  port  de  Tabascain. 
 Entre ïl^gscqn et laprenne 1 etjHqge. ->.iiyjiaR»oi il eh, ( ■■l^uiiI'i 1 eiS^'lîlr-'iLAtiiiirr j  
 de marbre g i is.,  arrang  par bancs  auprès  et  au  sud  de  I  àraseon ,  et  e n  ni Hisses  un  peu  
 au-dielà.  Près.de Gudannes, lt  long1 de la rive  droite  de l’A riég e ,.elles; sonfciil'Caircs.  I  
 :ï4oi mitn i-tug i” .h g ip1 jfel 0111 - 1'y-ijj iflBSF'iUni J  u 111  P i.-’’. Sflf d ■ J 3 |y  m’r